Marivaudage

eclaire, il faut l’on etre sure. Toute chose a un commencement, un initiateur, une philosophie comme le fut le cas de Marivaux, qui dans ces oeuvres boulverse et renverse l’ordre etabli. De creer que que chose qui navies jamais existe au paravant. Le Marivaudage, de Marivaux, le peintre de l’amour: Ca ne doit pas etre que que chose de force, que que chose masque, mais ca doit etre ce qui: l’amour

dernière. Plusieurs petites histoires se succèdent dans ce passage : tout d’abord la fable de la Gaine et du Coutelet puis l’histoire de la jeunesse de Jacques, l’histoire de monsieur de Guerchy ou du camarade de son capitaine, et enfin une scène de marivaudage. La fable de la Gaine et du Coutelet illustre la loi de l’inconstance. Elle illustre les propos de Jacques : « Le premier serment que se firent deux êtres de chair, ce fut au pied d’un rocher qui tombait en poussière ; ils attestèrent de leur

d’avoir été mal traité / I=dénonciation du système, amertume de Arlequin, la comparaison pose la déshumanisation sociale Arlequin est le porte parole de Marivaux. Il y a rapprochement entre auteur et énonciateur. Nouveau langage moralisateur : le marivaudage donne une force au langage en s’appropriant le canevas de la commedia dell’arte. Morale : « les hommes ne valent rien ». Dès le départ Marivaux nous annonce le contenu de sa démarche didactique et moraliste anoncée par un Arlequin humaniste.

très pathétique - fin heureuse II. Marivaux : • 1688-1763 • Polygraphe (journaliste, romancier, théâtre) • Caractéristiques : attentif à la psychologie des personnages, à la manière • dont ils expriment leurs sentiments surtout amoureux. Le « marivaudage » : discours amoureux extrêmement indirecte où les personnages se plaisent sans l’avouer. Lecture analytique : Fausses confidences Marivaux Problématique : De quelle manière Dorante est-il aidé par Dubois pour séduire Araminte ? I. Dubois un valet

personnages issus de la commedia dell’arte comme Arlequin, Colombine ou Pantalon. C’est dans cette lignée que trouve place Marivaux (1688-1763) et ses comédies qui associent la finesse de l’analyse du sentiment amoureux et la subtilité verbale du marivaudage aux problèmes de société en exploitant le thème emblématique du couple maître-valet. les Fausses Confidences, le Jeu de l'amour et du hasard ou l'Île des esclaves constituent quelques-unes de ses œuvres majeures. Lesage (1668-1747) a, lui aussi

dit, tout est pressenti et la scène se termine sur une interrogation. Ouverture : Si le langage est essentiel au théâtre, il l’est d’autant plus dans cette pièce où tout repose sur l’apparence. ENTRETIEN Amener la question du « marivaudage » dans l’entretien.

à la femme qui provoque les déclarations tout en les refusant afin de prolonger le jeu de la séduction. Ici, en effet, Arlequin et Cléanthis décident d’employer le temps à « faire la belle conversation », euphémisme qui signifie une forme de marivaudage, avec une visé légère, badine . Pour confirmer leur changement de statut social , ils s’interpellent avec les appellatifs « madame, monsieur » qui suggèrent une forme de politesse. De plus, le vouvoiement est de rigueur. Ils utilisent , pour

au Théâtre Italien et au Théâtre Français. Ses pièces empruntent leurs conventions à 'la commedia dell' Arte'. Ses oeuvres multiples révèlent un certain utopisme et traitent souvent de la 'métaphysique du coeur' plus connue sous l'appellation 'marivaudage’. Et c'est le thème de l'amour que Marivaux décline dans ses pièces tragicomiques. L'auteur se sert du travestissement et du grotesque des situations pour détourner les règles morales de l'époque. Il lance, comme unique rédacteur, le Spectateur

Italiens, le miracle du théâtre joue au maximum. Le miracle, c'est-à-dire cette métamorphose qu'imposent les règles du jeu. L'expression se fait mimique, le mouvement danse, on cabriole : dès que l'on pense à Marivaux, et plutôt que de penser à « marivaudage », pensons que Marivaux s'adressait à des acteurs pour qui le corps compte - le jeu du muscle, le feu du regard, la torsion des lèvres, l'envol des mains, des « gestueux » pour qui le théâtre est exercice physique. A cette métamorphose du geste

pas connu pour ses œuvres, par contre il a écrit plusieurs pièces de théâtre qui ont connu un succès au niveau du public, mais pas au niveau des critiques. Il est metteur en scène et écrivain pour la comédie-italienne. Voltaire invente le terme Marivaudage par rapport aux pièces de Marivaux. Au XVIIIe siècle, ce terme était négatif, ennuyeux. Marivaux a des idées modernes, mais il ne dépasse pas les limites. Dans sa pièce le Jeu de l’amour et du hasard, écrit en 1730, est une pièce de personnages