Maniérisme

la présence d’êtres cauchemardesques. Il est autant poète que peintre et graveur. Il illustre les poèmes qu’il compose. Sa manière de faire se rapproche de celle de Füssli. C’est une peinture qui a un grand souffle et qui est influencée par le maniérisme, Michel-Ange, l’art gothique. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- L’Allemagne Caspar David Friedrich (XVIIIe  XIXe siècles)

L’assomption (1516 /18), Venise Assomption du regard, relation Registres liés= pas de séparation des deux mondes (terrestre et céleste) Présence de Dieu_ expressivité humaine Au cœur de la question de la forme Milieu du XVIe siècle_ maniérisme= souplesse du dessin, question de la courbe, allongement de la figure Titien meurt de la peste Il suscite l’admiration par rapport à ces compositions magistrales_ position héroïques_ dramatique Figures réalistes qu’il situe dans un concept (pas

baroque ne cesse de s’implanter en Europe. Il s’épanouit en réaction au sens de la mesure, à la dimension rigoriste propre aux années 1550. a. L'esthétique baroque Depuis l’apogée de la Renaissance, l’art a subi une triple évolution : - le maniérisme, ce mouvement, installé à Fontainebleau, joue sur toutes les compétences acquises au contact de l’Antiquité et de l’Italie, c’est le règne de la courbe et de la spirale. - le scepticisme philosophique où l’homme réfléchit et prend conscience de

curieux des nouveautés dont Rome est le théâtre, la plupart feront de longs séjours et apporteront à leurs pays respectifs l’esthétique nouvelle qui, avec le Caravage et les tenebrosi d’un côté, l’éclectisme des Carrache de l’autre, réagit contre le maniérisme. Des Flamands comme Rubens et Van Dyck, des Hollandais, Van Baburen, Ter Brugghen, l’Allemand Elsheimer, le Français Simon Vouet comptent parmi les principaux. Poussin, Claude Lorrain et Jean de Boullongne dit Valentin, français eux aussi, s’établiront

l'Homme. Conclusion sur ces Génies: Avec ces trois hommes, l'artiste devient un homme d'exception avec un intellect et une grande culture . Mais que peindre après de tels génies ? ( telle est la question que se pose la jeune génération) Le Manièrisme > ce mouvement apparaît suite à l'interrogation précèdente > se caractérise par l'exagération de certains caractères : -La Forme ( oubli du référent en parti), les lignes -Couleurs sont simplifiées ( acidulés comme celle de Michel)

crée, dans un perpétuel effort d’invention, une sorte de maniérisme spatial qui s’attache à la définition des surfaces (Koolhaas, Nouvel) ou un baroquisme des profondeurs (Shinohara, Libeskind, Zaha Hadid en particulier). Modernité revisitée Cette attitude radicale se retrouve sous d’autres formes chez certains héritiers du modernisme héroïque, com me Richard Meier, Henri Ciriani, Fumihiko Maki, voire Eisenman, qui développent un maniérisme moderniste parfois néoplasticiste – et chez Tadao Ando,

contraste est plus puissant. Il y place les tombeaux de Laurent et de Julien de Médicis. _Bibliothèque Laurentienne, dans le couvent de San Lorenzo : tout est construit sur des jeux d’oppositions et de contrastes. On décèle chez M-A les germes du maniérisme, mouvement qui développera justement oppositions et déséquilibre. Ici, opposition entre la hauteur du vestibule et la longueur de la salle de lecture ; escalier qui donne une impression de monumentalité dans un vestibule qui est un espace réduit

certain intérêt, ce qui lui amène du réalisme et qui le rapproche de la Renaissance plutôt que du Moyen-Âge. On peint les cathédrales entièrement (façades). Au 14ème (et fin 13ème), une certaine élégance un peu précieuse apparaît, un certain maniérisme (déhanchement, délicatesse). On évolue aussi toujours vers plus de réalisme et de naturalisme. On essaie même de faire des choses tendres, jolies, et le personnage de la Vierge prend de plus en plus d’importance, non pas en tant que reine des cieux

Barthélemy, au Jugement dernier de la Sixtine. Mais l'autoportrait en Nicodème de la Pietà, à la cathédrale de Florence, est plus significatif encore. Mais déjà était apparue la figuration isolée du peintre, sur le type du portrait de commande. L'âge du Maniérisme inaugure la présentation " aristocratique " (Antonio Moro, Salviati, Titien) ou " savante " (Heemskerck), qui aura tout naturellement son prolongement au siècle suivant avec Rubens et Van Dyck, d'une part, Poussin de l'autre. Le groupe familial

un ultime sursaut d’ironie de la part de Gide, qui entame lui-même le travail d’analyse de son livre, qui parodie le goût prononcé des littérateurs pour la formule, la citation improbable (« Tiens ! Tu travailles ? »), qui se moque d’un certain maniérisme sophistiqué (« Pour respecter l’idiosyncrasie de chacun »), bref, un Gide moqueur, acide, un peu amer aussi. En outre, les deux citations proposées se trouvent au tout début du livre et pratiquement à la fin. Comprimé entre ces deux indications