Mantinée

de cette éducation. D’après Maxime de Tyr, Socrate s’adressa à toutes sortes de maîtres dès sa jeunesse. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes. D'abord, vers 440 av. J.-C.,Diotime, prêtresse de Mantinée, lui enseigna la science de l’amour, mais cette femme est peut-être un personnage inventé par Platon. Ensuite, Socrate fréquenta, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., Aspasie, la compagne de Périclès, célèbre tant par sa beauté que par son esprit. Socrate

Disciple du physicien Archélaos de Milet, Socrate s’adresse à toutes sortes de maîtres dès son jeune âge[4]. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes : d'abord, vers 440 av. J.-C., Diotime, prêtresse de Mantinée, lui enseigne la science de l’amour[5]. Socrate fréquente Aspasie, sa maîtresse de rhétorique, compagne de Périclès célèbre tant par sa beauté que par son esprit, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., menant ses discussions dans son jardin et sa maison

Socrate) l'usage en a circonscrit le sens à l'amour sexuel : c'est de lui que traite le Banquet. Le thème majeur en est le récit que donne Socrate de son initiation, au temps de sa jeunesse, à la philosophie de l'amour, par Diotime, prêtresse de Mantinée. Celle-ci veut révéler à Socrate que la visée de l'amour dépasse infiniment l'objet sur lequel il s'est provisoirement arrêté. Mais l'amant l'ignore et croit naïvement être épris d'un être singulier. Diotime va aider Socrate à dissiper cette illusion

de cette éducation. D’après Maxime de Tyr, Socrate s’adressa à toutes sortes de maîtres dès sa jeunesse. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes. D'abord, vers 440 av. J.-C., Diotime, prêtresse de Mantinée, lui enseigna la science de l’amour, mais cette femme est peut-être un personnage inventé par Platon. Ensuite, Socrate fréquenta, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., Aspasie, la compagne de Périclès, célèbre tant par sa beauté que par son esprit. Socrate

Xénophon. Il traite des événements qui se déroulent après la victoire des Thébains sur le champ de bataille. Les Helléniques est un ouvrage qui continue l’Histoire de la guerre du Péloponnèse écrit par Thucydide. Il s’étend de 411 à la Bataille de Mantinée, en 362 av. JC. Xénophon écrit l’ouvrage à un âge très avancé d’où l’existence de plusieurs lacunes et de passages falsifiés. Le passage sur la Bataille de Leuctres n’est pas suffisamment développé, surement à cause de la préférence non dissimulée

de cette éducation. D’après Maxime de Tyr, Socrate s’adressa à toutes sortes de maîtres dès sa jeunesse. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes. D'abord, vers 440 av. J.-C., Diotime, prêtresse de Mantinée, lui enseigna la science de l’amour, mais cette femme est peut-être un personnage inventé par Platon. Ensuite, Socrate fréquenta, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., Aspasie, la compagne de Périclès, célèbre tant par sa beauté que par son esprit. Socrate

(Calabre). M * Magnésie de Thessalie * Magnésie du Sipyle située en Lydie, aujourd'hui en Turquie (Manisa, province de Manisa). * Magnésie du Méandre située en Ionie, fondée vers 530 av JC., aujourd'hui en Turquie (province d'Aydin). * Mantinée sud-est de l'Arcadie, au nord de Tégée, fondée vers 500 av JC., en Grèce (Arcadie). * Massilia (Marseille, fondée au VIe s. av. J.-C., en France (Provence-Alpes-Côte d'Azur). * Milo ville d’une île grecque de la mer Égée, fondée en 700 av

livre, tablette et stylet, trompette ; Clio : couronne de laurier, cygne, livre ou rouleau, tablette et 2 stylet, quelquefois trompette ; Érato : couronne de myrte et de rose, tambourin, lyre, viole, cygne ; Trois muses sur un bas-relief de Mantinée Euterpe : flûte simple ou double et un autre instrument de musique (trompette) ; attribué à l'atelier de Praxitèle, IVe siècle Melpomène : cor, couronne de pampre de vigne, épée, masque av. J.-C. tragique, sceptre à ses pieds ; Polymnie :

l'aristocratie athénienne, Socrate, lui-même alors âgé de cinquante-trois ans, son grand ennemi le comique Aristophane, et, une fois n'est pas coutume, une femme, étrangère, prêtresse de surcroît. Quoique physiquement absente en effet, Diotime de Mantinée n'en est pas moins la figure centrale du Banquet, celle dont Socrate, qu'on a connu décidément plus loquace, choisit de se faire le porte-voix. Elle y est présentée comme 1'« experte» dont le philosophe avoue curieusement tenir le seul savoir qui

deuil de la plupart d'entre eux ? La philosophie de Platon, à la différence des sagesses que nous venons d'évoquer, n'invite pas à limiter, voire à supprimer les désirs, pour fuir l'inquiétude dont ils sont porteurs. Dans Le Banquet, Diotime de Mantinée révèle à Socrate le sens philosophique du désir, toujours déçu et toujours renaissant, de satisfaire tous nos désirs. En effet le désir est essentiellement désir de ce qui nous manque, aspiration à une satisfaction, mais totale, parfaite, absolue