Mansarde

vit dans son pays natal et dans la maison de son enfance, tout près de Rouen « j’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines » ; « j’aime ma maison où j’ai grandi ». Il est un homme assez aisé car il possède des domestiques « deux mansardes s’ouvrirent ! J’avais oublié mes domestiques ! ». Au début de l’histoire, il est un homme lucide mais il tombe peu à peu dans une folie, démence qu’il ne maîtrise pas et que les rendez-vous chez le médecin ni change rien. Il se sent possédé par

peuple. » Zola veut donc congédier l’image romantique du bon peuple chère à Hugo et à Jules Michelet, historien républicain idéaliste. L’écrivain doit observer le peuple et vivre dans son temps. Zola lui-même a mené une jeunesse modeste dans les mansardes d’étudiants parisiens, près des étages des maisons ouvrières du sud du quartier latin, non loin de la rue Tournefort où Balzac avait situé l’intrigue du Père Goriot. Dans La Tribune, journal républicain d’opposition à l’Empire, il écrit : « Les ouvriers

Document B Paysage 5 Je veux, pour composer chastement mes églogues1, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves

décorations. Usage des pilastres, des colonnes engagées, frontons décorés (modèles antiques, roi soleil, apollon). Les propriétaires doivent respecter la symétrie engagée par Sa majesté : un rez-de-chaussée, un étage noble, des combles brisés à la mansarde. Deuxième phase : 1682 famille s’installe à Versailles (quitte le château du Louvre : château médiéval, en centre-ville donc prêt du peuple menaçant). Jean Ardouin Blansart va doter tout le parcellaire de la ville par des monuments qui sont le

cette composition est d’environ 250 mm. Aucune isolation ne semble être spécifiée sur les dessins et cela a pu être confirmé par le touché du revêtement de gypse qui était froid. Avant l’ajout du surhaussement évoqué ci-haut, la toiture était à la mansarde (style d’origine). Suite à ces modifications, une toiture plate (technique plus récente), a été construite. Grâce à l’ouverture se trouvant dans le plafond du cinquième étage (photo 6), les observations ayant été faites ont permises de remarquer

responsable, selon lui, de la misère de la jeune femme. Nous pouvons nous apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère est tout d’abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. « Cellule », « mansarde […] sous le toit » et « galetas » (l.18-19), une accumulation de noms à connotation négative montrant la pauvreté de l’habitation de Fantine. Il fait de même pour évoquer le mobilier lorsqu’il écrit « une loque qu’elle appelait sa couverture, un

| |Et, voisin des clochers, écouter en rêvant | |Leurs hymnes solennels emportés par le vent. | |Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, | |Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde ; | |Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, | |Et les grands ciels qui font rêver d'éternité

1991 et est maintenant inhumé dans le cimetière militaire de Saint-Remy la Calonne (Meuse). RéSUMé Augustin Meaulnes arrive, par « un froid dimanche de novembre », comme pensionnaire au Cours supérieur de Sainte-Agathe. Il est logé dans la même mansarde que François, le fils de l'instituteur. Son âge et sa personnalité le font vite surnommer « le grand Meaulnes » par les autres écoliers. Lors d'une escapade, « huit jours avant Noël », Augustin arrive par hasard dans un domaine mystérieux où se déroule

solitaire et introvertie. Cependant, elle trouve de la consolation dans sa foi religieuse et dans la contemplation des petites choses de la vie, comme le coucher de soleil ou le vol des oiseaux. Finalement, Félicité meurt seule, dans une misérable mansarde, mais elle trouve la paix et la joie dans sa vision de l'au-delà et dans sa réunion avec les êtres chers qu'elle a perdus. Ainsi, Félicité est un personnage complexe et nuancé, qui subit de nombreux changements tout au long de l'histoire. Elle représente

trottoir scintillaient, les girouettes des maisons se tenaient immobiles ; au coin de la rue, il partit d'un étage inférieur une sorte de ronflement à modulations stridentes. C'était Binet qui tournait. Elle s'était appuyée contre l'embrasure de la mansarde, et elle relisait la lettre avec des ricanements de colère.    [...] Elle jetait les yeux tout autour d'elle avec l'envie que la terre croulât. Pourquoi n'en pas finir ? Qui la retenait donc ? Elle était libre. Et elle s'avança, elle regarda les