Mariama Bâ

montre que la première décennie des indépendances tout comme l’ère coloniale est caractérisée par une absence de romancières, mais pas de femmes instruites. En effet, parmi les femmes francophones qui écrivent, nous avons les plus connues comme Mariama Bâ, Aminata Sow Fall, Ntyugewetondo Angèle Rawiri, Véronique Tadjo et Calixthe Beyala classées comme les écrivaines de « l’avant-garde ». Tirthankar Chanda note qu’à sa naissance, la littérature africaine écrite par les femmes, « au lieu de louer

Composition littéraire - Les Hommes Une si longue lettre de Mariama Bâ est le portrait d'une Afrique en mouvement, une Afrique en train de changer. Nous découvrons cette Afrique à travers l’histoire d’une femme, Ramatoulaye, qui écrit une lettre autobiographique à son amie Aïssatou où elle raconte les événements marquants de sa vie. Tout au long de cette lettre, elle évoque plusieurs thèmes problématiques, d'après elle au Sénégal et plus largement en Afrique occidentale, comme la polygamie,

français groupe n° 6 Exposee de français groupe n° 6 THEME THEME : Les problèmes des castes dans une si longue lettre de Mariama Ba NOM DES EXPOSANTS MOUHAMED SENE MOUSSA TALL MAME MBENDA GUEYE SEYNABOU NDIAYE FATIM HANNE PLAN I°) DEFINITION DU CASTE II°) LE SYSTEME DES CASTE III°) LES PROBLEMES DU CASTE BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Mariama Ba est née à Dakar en1929.Orpheline de mère, elle a été élevée par sa grande mère en milieu traditionnel musulman. A l’époque où son

Masculinité et pouvoir dans Une si longue lettre Dans la société sénégalaise á l’époque dans laquelle ce roman a été écrit, l'homme possédait le pouvoir sur les femmes. L'auteur du roman Une si longue lettre, Mariama Bâ, se concentre beaucoup sur ce pouvoir et toutes les différentes façons dont les hommes exercent leur pouvoir sur les femmes. Tout au long du roman, on voit que les hommes ont le pouvoir financier, le pouvoir politique, et la pouvoir émotionnel sur les femmes. Même la religion

1 -A VIE ET ŒUVRE DE MARIAMA BA Après la mort prématurée de sa mère, elle a été élevée par ses grands-parents dans un milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de laSanté du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans,elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947

rencontres au hasard d’un café, d’une bibliothèque, d’un Lavomatic, bousculade malencontreuse au détour d’une rue ou même visite nocturne d’un cambrioleur… 1 -A VIE ET ŒUVRE DE MARIAMA BA Après la mort prématurée de sa mère, elle a été élevée par ses grands-parents dans un milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après

: 2°)La femme comme épouse : 3°)La femme comme mère de famille : 1°)Biographie Mariama Bâ, née en 1929[->0] à Dakar[->1] au Sénégal[->2] et morte en 1981[->3] au Sénégal, est une écrivain[->4] sénégalaise[->5]. Après la mort prématurée de sa mère, elle a été élevée par ses grands-parents dans un milieu musulman[->6] traditionnel1[->7]. Son père, Amadou Bâ[->8], est devenu ministre[->9] de la Santé du premier gouvernement sénégalais[->10] en 1957[->11]2[->12]. Elle

de la domination masculine porté par certains personnages du roman de Mariama BA, nous allons tout d’abord présenter l’auteur et ensuite nous parlerons des éléments constitutifs de la condition féminine, l’injustice sociale faite à la femme et en fin l’émancipation de celle-ci dans notre société africaine en particulier sous l’angle d’ « Une si longue lettre ». I) Présentation de l’auteur Romancière sénégalaise, Mariama Ba est née en 1929 au Sénégal. Orpheline de mère elle a été élevée par sa

cette société l’artiste doit porter son regard critique et constructif sur la transmission des valeurs sociétales sans les quelles l’humanité serait en décadence. I –La société temple d’éducation L’Education est un thème récurent dans l’œuvre de Mariama Ba et cela ne peut être cadré qu’au limite de l’école d’où la nécessite de l’élargir au sein de la societe par le biais de la famille. La société est la première des écoles ou l’homme naquit grandit et devient un responsable, un leader capable de cerner

l amour et l amitié dans une si long lettre de mariama Ba est un thème qui est très important c est pourquoi beaucoup de professeurs aime se thème obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour raison de santé[1]. Ayant donné naissance à neuf enfants, elle obtient le divorce de son mari, le député et ministre