Marginaliste

tard comme l'"économie politique classique". On considère généralement que cette école de pensée aurait dominé la réflexion économique, principalement en Angleterre, pendant environ un siècle, avant d'être supplantée, à la suite de la "révolution marginaliste", par l'économie néoclassique. Comme toujours, les choses ne sont pas aussi simples. Les économistes classiques ne forment pas un ensemble homogène et ils sont en butte aux assauts de plusieurs auteurs. Si l'on cherche à identifier ce qu'on pourrait

siècle d'obscurantisme crispé sur la valeur travail – distinction valeur en usage et valeur d'échange. Ricardo, Marx. Alors qu'il y avait une théorie de la valeur-utilité qui était déjà présente dans la pensée de Smith. Il y a même une lecture marginaliste du paradoxe de l'eau et du diamant. L'eau a une très faible utilité marginale, le diamant une très forte utilité marginale. Dès le début du XVIIIe, on voit certains auteurs, notamment un très grand mathématicien suisse, Daniel Bernoulli,

allemande était dominée par le conflit des méthodes (Methodenstreit)[1]. Ce conflit avait pris naissance dans les milieux des économistes à la suite de la critique faite par Schmoller[2] d'ouvrages de Knies et de Menger[3] (qui portait sur la théorie marginaliste et la valeur subjective[4]). Ces derniers étaient les amis de Weber: C'est à leur contact qu'il se familiarisa avec les problèmes et les difficultés de la logique et de l'épistémologie. L’opposition entre Schmoller et Menger, réside dans la

d’approche du fonctionnement de l’éco, l’approche microéconomique et l’approche macroéconomique : - théorie classique (Quesnay, Smith, Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une analyse macroéconomique L’approche microéconomique consiste à chercher l’explication des phénomènes

production, de consommation, d’investissement et d’épargne. Faisant de l’unité économique individuelle l’objet privilégié de son étude, la microéconomie s’inscrit pleinement dans la démarche des économistes de l’école classique et de l’école marginaliste, qui suppose que les marchés sont en situation de concurrence pure et parfaite, que les prix sont donnés, et que la variation des grandeurs économiques ne peut être la résultante d’initiatives isolées. La microéconomie se distingue de la macroéconomie

va apporter aux libéraux une méthode mathématiques qui va donner à leur doctrine une allure scientifiques. 4.1.1L'histoire de ce courant 1870, 3courants pensés : - école de Vienne avec Cal Venger (1840-1921) qui est à l'origine du raisonnement marginaliste. Il constate que les intensités des besoins diminue avec sa satisfaction ,donc la valeur d'un bien est déterminé par l'utilité de la dernière unité consommée (le paradoxe de l'eau et du dament existe car on fait intervenir la dernière quantité

réorganisation générale - système des salaires stimulants - payement à l’année, en nature, donc non productif - payement au nombre de pièce produites : stimulant, mais Taylor pense que ce n’est ni efficace ni équitable car c’est un calcul marginaliste - organisation de l’entreprise : l’ouvrier produit et le contre maître organise et hiérarchise. Taylor pense qu’il faut sécuriser donc propose des contre maîtres qui surveillent les ouvriers et des techniciens qui organisent le travail. Ceci

contre-acculturation. Ils ont refusé l'impostition de la culture Occidentale moderne. La contre-acculturation reste un cas extrème. En effet, elle implique le rejet total de la culture dominante. D'autres communautés moins indépendantes et moins marginalistes existent également et ce partout dans le monde. B) Les communautés identitaires D'autres communautées se regroupent également entre elles. Ce sont principalement des minorités éthniques, culturelles, religieuses. Ces minorités ne se retrouvent

ces économistes cette penssée reste rattaché au contexte national et historique, ce n’est quà la fin du 19eme que la science économique va chercher a s’arracher du contexte économique avec le develloppement de l’école néo-classique autrement dit marginaliste : Léon Walras, Karl Menger, Alfred Marshal (fin du 19ème siecle). L’objectif des économistes est de rapprocher la science éco à la science physique et où commence a se developper l’utilisation de l’outil mathématique mais au début du 20ème siecle

risques, à saisir les opportunités, leur ambition personnelle, le sens de l'organisation, leur assurance. L'entrepreneur est un élément clé dans l'économie. Il a introduit de nouveaux paramètres tels que l'incertitude et le risque dans la théorie marginaliste. Ainsi, il y a une possibilité de dysfonctionnement, ce qui rapproche les différents courants d'analyse économique. Dans un premier temps je distinguerais les idées des différents auteurs sur l'intérêt des entrepreneurs, puis dans un second temps