Maronites

autobiographique. cest entre le roman et lautobiographique, il designe par camarade le ''il''. Nous verrons domment le ''moi'' combattant est devenu battu, ''ennemi'. Le hero affiche son appartenance confessionel, religieuse p27 ''cher mr kawabata je suis maronite''. Rachid a fais un choix cest de militer, militant au sein dune guerre , guerre de classe pas civil. on verra comment il va etre forrmer et initier au militantisme seln une ideologie qui refuse les appartenance confessionnel. Et 12 ans plus tard

en 1990), église Notre-Dame-du-Liban à Paris (1915 ; ancienne chapelle de l'école jésuite Sainte-Geneviève reprise par les maronites, qui ont dû lors de la séparation des Églises et de l'État quitter la chapelle du palais du Luxembourg mise à leur disposition en 1893), Foyer franco-libanais (1963 ; rue d'Ulm, foyer fondé par le gouvernement français et le patriarcat maronite autour de l'église Notre-Dame-du-Liban), Maison du Liban à la Cité internationale universitaire, chambre de commerce, office

Patriarche Antoine Arida lui demandant de peindre le toit de l'Eglise maronite au Diman. Debout sur des échafaudages pour décorer les murs et les plafonds de l'église Diman, Saliba acheva les décorations pendant 4 ans et son travail présentait une combinaison du classique et de l’expressionnisme. Cette commission a non seulement fait écho au Liban, mais c'était le début de son association professionnelle avec l'Eglise maronite – séparément de son travail régulier. Douaihy était impressionné par

Kataëb - phalanges armées maronites d’inspiration franquiste - s’opposent aux nationalistes et aux progressistes arabes. Le territoire se partagera rapidement entre les deux camps qui s’affrontent dans les rues et multiplient les massacres. L’Etat libanais, dont la crédibilité a été déjà affectée ces dernières années par des crises internes, n’est pas en mesure de réagir : une barrière est-ouest va alors s’ériger entre chrétiens et arabes. Voir aussi : Guerre du Liban - Maronites - Pierre Gemayel - Histoire

régions semi-autonomes organisées par des administrations régionales, le tout sous l’hégémonie de l’Empire. C’est d’ailleurs aux ottomans que l’on doit l’application du double Caïmacamat, période de scission du Mont Liban en deux secteurs, druze et maronite. * Ainsi nous pouvons constater que l’hégémonie de l’Empire Ottoman a eu deux influences majeures sur la construction politique du Liban : En premier lieu, cette domination Ottomane a eu pour conséquence un renforcement de l’islam dans la région

qualité de mère de Dieu. Ils sont déclares hérétiques en 431 par le concile d’Ephèse. Actuellement, la plupart des nestoriens se trouvent au Nord de l’Irak. LES MARONITES : Du nom du monastère de saint Maron au sud d’Antioche, les Maronites appartiennent à l’église orientale catholique qui, au XIIème siècle, s’uni à Rome. Les maronites se trouvent principalement au Liban oû réside le patriarche. Chaque église a à sa tête un patriarche. Aujourd’hui, on estime qu’il y’a 10 à 15 millions d’arabes

en a fait de tout temps un refuge pour les minorités persécutées du MO. Ces minorités ont été instrumentalisées par les puissances européennes que sont la France et l’empire Britannique, Napoléon soutenant des 1860 la communauté des Chrétiens maronites face aux Druzes. L’éclatement de l’empire ottoman en 1919 suite a la 1ère GM amène la SDN a confié la gestion de la grande province Syrienne (qui comprenait alors le Liban actuel) à la France : c’est le mandat Français. La France permet alors

du VIe siècle. Les Nestoriens : (Assyrio-Chaldéens) : favorisent la nature humaine du Christ et refusent le statut de la vierge Marie et le monophysisme. L’Église maronite : née suite à la séparation des Nestoriens au VIIe siècle et rattachée à Rome auXIIe siècle. Cette Église compte 1 500 000 de fidèles (en 2005). Les Maronites forment la plus importante communauté chrétienne au Liban de par le nombre des fidèles et leur rôle politique. On les trouve principalement au Mont Liban. Outre

de la Constitution de 1943 pour adapter le système politique libanais au poids démographique actuel des diverses communautés. Cette réforme constitutionnelle devait aboutir aux trois points suivants: 1) réduire les pouvoirs du président (chrétien maronite) au profit de ceux du premier ministre (musulman sunnite) et du président de l'assemblée (musulman chiite); 2) confier le pouvoir exécutif à un Conseil des ministres où les portefeuilles seront également répartis entre chrétiens et musulmans; 3)

autonome. Un mouvement nationaliste arabe a mobilise des intellectuels de Beyrouth et du Mont- Liban qui aspirent a l’indépendance de la Syrie, tandis que d’autre, parmi lesquels les maronite sont majoritaires, ils rêvent a un états libanais indépendant protéger par la France. Le 27 Octobre 1919 le patriarche maronite Hoyek remet a l’assemblée générale de la conférence de la paix a paris un mémorandum réclamant l’indépendance du Liban dans ces frontières historiques avec laide de la France.