Mansarde

comprenant 15.000 m2 de surface commerciale, des cinémas, des logements et un parking de 500 places. Les nouveaux bâtiments s’intègreront dans l’architecture locale en adoptant la volumétrie et les caractéristiques de l’architecture de Cholet : toits mansardés et arcades, qui donnent son nom au projet. L’ouverture est prévue fin 2008. Insert picture Cholet > NOTRE DEMARCHE CONCEPTUELLE: DESIGN & DEVELOPPEMENT Multi Development est connue pour son approche innovatrice des concepts commerciaux et

l'auteur renforce l'atmosphère de misère installée autour de Fantine. La déchéance de Fantine est, premièrement, matérielle. Nous pouvons le voir grâce à l'accumulation de nom (à connotation péjorative) donnée au logement de Fantine : "cellule" (l2) ; "mansarde (...) sous le toit" (l2-3) et "galetas" (l3). Ces noms nous montre la pauvreté de l'habitation du personnage. Il fait de même avec les objets présent autour d'elle. Elle possède "une loque", "une chaise dépaillée", "un petit rosier(...)desséché"

Uniformisation très règlementée des façades des immeubles Organisation horizontale et verticale : alignement des étages, des ouvertures… Toitures, étages, ouvertures à niveau et en continuité Pas de décors saillants sur les façades Combles à la Mansart (Mansardes) / Œil de boeuf Répétition, régularité, sobriété, symétrie Angles arrondis ou coupés (typiquement Haussmanniens) Architectures Haussmanniennes Paris : Les grands boulevards Architecture éclectique Le nouveau règlement de 1882 autorisant sur les

bleue et blanche. On entre dans cette allée par une porte bâtarde, surmontée d'un écriteau sur lequel est écrit : MAISON-VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres. […] La façade, élevée de trois étages et surmontée de mansardes, est bâtie en moellons et badigeonnée avec cette couleur jaune qui donne un caractère ignoble à presque toutes les maisons de Paris. Les cinq croisées percées à chaque étage ont de petits carreaux et sont garnies de jalousies dont aucune n'est

en conscience». Mais il mourut, et Raphaël n’eut plus qu’une modeste rente et lui, qui avait «l’imagination la plus vagabonde, le cœur le plus amoureux, l’âme la plus tendre, l’esprit le plus poétique», abandonna ses études et s’installa dans une mansarde d’un hôtel où il lutina Pauline Gaudin, la fille de la maîtresse de l’hôtel, belle, «gracieuse», possédant «des formes qu’une femme eut admirées», semblant «être tout à la fois jeune fille et femme». Elle lui était totalement dévouée, tout en restant

Malheureusement, son succès est directement lié à sa capacité de faire concurrence aux sociétés japonaises, américaines et mexicaines qui sont également fournisseurs de l’industrie automobile. La scène se déroule dans le secrétariat de la DRH. Mario Mansard est le DRH de l’entreprise, 42 ans, en poste depuis six ans. Il est le manager de Sonia. Son management est de style délégatif. D’ailleurs, l’ambiance est bonne dans ce service, où on ressent peu le stress qui culmine dans le service de la production

et entourée de siéges. La, durant les jours caniculaires, les convives assez riches pour se permettre de prendre du café, viennent le savourer par une chaleur capable de faire éclore des oeufs. La façade, élevée de trois étages et surmontée de mansardes, est bâtie en moellons et badigeonnée avec cette couleur jaune qui donne un caractère ignoble à presque toutes les maisons de Paris. Les cinq croisées percées à chaque étage ont de petits carreaux et sont garnies de jalousies dont aucune n'est relevée

que les Thénardier augmentent sans cesse pour des raisons mensongères. Fantine a ainsi été réduite à vendre ses cheveux, puis ses dents.] Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus.

pouvons nous apercevoir que Fantine est une victime de la société et vit dans la misère. Cette misère est tout d’abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. Une accumulation de noms à connotation négative : « Cellule », « mansarde […] sous le toit » et « galetas » (l.18-19), montre la pauvreté de l’habitation de Fantine. Il fait de même pour évoquer le mobilier lorsqu’il écrit « une loque qu’elle appelait sa couverture, un matelas à terre et une chaise dépaillée » (l.22-23)

actuelle. Enfin, son niveau social inquiétant se traduit également par le champ lexical de la maison, développé à travers une pause descriptive, à l’aide d’un point de vue externe  : l. 16, « fenêtre », « cellule », l. 17 « mansarde », « loquet », « toi », qui montre le cadre de vie insalubre et inquiétant de Fantine, qui se retrouve enfermée dans sa propre misère. D’ailleurs, l’utilisation des termes « un de ces » pour caractériser « galetas » l.17 montre que Victor Hugo dénonce