Marqué par la haine

la scène I de l’acte V, la tirade d’Hermione, fille d’Hélène et de Ménélas, montre son instabilité et son délire. Dans cette scène de crise on est confronté à un côté troublé de la reine qui vacille entre deux pensées et sentiments : l’amour et la haine. Dans cette scène, Hermione vacille aussi entre deux aspects de sa personnalité, Hermione, la femme, désespérée et soumise qui aime à toutes conditions et Hermione, aristocrate, qui doit se conduire telle une reine et être digne de royauté. L’instabilité

l'aide à se différencier des autres. Mais, elle est la source de nombreux affrontements. Stendhal publie en 1830 l'un de ses plus grands romans « Le rouge et le noir » dans le lequel il écrit: « J'ai assez vécu pour voir que la différence engendre la haine». Même si je n'ai pas « assez vécu » et que j'ai encore tout à apprendre de la vie, je suis d'accord avec ce que dit l'auteur. Je vais affirmer cette idée en abordant différentes formes de discrimination en commençant par l'inégalité entre les Noirs

l'apostrophe par son prénom original, “Octave” : il s'agit bien d'une introspection, d'une plongée au plus profond de son intimité, qui le renvoie à la vérité, à son passé qui a fait de lui ce qu'il est devenu, l'empereur Auguste. Ainsi l'exclamation “Quoi ! “, marque d'une sorte de surprise face à soi-même, introduit un dialogue entre deux facettes du héros : d'une part, le “moi” de l'empereur, blessé aujourd'hui d'apprendre la trahison de celui en lequel il avait placé sa confiance, d'autre part le “moi” d'Octave

que l’image est utilisée pour représenter Folcoche, la mère de Jean. Son visage nous montre qu’elle est calme et sévère. On peut penser qu’elle est malheureuse ou cruelle grâce à l’expression de ses yeux qui reflètent la tristesse et à ses traits marqués. Ses yeux sont froids et clairs semblent nous regarder. Ce personnage reste mystérieux, on ne sait rien de ce qui l’entoure, de son vécu, de sa famille. Seule certitude : c’est un personnage très dur, essentiel. Le titre « Vipère au poing » figure

représentation de pouvoir tient au respect individuel tel que nous le montre les ligne 21 à 25 : « …cependant le Prince qui veut se faire craindre doit s’y prendre de telle manière que s’il ne gagne point l’affection, il ne s’attire pas non plus la haine ; ce qui, du reste, n’est point impossible ; car on peut fort bien tout à la fois être craint et n’être point haï, et c’est à quoi aussi il parviendra surement, en s’abstenant d’attenter, soit aux biens de ses sujets, soit à l’honneur de leurs femmes… »

Ce dénouement présente donc de manière très pathétique la souffrance tragique d’un amant jaloux, abandonné par les yeux comme par les hommes, et permet ainsi d’entrevoir la vision pessimiste qu’a Racine de la passion amoureuse. [...] [...] Ta haine a pris plaisir à former ma misère, J’étais né pour servir d’exemple à ta colère, Pour être du malheur un modèle accompli ; Hé bien ! Je meurs content1, et mon sort est rempli. Où sont ces deux amants ? Pour couronner ma joie, Dans leur sang, dans le

plus tôt, déclenche et symbolise la guerre. Elle survient à Aïn Remmaneh dans une avenue séparant un quartier maronite d’un quartier chiite. Cette « ligne de front » bientôt rendue dangereuse par des barrages miliciens et les tirs des francs-tireurs, marque la frontière durable entre régions au leadership chrétiens – Beyrouth-Est, le Liban central et le nord maronites – et le reste du pays majoritairement musulman où sont installés les réfugiés et les combattants palestiniens. ·

telles que « des riens », « un petit fait « ou encore « du fumier ».Toutes ces expressions marque belle et bien le fait que Duroy n’attache pas d’importance réelle à ce repas familiale même si ces sentiment son sincères ils ne sont pas une nécessitée. L’auteur fait transparaître une rivalité entre la mère de Duroy et Madeleine. En effet l’opinion que la mère de Duroy cultive de « sa bru » semble mêlée de haine et de jalousie naissant des différences entre les deux femmes. Ces différences se font

Personnage de Duroy Relevez les diffrents noms de Duroy dans le roman et commentez-les. Au cours du roman, Georges Duroy adoptera plusieurs noms et surnoms. Durant la premire partie, il rpondra surtout au nom de Georges Duroy, son nom de naissance. Ce nom marque lancien Duroy, celui quil tait avant dtre embauch La Vie Franaise lpoque o il tait pauvre, inconnu et pas encore mari. Durant cette premire partie, il commencera galement se faire appeler Bel-Ami, dabord par Laurine, la fille de Mme de Marelle,

Cléopâtre avant de boire eux-mêmes. Par conséquent, ils ne toucheront pas à la coupe et la reine de Syrie meurt finalement pour rien. La reine le dit : « Ma haine est trop fidèle, et m’a trop bien servie ». On peut relever le parallélisme de construction : « Ma » / « m'a », « trop » (adverbe intensif) deux fois. La figure met en valeur le mot « haine », qui est presque une allégorie puisqu'elle est la seule et « meilleure » (à nuancer) conseillère de Cléopâtre et possède des caractéristiques d'un être