Marqué par la haine

qu’il et qu’il » qui montre l’inéluctable progression. Ce mouvement grandit « ce cœur -> ces cœurs ->d’autres cœurs->des millions » consensus entre tous les cœurs. Un paradoxe nait, le cœur symbole d’amour est là associé à la haine et à la violence, cette haine grandit aussi, l’auteur est lui même conscient du paradoxe « pourtant ». 3) Une révolte contre la guerre Le slogan est très brutal pour frapper les esprits, il s’adresse aux lecteurs et aux occupants. Il constitue une menace, ponctuation

elle va utiliser l'écriture pour libérer sa voix et rechercher les différentes raisons qui l’ont poussée à se prostituer, les raisons pour lesquelles elle considère la séduction comme un devoir alors qu’elle ressent de la haine pour ses clients et pour elle-même. Dans cet incipit, elle se livre à une rétrospective commentée de sa vie, depuis son enfance jusqu’à la rédaction de son livre. En montrant son passé afin de justifier son arrivée dans

le narrateur ne parle que de sa condition à lui et de ses connaissance de manière très vague, une deuxième de « Hier à 8 heures » jusqu'à « Son képi » ou il est question de son amie Madame Bérenge et une troisième de « je pourrait moi dire toute ma haine » jusqu’au la fin où le narrateur fait un commentaire, où il se révolte. Néanmoins il est difficile d'établir de véritable mouvement au fil du texte puisqu'en fait, tout est mélanger. Le narrateur énonce une phrase à propos d'un sujet puis repart sur

LES CHEMINS QUI MONTENT Un roman d'amour et de haine Par Aomar MOHELLEBI - Dimanche 15 Avril 2012 Il serait sans doute subjectif de dire que Les chemins qui montent est le roman le plus abouti de Mouloud Feraoun quand bien même il constitue une suite de La terre et le sang. Mais il y a des indices dans ce roman bouleversant qui peuvent confirmer jusqu'à une certaine mesure ce constat qui reste personnel tout de même. Car chaque roman de Mouloud Feraoun a sa propre saveur et sa propre valeur

métamorphose de l'empereur (Changement complet d'une personne dans son état, ses caractères). c) La magnanimite de l’empeureur II) le pardon a) pourquoi Auguste pardonne? B)Un dénouement placé sous le signe de la réconciliation III) disparition de la haine d’Emilie qu’elle croyait immortelle IV)Le héros cornélien Le message implicite du dramaturge Conclusion introduction En 1640, Corneille fait jouer Cinna, tragédie en cinq actes et en vers : Émilie, protégée par l’empereur Auguste, songe malgré

brimades des gens et de la mère.   Table des matières [cacher] 1. ANALYSE 1.1. Un contexte historique : vers 1920, une société figée dans ses classes et minée de conflits 1.2. Un univers exempt d’amour et dominé par les ambitions, la haine, l’intérêt ou les frustrations 1.3. Une condition humaine sous le double signe de la solitude et de la souffrance : de l’enfant innocent à l’adulte différent 1.4. Une vision misogyne de la femme à travers le personnage de Paule, de la vieille baronne

Expliquez sur quoi repose la haine des juifs en Allemagne nazie au cours des années 1930-1940, pourquoi les juifs sont-ils constamment ciblés, haïs, persécutés. Un évènement qui a marqué la relation avec les Juifs serait la première croisade de 1096, qui anéantie presque totalement la population juive de Worms, Mayence et Cologne. Il est dur de donner une place aux Juifs dans la société, car : <<les juifs ne sont pas des étrangers comme les autres. Peuple de Dieu, ils sont pour l’Église et

Verlaine. En premier lieu, l’auteur use d’un ton élégiaque pour exprimer ses ressentis. Tout d’abord, la question rhétorique aux vers 3 et 4 « quelle est cette langueur qui pénètre mon cœur ? » et celle aux vers 14 à 16 « […] pourquoi sans amour et sans haine mon cœur a tant de peine [ ?] » montrent que le poète est pris de court par la tristesse ainsi nous pouvons démontrer l’impuissance de Verlaine face à ses sentiments. Ensuite, le changement rapide d’intonation au vers 11 » Quoi ! Nulle trahison ? … »

punir Brasse-Bouillon qui tenait la barre de la barque. Cependant, celui-ci refusant la punition qu'il trouve injuste va s'enfermer dans sa chambre et s'enfuit durant la nuit à Paris demander justice à son grand-père maternelle. Cet acte de résistance marque la fin de la domination de Folcoche sur ses enfants, ils sont assez âgés pour lui tenir tête et refuser son autorité. Folcoche ne s'avoue pas vaincue et prépare une vengeance, elle veut compromettre Brasse-Bouillon en cachant son porte-feuille dans

voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver. On a l’augmentation de la violence et la manifestation du désir