Maquiladora

1/3 du commerce mondial. Les FTN s’implantent à l’étranger pour y trouver des matières premières des conditions d’exploitation plus favorable comme fiscalité réduite ou main d’œuvre moins couteuse. Ils réexportent dans les pays d’origine. Les « Maquiladoras » sont des sociétés américaines implantés au Mexique pour produire. Les ONG : Ce sont des associations a but non lucratif composés le plus souvent de bénévoles de la société civile qui veulent intervenir pour une cause à l’échelle internationale

sujet. Les femmes  Systématisation et amplification de la discrimination : inégalités systémiques envers les femmes.  Femmes principalement touchées par la transformation du marché du travail : délocalisations dans les zones franches et les maquiladoras, déréglementation des normes du travail, accentuation du travail atypique (travail précaire, temps partiel, à domicile, sur appel, etc.), inégalités salariales.  Féminisation accrue de la pauvreté, dont l’intensité varie selon les différents pays

(joint-ventures), profitant des bas salaires et des conditions de travail peu favorables aux travailleurs. Au début des années 1990, dans l'industrie mexicaine, environ un travailleur sur huit était employé dans l'une de ces fabriques. Dans ces maquiladoras sont assemblées des pièces détachées importées des États-Unis, et les produits finis sont ensuite exportés dans leur pays d'origine. La plupart de ces usines se trouvent à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, à proximité de Ciudad Juárez

alimentent le food power, de produits de base : Golfe du Mexique, Rocheuses, Alaska + complémentarités avec les voisins de l’ALENA : hydrocarbures mexicains et canadiens, voire intégration dans les zones transfrontalières : cas des twin cities et des maquiladoras, sans compter le contrôle de la Méditerranée américaine, espace de croisières, contrôle du canal de Panama… Limites : migrants latinos clandestins nombreux : Mexamerique : une source de tension interne ? appel croissant aux importations d’hydrocarbures

projet fut l’ALENA en 94. Des accords de libre échange entre les USA, Le Mexique et le Canada. Il s’agissait alors pour les USA de consolider des marchés pour leurs firmes multinationales, de fixer une main d’œuvre bon marchée à travers les maquiladoras et d’exporter son modèle éco libéral. Ils s’appuient sur l’OMC pour baisser les barrières douanières et ainsi favoriser les échanges. Cependant, les USA sont très vite confrontés à un ennemi redoutable et nouveau : le terrorisme islamiste

malgré les mesures quasi militaires prises par Washington pour l’immigration. Les villes jumelles de Matamoros (Mexique) et Brownsville (Etats-Unis) vers l’estuaire du Rio Grande est le reflet de cette situation: 150 usines étasuniennes, appelées maquiladoras, sont installées dans la ville mexicaine, ce qui explique que celle-ci soit deux fois plus peuplée que sa jumelle américaine. Néanmoins, près du tiers de la population de Brownsville est composé d'hispaniques, malgré le mur qui délimite la frontière

et L'Asie Orientale → Pôles majeurs. Le Mexique et le Canada absorbent une grande partie des exportations américaines et ils ont vendu 75% de leur produit à leur voisin. Ces firmes américaines installées côté Mexique pour produire moins chère → maquiladoras. Dans la deuxième guerre mondiale détruit l'Europe anéantit au niveau économique mais aussi politiquement et moralement. Le moral est d'autant plus détruit durant la première guerre mondiale, notamment à cause des civilisations qui sont sensées

(joint-ventures), profitant des bas salaires et des conditions de travail peu favorables aux travailleurs. Au début des années 1990, dans l'industrie mexicaine, environ un travailleur sur huit était employé dans l'une de ces fabriques. Dans ces maquiladoras sont assemblées des pièces détachées importées des États-Unis, et les produits finis sont ensuite exportés dans leur pays d'origine. La plupart de ces usines se trouvent à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, à proximité de Ciudad Juárez

border (fruit picking). The program was ended in 1964 to stop the emergence of a political conscience – mainly through unions- among the Hispanic community. - Another partnership was launched in the 1960s that led to the system of maquiladoras: the US would encourage the setting up of plants in Mexico – tax exemption, duty free in a 20km zone - would work for US companies on the other side of the border: for the US, it meant that the workers would remain in Mexico – would not encourage

auprès de l'usine de vêtements Mexmode située à Atlixco au Mexique. En septembre 2001, les ouvriers de cette usine ont enfin pu mettre en place un syndicat indépendant et signer un accord collectif. Cela a marqué l'émergence du syndicalisme dans les maquiladoras mexicaines, ce qui n'était pas toléré avant cette date.     Le 28 avril 2004 à l'ONU, des syndicats états-uniens et canadiens demandent la remise en cause de l'adhésion de Nike au Contrat Mondial de l'ONU ( dirigé par Georg Kell ), car d'après