Mandat de la Société des Nations

aux forces politiques qui participent à la compétition pour l’exercice du pouvoir et sa dévolution. - Le Droit Constitutionnel, c’est du Droit. Mais d’abord faut il savoir ce qu’est le Droit. Le Droit, ce sont les règles du jeu de la vie en société. Selon Kelsen, il faut faire la différence entre l’être et le devoir être. Pour illustrer cette différence, il s’appuie sur le droit et la science. La science, et les scientifiques décrivent ce qui est, c'est-à-dire l’être. Mais le droit, n’est

comptes aux représentants à la fin de leur mandat et de les congédier si leurs performances au pouvoir ne sont pas jugées satisfaisantes. Ces deux principes sont donc bien susceptibles d’être associés. Les principes de la démocratie représentative sont premièrement que les élus sont choisis par des élections qui ont lieu à intervalles réguliers, ce qui permet aux citoyens de sélectionner ceux qui gouvernent et surtout ce qu’ils font pendant leurs mandats. Le deuxième principe est l’indépendance

du 4ième avant JC. C'est l'élève de platon. Aristote accorde une grande importance à la politique. Pour lui, l'homme est un animal politique. Il n'existe que dans la mesure où il appartient à la cité. Aristote a toujours eu le soucis d'étudier la société telle qu'elle était. MACHIAVEL (16ième) : il est connu pour avoir rédigé le Prince. Il sépare la morale de la politique. Machiavel s'intéresse au PW absolu. Tout comme Aristote il se veut profondément réaliste pour décrire la réalité des faits

Mandataire du peuple, je ferai ce que je croirai le plus conforme à ses intérêts. Il m’a envoyé pour exposer mes idées et non les siennes », il affirmait par là, qu’il aurait une indépendance total de ses opinions mais qu’il agirait pour le bien de la nation. De se fait, il sera absolument libre et donc irresponsable : il n’aura aucun compte à rendre, ni aucun ordre à recevoir de personne car son pouvoir lui vient de la Constitution national. En quelques mots, il sera complètement libre d’agir à sa guise

soumis au droit afin d'éviter que les dirigeant puissent prendre des décisions arbitraire. Une des disposition résumant le DC est art 6 DDHC de 1789 « toutes sociétés dans laquelle la garantie des droits n'est pas assuré, ni la séparation des pvr déterminé n'a point de constitution. ». Le sens du DC est d'organiser les règles de la société et d'organiser la coexistence de la liberté des citoyens et des gouvernants. 2 objectifs fondamentaux : - articuler le pouvoir des institutions

évidence trois types de pouvoir. Le pouvoir « traditionnel » fondé sur des coutumes dont l’ancienneté accrédite l’autorité, le pouvoir «charismatique » fondé sur le caractère extraordinaire d’un individu, et le pouvoir dans le champ d’une société organisée démocratiquement – le pouvoir qui s’impose en vertu de la légalité, « c’est à dire de la croyance à la validité d’un statut, à une compétence fondée sur des règles établies rationnellement ». La notion d’équilibre des pouvoirs fait référence

L’Etat cadre du pouvoir. Dans toute société un temps soit peu organisé, on rencontre des phénomènes de pouvoir. On distingue les gouvernants et les gouvernés. Il y a des distinctions entre l’Etat et le pouvoir à la fois dans le temps et dans l’espace. 1. Distinctions Etat et pouvoir dans le temps Le phénomène étatique est un phénomène daté dans le temps contrairement au phénomène du pouvoir qui existe depuis toujours.Il existe l’Etat cité et l’Etat nation. L’Etat cité : il est nait au Vème

politiques, des syndicats, des sociétés, des établissements d'intérêt social ainsi que des communautés religieuses est garanti à tous dans les conditions fixées par la loi ; les communautés religieuses règlent et administrent leurs affaires d'une manière indépendante, sous réserve de respecter les principes de la souveraineté nationale, l'ordre public et de préserver l'intégrité morale et mentale de l'individu. Les associations, partis ou formations politiques, syndicats, sociétés, établissements d'intérêt

recommandations de lectures pour ceux et celles qui voudraient approfondir le sujet. Deux documents : une tribune publiée dans le quotidien Libération au début de ce mois de septembre, sur l’offensive des Etats-Unis à la veille de l’Assemblée générale des Nations unies ; et un document plus long intitulé « Quelle ONU voulons-nous ? ». Pour aller plus loin, je recommande ce livre collectif auquel j’ai participé « L’ONU, droits pour tous ou loi du plus fort ? », paru en mars 2005 à Genève, édité par le CETIM

équivoque irremplaçable courant et savant. Sa polysémie le rend difficile à cerner. A cause d’un emploi fréquent dans le domaine du quotidien. Poly vient du grec cité. Au sens ou l’entendaient les grecs, c’est à dire ce qui constitua l’unité étatique. La société fait référence à un ensemble de relation de pouvoir organisé entre des personnes disposant d’un certain statut, ce sont des citoyens. Le politique est un mode d’orthogénies c’est le processus décisionnel qui permet de prendre des décisions engageant