Marmotte

philosophie que «De vous claquemurer aux choses du ménage, » On a donc ici un sujet difficile entre les deux sœurs. C'est une bourgeoise qui se révolte contre les tâches ménagères ''amusements de ces sortes d'affaires'', ''choses du ménage'', ''marmots d'enfants'',''esclave asservi'' elle est très contente d'être seule sans hommes a sa vie. Elle préfère se marier à la philosophie pour de ''nobles plaisirs'',la sainteté ''à l'esprit donnez-vous toute entière''. Elle ordonnerait presque à sa sœur

3) Fables du 20ème siècle Le chêne et le roseau Le chêne un jour dit au roseau : « N'êtes-vous pas lassé d'écouter cette fable ? La morale en est détestable; Les hommes bien légers de l'apprendre aux marmots. Plier, plier toujours, n'est-ce pas déjà trop Le pli de l'humaine nature ? » « Voire, dit le roseau, il ne fait pas trop beau ; Le vent qui secoue vos ramures (Si je puis en juger à niveau de roseau) Pourrait vous prouver d'aventure, Que nous autres, petites gens, Si faibles

souffle ses mots M'accuser, - justes dieux ! – De n'aimer plus... quand... j'aime plus ! ROXANE, qui allait refermer sa fenêtre, s'arrêtant Tiens, mais c'est mieux ! CHRISTIAN, même jeu L'amour grandit bercé dans mon âme inquiète... Que ce... cruel marmot prit pour... barcelonnette ! ROXANE, s'avançant sur le balcon C'est mieux ! - Mais, puisqu'il est cruel, vous fûtes sot De ne pas, cet amour, l'étouffer au berceau ! CHRISTIAN, même jeu Aussi l'ai-je tenté, mais... tentative nulle : Ce... nouveau-né

Flottille Frettage Frisottant Frottement Galetteux Garrotter Gatte Gélinotte Gibelotte Glotte Goulotte Gouttereau Grelottant Guttural Hulotte Indécrottable Intermittent Lattis Levretté Librettiste Limettier Littéral Littoral Littorine Marcottage Marmotter Marotte Mascotte Masselotte Matthiole Mélitte Natter Néottie Ottoman Palafitte Pattu Péotte Permittivité Pittoresque Poinsettia Polyglotte Quenotte Quittance Psittacisme Regrattier Rémittent Risotto Rottweiler Roulotter Sagittal Sittelle Strette

-On rejoue la scène si tu veux ! -J’suis réveillée, imbécile. -On la refait quand même ! J’ai une super idée ! Tu soupires et te réinstalle en fermant les yeux. Tu sens Louis se coucher près de toi et jouer avec tes cheveux. -Debout la marmotte ! Je veux un câlin moi ! dit-il doucement T’ouvres les yeux pour tomber nez-à-nez avec Louis, plus souriant que jamais. -Je préfère ça ! dis-tu en te blottissant dans ses bras. -Tu sais ce que j’aurais aimé comme réveil moi ? demanda-t-il

légèreté de son fond. Cette légèreté qui ne pèse pas beaucoup face à la lourdeur de la démonstration est souvent vue comme un remède contre l’ennui des jeunes enfants. En effet, beaucoup pense que La Fontaine dans ses Fable, ne s’adresse qu’aux « marmots ». L’auteur répondra en partie à cette question dans sa préface du premier recueil de fables : « Tout cela se rencontre aux fables que nous devons à Ésope. L’apparence en est puérile, je le confesse ; mais ces puérilité servent d’enveloppe à des

l’ivrogne ?Ah ! vraiment,va, mes parents, qui vont venir dans un moment , sauront tes vérités. Sac à vin infâme, tu ne bouges du cabaret, et tu laisses une pauvre femme avec des petits enfants,sans savoir s’ils ont besoin de quelque, à croquer le marmot tout le long du jour. LE BARBOUILLE : Ouvre vite,diablesse que tu es,ou je te casserai la tête. Scéne 12 GORGIBUS, VILLEBREQUIN, ANGELIQUE, LE BARBOUILLE GORGIBUS : Qu’est ceci ? toujours de la dispute, de la querelle et de la dissension 

est libre tandis que l’enfant riche ne l’est pas du tout. Le poète rend cette condition meilleure en faisant de sorte que l’enfant riche soit envieux de la situation de l’enfant pauvre. II) 1) Une situation retournée -> Deux petits enfants « marmot » (=>synonyme de gamin, mioche) innocents. Ils sont tous les deux égaux, seule leur condition sociale les différencie. -> « une peinture idéale » (v35) le poète inverse la situation et fait de la laideur quelque chose de beau. Il trouve l’enfant

et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la ligne 18, Baudelaire retourne la situation et fait de la laideur apparente quelque chose de beau avec à la ligne 19 : « une peinture idéale » compare

peut observer que certains éléments du texte réduisent l'opposition entre la richesse et la pauvreté , et entre la beauté et la laideur. A propos de l'enfant pauvre, le poète remarque qu'un ''œil impartial'' pourrait découvrir ''la beauté'' du ''marmots parias'' (L,16): ce regard est celui de l'artiste qui ne se soucis ni de l'origine sociale, ni de l'élégance, ni de la propreté de ses modèles , mais cherche à travers eux une forme original de beauté. Voilà pourquoi la comparaison est introduite