Marceline Desbordes-Valmore

plasticiens qu’il admire. Marceline DESBORDES-VALMORE Marceline Desbordes-Valmore est une poétesse française née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859,. Son père Félix Desbordes, peintre en armoirie fut ruiné par la période révolutionnaire. Alors en 1801, elle part en Guadeloupe où avec sa mère elles vont rejoindre un parent plus fortuné qu’elles trouvent décédé. De plus l’île est en proie à la révolte. Sa mère y meurt en 1802, et Marceline a 16 ans et rentre alors en

période ne fut pas pléthorique en vers ni en prose. Heureusement, une femme, Marceline Desbordes Valmore, sut garder toute sa lucidité, éclairant « le siècle des Lumières » par son hymne nommé Le Premier Amour. Celui-ci me touche particulièrement par le réalisme de ces propos, cette poétesse décrit précisément la sensation du premier amour, comme certains l’ont connu et comme je le connais encore… Marceline Desbordes Valmore prouve, une fois de plus, merveilleusement bien qu’elle connait l’amour, «

IV MARCELINE DESBORDES-VALMORE En dépit, en effet, d’articles, l’un très complet de ce merveilleux Sainte-Beuve, l’autre peut-être, oseronsnous le dire ? un peu court de Baudelaire, en dépit même d’une sorte de bonne opinion publique qui ne l’assimile pas tout à fait à de vagues Louise Collet, Amable Tastu, Anaïs Ségalas et autres basbleus sans importance (nous oubliions Loïsa Puget, d’ailleurs, elle, amusante, paraît-il, pour ceux qui aiment cette note-là), Marceline Desbordes-Valmore est digne

ses Idylles. Il est le père de Nicolas Vauquelin Des Yveteaux. MARCELINE DESBORDES-VALMORE Née à Douai en 1786, son père Félix Desbordes, peintre en armoirie fut ruiné par la période révolutionnaire. En 1801 elle part en Guadeloupe où avec sa mère elles vont rejoindre un parent plus fortuné. A leur arrivée elle trouve le parent décédé et une île en proie à la révolte, sa mère y meurt en 1802.  Marceline rentre alors en métropole, elle a 16 ans devient comédienne et cantatrice

qui, j’en suis persuadée, peut être amené à apprécier la poésie. Prenons pour exemple ‘Regarde-le’ de Marceline Desbordes-Valmore. Antérieurement, j’avais critiqué des poètes pour un usage excessif de répétitions. Mais dans ce poème spectaculaire, la poète utilise une répétition dans chaque strophe et pourtant, le poème semble tout sauf monotone, répétitif, boursouflé. Au contraire, Desbordes-Valmore joue avec les répétitions de telle manière à ce que le lecteur se sent dans la peau de la femme qui

Anthologie de Français Sommaire : Le 16ème siècle : « Sonnet pour Hélène » de Pierre de Ronsard Le 17ème siècle : « La fille » de Jean de La Fontaine Le 18ème siècle : « Aveu d’une femme » de Marceline Desabordes-Valmore Le 19ème siècle : « Mon rêve familier » de Verlaine Le 20ème siècle : « La Courbe de tes yeux » de Paul Eluard Poème du 16ème siècle « Sonnet à Hélène » Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant

retrouve des poèmes tel que Lassitude, Nevermore ou encore l’Angoisse et de la section Paysages Tristes avec chanson d’automne et soleil couchant. Mais aussi d’autres poèmes tel que : Être Jeune du général Mc Arthur et Les Roses de Saadi de Marceline Desbordes-Valmore. Tout d’abord, le poème Nevermore qui est le deuxième poème de la section Melancholia. Constitué de deux quatrains et de deux tercets, ce poème évoque un souvenir d’un amour passé du poète, une déception amoureuse, certainement celle

fait de même « Tout me ravit; j'adore Tout ce qui vient de toi » Il arrive aussi que les poètes parlent de l’amour tout simplement. De leurs expériences heureuses ou pas et des sensations qu’elle peut provoquer. C’est ce dont parle Marcelline Desbordes-Valmores. Dans son poème elle répond à une question que tout le monde peut se pauser un jour : Est-ce que l’amour rend heureux ? Elle nous dit que l’amour fait parti de la vie, qu’une foi qu’on l’a connut sans lui l’existence devient pénible, que malgré

étant partielle et non eternel or le souvenir de cet amour qui l a jadis tant emporté et malheureusement trahis est eternel «Plaisir d'amour ne dure qu'un moment, Chagrin d'amour dure toute la vie». Ensuite nous aborderons un poème de Marceline Desbordes-Valmore datant du XIXe siècle : Les séparés . Ce poème présente une expression de l'amour-passion, de l'amour qui fait souffrir, un romantisme féminin très caractéristique, l amour auquel on tient mais auquel on veut fuir que l on peut très

l'or. · Guillaume Apollinaire, Alcools / parcours : modernité poétique ? · Un parcours associé fixé par le programme· Les mémoires d'une âme· Un poème de Marceline Desbordes-Valmore· Un poème de Valérie Rouzeau sur l’exil· Un poème d’Anna de Noailles ou Andrée Chédid · Les lectures cursives d’au moins un recueil appartenant à un autre siècle que celui de l’œuvre au programme, ou