Manon Lescaut 2eme Partie

mentalités n’évoluèrent pas brutalement et le passage d’une vision à l’autre se fit sur plusieurs siècles. A travers ce corpus de textes, qui contient des extraits de mémoires (comme ceux du marquis d’Argens ou de Mme de Genlis), de romans (tels que Manon Lescaut de l’Abbé Prévost ou l’Ingénu de Voltaire), de correspondances ou de journaux personnels (comme celui d’Edmond Jean François Barbier), je vous propose donc d’observer quelles étaient les différentes représentations de la mort qui pouvaient cohabiter

Objet d’étude : Le personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours Problématique : Comment le personnage de roman reflète-t-il les enjeux d’une société et d’une époque ? Lectures analytiques: Etude d’une œuvre intégrale : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 Perspective dominante : Découvrir des personnages en rupture avec l’ordre social et religieux de leur temps Extrait 1 : « La rencontre » : de « J’avais marqué le temps » à « pour la rendre heureuse » Extrait 2 : « Une profession de foi

on voit que l’auteur, cherche à réhabilité Gervaise après sa mort, qu’il cherche à la rendre meilleure et lui redonner un aspect humain. Le CL est plus mélioratif, on ne trouve plus le CL de la mort. C’est un passage beaucoup plus positif. 1ère partie : A la 1ère phrase, on observe un dépersonnification/déshumanisation du personnage de Gervaise avec l’emploi du verbe « durer » qui s’utilise plus pour des objets. De plus, on a une contradiction entre l’utilisation du verbe au passé simple (qui

moyen âge au XXIe siècle Œuvre : Manon Lescaut , Abbé Prevost Parcours : personnages en marge, plaisirs du romanesqueProblématique : dans quelle mesure la construction de personnages complexes participe-t-elle au romanesque ?Comment la dramatisation parvient-elle à sublimer les personnages ? Texte 1 : La rencontre de DG et ML 2 Texte 2 : Les retrouvailles à St Sulpice 6 Texte 3 : L’enterrement de Manon 9 2) Textes du parcours associé Texte 4 : Nana, E. Zola

(1862) Introduction : Victor Hugo, célèbre auteur du XIXème siècle, à la fois romancier (Les Misérables) mais aussi poète (Les Contemplations), dramaturge et homme politique : il s’est engagé dans les débats idéologiques de son époque en prenant parti contre la peine de mort (Le dernier jour d’un condamné) et en combattant « l’ignorance et la misère » (Les Misérables : « Tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles »).

romanesque, le narrateur étant romancier dans le texte C : il imagine son personnage (« j’imaginai Agnès », ligne 1), s’interroge sur elle et sur son mari («qui est Agnès ? » ligne 10, « qui est le mari ? » lignes 3-4) ; la conçoit progressivement à partir de son imagination « comme moi, elle est couchée » (ligne 2), et de vagues souvenirs « Agnès a surgi d’un geste de la dame sexagénaire, que j’ai vue au bord de la piscine « ( ligne 12) ; et lui donne naissance : emploi du verbe « accoucher » à la

SEQUENCE PEDAGOGIQUE 7L1 SEQUENCE 1 Les liaisons dangereuses Choderlos de Laclos 1782 1°/ Objets d’étude : - un roman épistolaire du XVIIIème 2°/ Perspectives : a- histoire littéraire et culturelle : Approche de la 2ème partie du XVIIIème : le renouveau de la sensibilité (contre le rationalisme voltairien). Rousseau, Bernardin de St-Pierre. Le courant libertin : Prevost, Crébillon, Sade etc... - histoire du roman par lettres b- étude des genres

version de 1812 à qui est fait le récit. Cet effacement de la situation énonciative donne lieu à un texte qui existe sans expliquer comment il a pu être écrit. On peut noter une différence avec Manon Lescaut et la légitimation du récit par le récit cadre de Renoncour. Ce type de roman donnera naissance au roman moderne, qui se débarrasse du problème de sa propre légitimation. L’acte d’énonciation lui-même n’est pas effacé, bien entendu

romanesque, le narrateur étant romancier dans le texte C : il imagine son personnage (« j’imaginai Agnès », ligne 1), s’interroge sur elle et sur son mari («qui est Agnès ? » ligne 10, « qui est le mari ? » lignes 3-4) ; la conçoit progressivement à partir de son imagination « comme moi, elle est couchée » (ligne 2), et de vagues souvenirs « Agnès a surgi d’un geste de la dame sexagénaire, que j’ai vue au bord de la piscine «  ( ligne 12) ; et lui donne naissance : emploi du verbe « accoucher » à la

suspens qu'elle laissait chaque soir -- au courant monde : clin d'œil récits voyage, Robeck Apologie du suicide et lui-mm « tout est bien »Dict Philo, Chap&Poul -- Blanche Neige (poison), La Chanson de Rolland (sarrasin massacreur) -- parodie Manon Lescaut (Abbé Prévost), Pamela (Richardson) => clichés(« pétrie de grâces »)+parodie rapts(euph canules) -- l'œuvre elle-mm : «j'ai de l'expé, je connais le monde» (Martin!), complète voyage Candide 3) Ton poétique -- lyrisme=ambiance poétique : =>