Maréchal général des camps et armées du roi

au milieu du 18e siècle et s’étend à toute l’Europe au 19e.  La révolution française de 1789, qui signifie la fin de l’Ancien (>< moderne) Régime. La révolution française fait table rase du passé. C’est à présent le peuple et non plus le roi qui est souverain. Périodisation = interprétation  Une périodisation qui voit l’époque comme un progrès par rapport au Moyen-Âge. Ce n’est pas une périodisation neutre mais bien progressiste et même eurocentrée. C’est une interprétation qui

s’effondre en septembre 1870. Les lois républicaines de la IIIe République datent de 1875. Entre 1870 et 1875, c’est une période d’incertitude. On s’est posé la question de quel régime devait être mis en place. Le 2 septembre 1870, c’est la défaite des armées de Napoléon III face aux troupes prussiennes à la bataille de Sedan. Cela va entrainer l’abdication de Napoléon III, ie qu’il renonce à son titre d’empereur. Le 4 septembre 1870, des députés républicains modérés proclament la République et mettent

France, peur de perdre la première place et méfiance envers les voisins. - Certitudes dans les deux camps : la guerre sera courte et victorieuse. - Le déclenchement du conflit : Lors de la crise de succession en Espagne, Napoléon III considère avoir été insulté par le roi de Prusse ce qui lui permet de déclarer une guerre qui est considérée par beaucoup comme inévitable. C’est

L’instabilité constitutionnelle de 1789 à 1870 SECTION 1 : La période révolutionnaire (1789-1799) Le 5 mai 1789, Louis 16 convoque les Etats généraux qui ne s’étaient pas réunis depuis 1614 avec une discussion sur le point de savoir si les Etats généraux devaient être divisés en ordre ou s’ils doivent former un ensemble indivisible. Mais, ces Etats généraux ont un mandat défini : ils doivent travailler et faire des propositions à partir des cahiers de doléances. 3 propositions émergent : La première

par la France. La diplomatie française réussi à faire échouer ce projet. Le gouvernement obtient de Guillaume 1er qu'il ne soutienne par la candidature de son parent au trône d'Espagne. Mais les français veulent un engagement définitif de la part du roi de Prusse. L'ambassadeur de France en Allemagne se rend alors dans la ville d'Ems, auprès de l'empereur, pour lui demander de renoncer définitivement à soutenir la candidature espagnole. Guillaume 1er rejète cette demande. Il refuse de se prononcer

sévères. Ils vont faire disparaitre toute trace de la république et instaurent un régime absolu militaire. L’empereur à d’immenses pouvoirs, chef de l’armée qui lui jure fidélité, décide de son recrutement, pouvoir législatif (édit = norme à valeur générale qui s’applique à tout l’empire). Il a aussi le pouvoir de rendre la justice tant au criminel qu’au civil et en 1ère instance comme en appel). Enfin il nomme les sénateurs (ce n’est plus un collège aristocratique). [Le sénat n’a plus que des attributions

constitution, qui fixe les règles relatives à l'exercice du pouvoir. Un autre concept du droit constitutionnel est la protection du citoyen. Section 1 : Le pouvoir politique I – Notions de pouvoir politique A – Caractéristiques du pouvoir politique. En général, on constate en toute collectivité qu’une personne ou un groupe de personnes parvient à imposer sa volonté. Dans ce type de groupes s’instaurent des relations sur commandement et obéissance. Ceci détermine la distinction entre gouvernants et gouvernés

en effet il se fait progressivement à partir du Moyen Age et va culminer avec la révolution française. Les sociétés européennes commencent à se questionner sur la pertinence du couplage entre le pouvoir spirituel (Dieu) et le pouvoir temporel (le roi). Le pouvoir politique doit pouvoir s’organiser, non plus sur le mode de la tradition mais sur le mode de l’écrit. A la fin du 18es avec les lumières, qui vont remettre en avant la nécessité de l’écriture pour définir et les règles et les institutions

croisade : Au temps de Mélisende et d’Aliénor VIII. Le modèle du roi franc : Baudouin III IX. La première expédition d’Égypte : Amaury Ier X. Vers le drame des croisades : Baudouin IV, le Roi Lépreux XI. Le désastre de Tibériade : Guy de Lusignan XII. La troisième croisade : Conrad de Montferrat, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion XIII. Champenois et Poitevins : Henri de Champagne et Amaury de Lusignan XIV. La cinquième croisade. Un roi-chevalier : Jean de Brienne XV. Un pèlerinage sans la foi :

faisaient curée des places et des dignités constitutionnelles, il allait retourner à sa terre, lorsqu’il reçut une lettre ministérielle, par laquelle une Excellence assez connue lui annonçait sa nomination au grade de maréchal de camp, en vertu de l’ordonnance qui permettait aux officiers des armées catholiques de compter les vingt premières années inédites du règne de Louis XVIII comme années de service. Quelques jours après, le Vendéen reçut encore, sans aucune sollicitation et d’office, la croix de l’ordre