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Commentaire littéraire : extrait « Les Fées » Charles Perrault. Introduction : Le conte est caractérisé par la présence du merveilleux. Charles Perrault, (1628-1703), est encore aujourd’hui l’un des plus célèbres conteurs français. Cet extrait du récit, écrit en prose, a une fonction morale. Son conte Les Fées (1695), dans son intégralité, repend l’histoire de deux sœurs de caractère différent. 1. La concision de l’extrait du récit Cet extrait du récit est bref avec une succession d’actions

les parents/la famille b-les maris/les femmes c-les ogres/les ogresses/le loup II-Les histoires peuvent être cruelles a-des fins qui sont malheureuses (le petit chaperon rouge) b- des expériences difficiles (cendrillon, les fées, grisélidis...) c- l'injustice III-les lieux effreyeux a- la forêt b- le logis c- le château Les Contes de Perrault, ainsi que les illustrations de D, permettent aux lecteurs d’éprouver par l’imaginaire la violence

soutien de la ISBN 978--2-240-03227-0 Couverture_OK.indd 1 CENDRILLON LE PETIT POUCET UN LIVRE POUR LʼÉTÉ NEUF CONTES LE PETIT CHAPERON ROUGE LA BELLE AU BOIS DORMANT • CHARLES PERRAULT • LA BARBE BLEUE LE CHAT BOTTÉ RIQUET À LA HOUPPE LES FEES PEAU D’ANE 10/05/2011 ut 12:03:33     
 
       PRÉFACE P our sa deuxième édition, l’opération « Un livre pour l’été » se tourne vers le merveilleux. L’an passé, 180 000 élèves de CM1 ont pu découvrir

Les Fées Conte 5  10  15  20  25  30  35  Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était

Analyse partielle du conte « Les Fées » de Charles Perrault (Exemple de développement d’analyse fait par Julie Cauchy, en environ 1000 mots) « Les Fées » est un des dix contes publiés à la fin du XVIIe siècle dans Les contes de ma mère l’Oye de Charles Perrault. D’entrée de jeu, le conteur y oppose la méchanceté d'une mère et de sa fille aînée à la bonté de la cadette qui, bien que malmenée, reste en toute circonstance douce, honnête et généreuse. (l. 1-9) Un jour que cette pauvre fille va chercher

il l'épousa. Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulut la recevoir, alla mourir au coin d'un bois.   Charles Perrault, Les Fées Comment changer les verbes à l’imparfait *On forme l’imparfait avec les terminaisons suivantes : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient . Exemple : Finir Je finissais, Tu finissais, Il/Elle finissait, Nous finissions, Vous finissiez, Ils finissaient

effet, ils touchent un jeune public notamment avec la présence d’éléments merveilleux que l'on retrouve dans la plus part des contes. Nous pouvons les retrouver sous forme d'être fantastique comme « l’ogre » (l.2) dans Le petit poucet ou encore les fées dans la belle au bois dormant, tout deux étant des contes de Charles Perrault . Le merveilleux est aussi présent dans le maître chat, celui-ci étant rusé et pouvant parler. Dans la Barbe bleu, le fait que la barbe soit bleu est également un élément

Les Fées, Charles Perrault INTRO : Charles Perrault : auteur français du XVIIème siècle → publie en 1695 : contes de ma mère l'Oye . Dans cet ouvrage, ce partisan des Modernes opposé aux Anciensdans la fameuse querelle, rend hommage à la culture traditionnelle. Dans ce conte, Perrault introduit le merveilleux pour rétablir une situation injuste entre deux jeunes filles. AXE : -commentderrière l'apparence didactique ( =pédagogique), se cache le regard ironique de l'auteur qui s'adresse aux

grand besoin… » Repérer des traits d’humour dans les contes : LBBD : (§3) les eaux du monde (§9) (il s’en trouva sept) adressé au parents. (§19) vieille fée con n’avait point priée. On n’avait pas invité de façon comique (§25) pour les sept fées. Evidence ! (§43) Plus de dépit que de vieillesse (=colère) (§59) Maisons de plaisance. Souvent petite maison appart de la civilisation (maisons de campagne) sens sexuelle évasion des habitants du royaume. ?? intimité ?? (§71) elle était fort vive

fois une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage que qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles… », Charles Perrault, Les Fées (1697). • L’élément modificateur ou perturbateur  Il est l'élément qui enclenche le récit et modifie la situation initiale. Le lecteur est averti par un signal qui peut être un alinéa, un passage de l'imparfait au passé simple ou une notation temporelle