Marginaliste

basées sur des hypothèses. Pourquoi étudier la microéconomie ?  vision du monde basée sur des hypothèses retenues encore par la très grande majorité des économistes = la théorie néoclassique – Révolution de la fin du 19ième siècle, avec la pensée marginaliste. Changement de perspective quant à la source de la valeur des biens et service. Fin de la « valeur-travail » et arrivé du prix comme un équilibre entre l’offre et la demande.  Vision du monde souvent à la base des raisonnements louant le marché

limites. B/ les libéraux interventionnistes Ils ont pour idée principale que le système capitaliste est bon mais présentes des imperfections qui doivent être corrigées par l’Etat, ce qui constitue le point commun entre Keynes et les marginalistes. Les marginalistes sont représentés par W. Pareto qui va développer un concept d’optimum ou de bien-être social. Le système évoluant vers un système de concurrence presque idéal mais il arrive parfois d’avoir un monopole ou une oligopole alors moins efficace

et de sociologues en plus d'économistes. L'Allemagne est le pays où la pensée historiciste s'est le plus développée et a eu le plus d'influence, allant même jusqu'à rendre ce pays plus ou moins imperméable aux influences exercées par le courant marginaliste en Europe à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. L'école historique allemande s'est formée dans les années 1840 avec les écrits de Bruno Hildenbrand (1812-1878), Karl Knies (1821-1898) et surtout de Wilhem Roscher (1817-1894). Par

des discipline qui relèvent des sciences sociales : c’est l’école psychologique autrichienne qui lance un certain nombre d’idées qui seront reprises par certains économistes autrichiens qui fondent l’école marginaliste. En Angleterre, un courant de pensée prendra ce même nom d’école marginaliste : elle ne fera que reprendre les grands principes énoncé par Adam Smith et John Stuart-Mill. Elle reprend donc : - l’individualisme, base de la doctrine. - la théorie de la valeur selon laquelle la valeur

utilitariste, de A. Smith à J.S. Mill, suppose un agent économique qui maximise ses plaisirs et minimise ses peines; cette pensée a souvent privilégié le consommateur comme modèle de comportement extensible à toute la vie économique . La révolution marginaliste du dernier quart du XIX siècle utilisera le calcul matriciel pour construire un modèle standard des comportements économiques guidés par une rationalité optimisatrice. On peut grouper ces hypothèses en deux catégories : celles qui assurent la cohérence

“Tiers Monde”), de la prépondérance dans les milieux officiels et académiques de l’idée d’une orthodoxie néoclassique pour laquelle seul compte le facteur individuel dont la rationalité est définie par l’axiome de la maximisation. Dans l’approche marginaliste, par exemple, l’on retient l’hypothèse d’individus rationnels cherchant à maximiser leur satisfaction (utilité pour les consommateurs, profit pour les entrepreneurs), à la différence de l’approche hétérodoxe keynésienne - macroéconomique et holistique

- Il est rigoureusement autonome (pas d’influence) - Il est rationnel (il opère pour manager au mieux son intérêt personnel) Son objectif est d’être le plus satisfait possible. Il va donc raisonner : un raisonnement marginaliste (à la marge). Exemple : et si je produis plus, vais-je gagner plus ? Les principaux résultats de la pensée néo-classique : le marché de concurrence parfaite (c’est le modèle optimal). La concurrence parfaite permet au marché d’allouer les ressources

surplus des demandeurs et des offreurs. II. La maximisation du profit à court terme 1) Elaboration de la règle de maximisation du profit. Profit = (Recette Total – Coût Total) = (Prix*Quantité) – (Coût Total) Profit = f(Quantité) : « Analyse marginaliste ». ∆ Quantités > 0 : = Recette marginale = Coût marginal Trois situations : 1. Recette marginale = 10 / Coût marginal = 6 → ∆ Profit = 4 2. Recette marginale = 10 / Coût marginal = 10 → ∆ Profit = 0 : « il n’augmentera plus car il est

prix relatif ne sont que la conséquence des rapports d’échange qui sont eux même déterminé par les utilités marginales. Si tous les consommateurs sont rassasiés d’un bien, la demande de ce bien sera nulle et son prix sera nul. Ce raisonnement marginaliste (s’appuie sur la dernière unité), l’école néoclassique l’applique à la théorie du consommateur mais également du producteur. Représentant de 3 écoles : Léon Walras : école de Lausanne : Se caractérise par un recours systématique aux mathématiques

Les trois principaux .fondateurs de l'économie néoclassique sont le Français Léon Walras (1834-1910), l'Anglais Stanley Jevons (1835-1882) et l'Autrichien Carl Menger (1840-1921). Les marginalistes | Les néoclassiques | Les néo-classiques se reconnaissent volontiers comme des économistes « marginalistes » par référence au calcul à la marge, c'est-à-dire à l’utilisation des dérivés dans le calcul mathématiques puisque c’est à la marge que se révèle la valeur. En tant qu’héritiers des classiques