Marginaliste

→ inspiré par FEUERBACH : automystification rendu étranger à son travail * produit de son travail (au capitaliste) * acti de prod qu'il ne peut organiser comme il l'entend * par rapp a son être générique NEOCLASSIQUES: REVOLUTION MARGINALISTE 3 écoles * Ecole de Lausanne WALRAS, PARETO * Ecole de Vienne MENGER * Ecole de Cambridge avec JEVONS MENGER (1840-1922) JEVONS (1835-1882) 1871 Principes d'eco politique

 souhaitée]. L'échange se base généralement sur une conception objective de la valeur, proche de la valeur travail d'Adam Smith, David Ricardo et Karl Marx, et non sur la conception subjective de la valeur, qui l'a supplantée depuis la « révolution marginaliste » de la fin du XIXe siècle. Le calcul de la valeur peut être simplifié à l'extrême : pour certains SEL favorisant la solidarité et le lien social, une heure d'échange vaut une heure, que l'on ait fait une tâche qualifiée ou non ; on gagne 100 unités

existe de nombreux courants et sous courants. Notre objectif est de présenter les 4 caractéristiques principales de ces courants de pensée. Essayer de comprendre ce qui les réunit. Le courant classique Le courant marxiste Le courant marginaliste Le courant keynésien Avertissement : le caractère nécessairement succin et par conséquent incomplet de la présentation (notamment en ce qui concerne les développements modernes). Objet de ce chapitre : donner un aperçu des principaux

concurrence pure et parfaite. Cette économie de marché est régulée par la variation des prix . Le raisonnement ne se fait plus sur des quantités globales mais sur quantités additionnelles,c’et à dire à la marge ,d’où l’appellation de la théorie dite « marginaliste ». Le consommateur rationnel maximisera son intérêt en consommant un produit jusqu’ au niveau ou l’utilité marginale apportée par ce produit sera égale à la désutilité marginale générée par la dépense relative à l’acquisition du produit. Le producteur

de la « valeur travail » à la « valeur utilité »). Les auteurs néo-classiques (Stanley Jevons en Angleterre, Carl Menger en Autriche et Léon Walras, un français exilé en Suisse) introduisent également le raisonnement à la marge d’où le nom de marginalistes souvent retenu pour les désigner : l’utilité procurée par la prochaine unité de bien consommé (utilité marginale) doit être supérieure au prix de ce bien (désutilité marginale) pour que le consommateur réalise cet achat. L’approche néo-classique

l’utilitarisme : toutes nos actions sont guidées par la recherche de l’intérêt individuel et la maximisation de la satisfaction. Les néoclassiques utilisent également un raisonnement à la marge (c’est pourquoi on les appelle aussi souvent « marginalistes »). Au lieu de raisonner sur l’utilité associée à des quantités globales, ils se concentrent sur les quantités additionnelles (voir chapitre micro) Dans une très large mesure, ce qu’on appelle aujourd’hui la microéconomie est issue de l’école

biens et services; l'utilitarisme est issu des Lumières. Est-il possible de comparer et de mesurer les niveaux d'utilité associés aux paniers de biens? C) Les notions d'utilité mesurable, cardinale et ordinale Fin XVIII et XIX avec le revenu marginaliste (Walras, Pareto, Menger, Jevons) ont pensé qu'il était possible de mesurer la satisfaction que tirent les individus de la consommation de biens (qu'elle serait quantifiable). Au niveau mathématique, le niveau d'utilité pourrait être associé à une

des classiques) « l’augmentation de la production pour faire face a l’augmentation de la population oblige a mettre en culture des terres de moins en moins fertiles, ce qui diminue le rendement global de la terre ». La version donnée par les marginalistes « lorsque dans une production on augmente successivement la quantité d’un facteur de variable alors que l’autre reste fixe, on constate dans un premier temps que la productivité de ce facteur augmente et que celle-ci diminue dans un second temps

ne sait pas quel optimum choisir. Pour lever cette indétermination, on peut introduire des prix. 8 Section II : lʼéchange en concurrence parfaite Historiquement la première formulation dʼune hypothèse de concurrence parfaite vient des marginalistes et elle vient de lʼidée que sur un marché qui serait parfait ou encore sous lʼeffet dʼune concurrence parfaite il ne peut y avoir deux prix différents pour un même bien. Il y a une tendance à lʼuniformisation des prix qui justifie le fait quʼon

mérité par le travail. Ils vont développer une nouvelle théorie de la valeur c’est la valeur d’utilité c'est-à-dire qu’elle est liée a l’utilité d’un bien que l’on produit ou que l’on veut acquérir. C’est une école qui va naitre de la révolution marginaliste, car ils vont utiliser le concept d’utilité marginal il est utilisé pour déterminé l’utilité du bien et la valeur du bien. Cette utilité va se mesuré a la marge (calcul marginal) c'est-à-dire qu’on va considérer la dernière utilité qu’on produit