Marmotte

s’agiter dès l’Évangile, et ses hurlements éclatèrent au moment où le curé montait en chaire. Jamais on n’avait entendu une voix de bébé aussi éclatante. En vain la fillette qui jouait la Vierge Marie le berça-t-elle contre sa maigre poitrine. Le marmot, rouge de colère, trépignant des bras et des jambes, faisait retentir les voûtes de l’église de ses cris furieux, et le curé ne pouvait placer un mot. Finalement il appela l’un des enfants de choeur et lui glissa un ordre à l’oreille. Sans quitter

originale Le vers 1 est identique. Il s'agit de placer le lecteur en terrain connu, de susciter un souvenir. La Fable de Jean Anouilh fait d'emblée référence au genre littéraire de la fable: (vers2) "fable", (vers3) "morale", (vers4) "l'apprendre aux marmots", destinataires habituels des fables  allusion du jugement de Rousseau (vers4); le vers 18 est une référence directe et puis quand la tempête survient, même formule (vers24 pour La Fontaine/ vers16 pour Jean Anouilh) II. Une parodie de la fable

la mère : « ostentation », « grossières », « vociférées », « sans répit ». De plus, il insinue progressivement le doute quant à ses véritables motifs. A. Jean Vallin : comme les autres enfants, il vit misérablement, dans la saleté. C'est un « marmot hurlant » qu’emporte Mme d’Hubières. Pus tard, il s’est transformé « Un jeune monsieur, avec une chaîne de montre en or, descendit d’une brillante voiture ». Il parle bien : « Bonjour, papa ; bonjour, maman ». Ces quelques détails montrent l’évolution

faire. Le texte comporte des éléments qui ne peuvent ps étres vrais ou qui sont là pour vraiment donner un aspect comique au poéme. Par exemple, "peigne sa peau velue", "s'annonce à l'huissier comme prince Ogrousky", l"ogre se mit alors à croquer le marmot". Les personnages sont fantastiques. Le lieu où se déroule la scéne l'est aussi "se présente au palais de la fée" et d'autres éléments comme "prince", "ulysse". Et a la fin du texte le poéte à la place de nous dire de ne pas manger l'enfant de sa

grand polatouche, la grande salamandre, le grèbe esclavon, la grenouille-à-queue des rocheuses, la grenouille léopard, la grenouille maculée de l'Oregon, la grue blanche d'Amérique, le jaguar, le lamantin, le loup gris, la loutre de mer, le lynx, la marmotte de l'île de Vancouver, la martre de terre-neuve, la mouette rosée, le mouflon des montagnes rocheuses, l'ours brun, l'ours blanc, l'ours polaire, la péruche de Caroline, le pic à tête blanche, la pie grièche migratrice, le pluvier siffleur, le puma

souvent froid (il a peur des bombardements et reste en retrait jusqu’à ce que des soldats aillent chercher la nourriture)(chapitre 1 l.137), fricoteur Blucke : Cuistot de la première compagnie, « chic type »(chapitre 1, l. 147), « gras comme une marmotte »(chapitre 1 l. 148)mais courageux. Commandant de la compagnie : Lieutenant, sait ce que pensent les autres soldats, n’était que caporal lorsqu’il était entré à la compagnie (chapitre 1 l. 162) Kemmerich : A Saint Joseph, a eu le haut de

Pensées (1670), fragments 347-348-397. « Le chêne et le roseau », Jean Anouilh. (1962) Le chêne un jour dit au roseau : « N'êtes-vous pas lassé d'écouter cette fable ? La morale en est détestable ; Les hommes bien légers de l'apprendre aux marmots. Plier, plier toujours, n'est-ce pas déjà trop, Le pli de l'humaine nature ? » « Voire, dit le roseau, il ne fait pas trop beau ; Le vent qui secoue vos ramures (Si je puis en juger à niveau de roseau) Pourrait vous prouver, d'aventure, Que nous autres

généralement la paroles à leurs personnages à l'aide du disours direct. Jean Anouilh utilise cet outil par exemple du vers 2 à 7 : « N'êtes-vous pas lassé d'écouter cette fable? La morale en est détestable: les hommes bien légers de l'apprendre aux marmots,,, »? Cette pratique qui met en relief plusieurs voix donne à la scène une grande vivacité et permet d'interpeller le lecteur.Il est d'ailleurs à noté que du vers 1 au vers 7, l'auteur reprend la fable éponyme de La Fontaine publiée au XVIIème siècle

La situation 1) Les ressemblances. Tout d'abord les deux contes possèdent la même trame, en effet les personnages principaux sont deux hommes, « Riquet à la houppe » qui était jugé à sa naissance comme étant «  un si vilain marmot » il a donc pour défaut d'être laid et François Luné «  malheureux du fait qu'il ne marchait pas dans le même sens que tout le monde » ( conte de Dumas et Moissard ), ils finissent tous les deux par se mariés, Riquet avec une belle princesse qui compense

LE CHOEUR LE CHOEUR Doucement bercé sur sa mule fringante, maître Blazius s'avance dans les bluets fleuris, vêtu de neuf, l'écritoire au côté. Comme un poupon sur l'oreiller, il se ballotte sur son ventre rebondi, et les yeux à demi fermés, il marmotte un Pater noster dans son triple menton. Salut, maître Blazius ; vous arrivez au temps de la vendange, pareil à une amphore antique. MAITRE BLAZIUS Que ceux qui veulent apprendre une nouvelle d'importance m'apportent ici premièrement un verre