Marché aux esclaves

l'Espagne achemine en Jamaïque les premières soutes d'esclaves africains. Un prêtre espagnol, Bartolomé de Las Casas, œuvre à la protection du peuple taino. C'est lui aussi qui suggère, ce qu'il devait regretter par la suite, d'avoir recours à des esclaves africains. Il écrit plusieurs livres dans lesquels il dénonce avec véhémence le mauvais traitement que les conquistadores infligent aux Indigènes. Il préconise que les Espagnols convertissent les Tainos au christianisme. La domination espagnole

dit « Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ». Il en a trop vu cette fois il est convaincu que Pangloss a tort. L’esclavage: en approchant de la vie ils rencontrent un esclave - la façon dont c’est écrit on a l’impression qu’il ne sont pas encore au cœur de la ville mais plutôt à l’extérieur donc que cet esclave n’aurait pas eu le droit d’être étendu comme cela par terre dans la ville au risque de déranger les gens. L’homme est dans un très mauvaise état - il est allongé par terre vêtu seulement

d'esclaves qu'ils traitoient avec barbarie. Je m'informois de la manière dont ces esclaves étoient nourris, du travail qui leur étoit imposé, & je frémissois des excès de cruauté que l'avarice peut inspirer aux hommes. Je revenois chez mon ami, l'ame abattue de tristesse, mais j'y reprenois bientôt la joie ; là sur les visages noirs, sur les visages blancs, je voyois le calme & la sérénité. Wilmouth n'exigeoit de ses esclaves qu'un travail modéré ; ils travailloient pour leur compte deux jours de chaque

d'esclaves qu'ils traitaient avec barbarie. Je m'informais de la manière dont ces esclaves étaient nourris, du travail qui leur était imposé, et je frémissais des excès de cruauté que l'avarice peut inspirer aux hommes. Je revenais chez mon ami, l'âme abattue de tristesse, mais j'y reprenais bientôt la joie ; là sur les visages noirs, sur les visages blancs, je voyais le calme et la sérénité. Wilmouth n'exigeait de ses esclaves qu'un travail modéré ; ils travaillaient pour leur compte deux jours de chaque

toute contrainte, oppression, prendre ses propres décisions, diriger sa vie, ce serait etre libre. Exercer son libre arbitre : voila a quoi aspire tout homme. Les revolutions contre une autorité supreme, qui tissent l'Histoire, en témoignent : les esclaves piliers de la société romaine, ont placé dans la révolte de Spartacus leurs derniers espoirs, cri de desespoir de ces "objets animés" selon Aristote. Leur libertée entravée depuis des générations, ils tenterent tout de meme de s'extraire de cette

 Sommaire Préface 3 Biographies 4 Premier Texte : « Melancholia », Victor Hugo 6 Deuxième Texte : « La belle Esclave maure », Tristan L’hermite 6 Troisième Texte : « Liberté », Victor Hugo 7 Quatrième Texte : « L’esclave », José-Maria de Heredia 8 Cinquième Texte : « L’esclave », Serge Lama 8 Sixième Texte : « Afrique mon Afrique », David Diop 9 Septième Texte : « Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux », Michel Berger 9 Huitième Texte : « L’esclave », Théophile Gautier 10 Neuvième Texte :

Tchatcher en GB fait de même c) En France : 1ière cohabitation PS/RPR : ce n’est plus la gauche qui est au pouvoir mais fait-on seulement une différence ? d) Mère Teresa fonde un hospice pour sidéens à Manhattan Le titre : Nous sommes esclaves de nos désirs, nous sommes esclaves de notre pouvoir d’achat : voilà ce qui provoque la solitude. Toxicomanie : Koltès s’est drogué. Il sait dedans sa chair ce que c’est que chercher coûte que coûte un dealer même dans les profondeurs de la nuit. SIDA : Koltès meurt

l'avion disparut un jour dans la Cordillère des Andes. Après la première nuit en montagne, tous le tenaient pour mort, et la stupéfaction fut totale quand on le retrouva, sept jours plus tard, à bout de forces mais vivant. Tout ce temps, il avait marché. « Ce que j'ai fait, je te le jure, aucune bête ne l'aurait fait », déclare-t-il à Saint-Exupéry.   Dans les chapitres suivants, « L'avion » et « L'avion et la planète », Saint-Exupéry décrit la machine, fragile et sûre à la fois, à laquelle les pilotes

définissait que le P avait le pouvoir absolu. La loi des douze tables(premieres lois romaines) donnait au P le « vitae necisque potestas » le pouvoir de vie et de mort sur tous les personnes et esclaves qui appartenait à cette famille. On disait que ces personnes était « sub manu » sous sa main. Les esclaves de la famille devaient être affranchis de la « main » du P, ce qui a donné alors les mot tels que : «  emancipatio » ou « manumissio ». Le P donnait l'independance à ses enfants (il pouvait

que le roi du pays leur a fourni une caravane de cent moutons (càd des lamas), dont cinquante sont chargés d’or, de pierreries et de diamants. Mais, en faisant route vers Cayenne, ils perdent peu à peu leurs richesses et, au bout de cent jours de marche, il ne leur reste plus que deux animaux ; ils conservent cependant leur rêve de bonheur, se voyant encore nantis de plus de trésors que n’en aura jamais le roi d’Espagne, et sont d’autant plus optimistes qu’ils parviennent enfin en vue de la capitale