Mansarde

Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux. Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement. Il fallait payer cette dette effroyable. Elle payerait. On renvoya la bonne ; on changea de logement ; on loua sous les toits une mansarde. Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait

travaillant comme employé chez un notaire, comme le souhaite sa mère. En 1820, il obtient son diplôme mais, refusant de passer sa vie dans un bureau, il annonce à ses parents qu’il souhaite devenir écrivain, riche et célèbre. C’est ainsi que, dans sa mansarde louée dans Paris, il écrit, pour le théâtre, un drame romantique et historique, Cromwell, une œuvre complètement ratée. Il s’essaie ensuite au genre romanesque et publie, sans succès, ses premiers romans, sous différents pseudonymes : Lord R’Hoone

train de vie diminue peu à peu. Sa déchéance sociale est marquée par la place qu’il occupe dans la Pension Vauquer : à son arrivée à la pension, en 1813, il logeait au 1er étage, puis est passé au 2e et se trouve désormais au 3e, où il vit dans une mansarde. Eugène de Rastignac Jeune noble venu du Périgord pour conquérir Paris, Rastignac est un personnage ambitieux. Peu à peu, il s’habitue aux rouages de la vie parisienne. Naïf au début du roman, car il ne connaît encore rien de Paris, on peut

production de vapeur est différente suivant l'activité physique des occupants: une personne debout à activité moyenne produit de l'ordre de 90 [g/h] d'eau par exemple). Cette vapeur, produite dans les locaux sous-jacents à la toiture inclinée (local mansardé par exemple) ou aux combles, doit être compensée par la ventilation de ces locaux qui se compose d'une ventilation de base assurée par l'amenée d'air hygiénique extérieure et, si nécessaire, d'une ventilation spécifique dans les espaces humides

romantique est battu en brèche par le Paris moderne. Dans Ferragus Balzac écrit : « Il y a deux Paris : celui des salons, des atmosphères suaves, des tissus soyeux, des quartiers élégants, et celui plus infernal, des orgies, des ruelles sombres, des mansardes misérables. »  Balzac s’intéresse également à sa profondeur, au monde souterrain des catacombes et des carrières de Montmartre. L’opposition est nette entre « l’horizon borné de la province et le monde énorme de Paris », entre « le poétique Paris »

désirs de réussite mondaine. Elle est aussi le lieu où trois intrigues se nouent, se dénouent : l'affaire Taillefer, l'arrestation de Vautrin, la mort du père Goriot, qui complètent l'apprentissage social du jeune étudiant. La chambre de Goriot : Mansarde où loge le vieil homme, Balzac décrit cet endroit de façon insalubre et dixit : « elle ressemblait au plus triste logement d'une prison » Les quartiers riches : - Le Faubourg Saint-Germain : Quartier de la vieille aristocratie, délimité au Nord

finesse inégalable, ils virevolté comme des ballerines dans un ballet ; ces pieds battaient le tempo sans faux pas et tout ceci était fait avec une passion à faire pâlir les plus grands musiciens. Cette enfant semblait être une nymphe tombé dans cette mansarde par le hasard le plus incongru. Ces cheveux semblaient être des fils d'or posé paisiblement sur ces hautes épaules ou encore un petit cours d'eau tombant en cascade sur un lit sablonneux. Une incroyable harmonie se développé entre tout les éléments

Lycée René Auffray Adresse : 23 Rue Fernand Pelloutier, 92110 Clichy Académie de Versailles Année scolaire 2012/2013 INTRODUCTION Je m’appelle thommas francin j'ai 20 ans ,j'habite a Asniers sur Seine,mon adresse : 13 rue jules Hardoin Mansard 92600 situé en Île de France. mon e mail:j-psg@hotmail.fr Je suis en Terminal Bac Pro hostellerie restauration en 3 ans ,ma spécialité et cuisinier , au Lycée René Auffray ,23 Rue Fernand Pelloutier  92110 Clichy la Garenne je suis actuellement

bien que ce n'est plus pour lui, pauvre vieux, mais pour son or. N'importe, il est encore trop heureux de les voir à ce prix. Pour amasser de cet or, il diminue tous les jours sa dépense, monte successivement du premier étage de la maison jusqu'à la mansarde. Pour faire face à toutes les folles dépenses de ses filles, il se défait peu à peu de tous les débris de son ancienne opulence, il vend son argenterie, il vend sa montre, sa chaîne, tous ses diamants ; enfin il est ruiné, il a tout vendu, jusqu'aux

puis nous nous attacherons à la transition faite par le poète pour passer d’un monde réel à un monde idéalisé. I- Un paysage urbain réel 1) Baudelaire décrit des paysages réels Ex : Le poète décrit lui-même ce qu’il voit : « du haut de ma mansarde » (v.5) ; « à la fenêtre » (v.10). Le lecteur est alors sûr que le paysage décrit est réel car il est aperçu par Baudelaire lorsqu’il rédige son poème. Ex : L’omniprésence du ciel avec les termes : « ciel » (v.2 et 8) ; « brumes » (v.9) ; « lune