Martin Heidegger

favorable, le citoyen Sartre est mobilisé par l'armée française. Assigné à une station météorologique, il est fait prisonnier par les Allemands en juin 1940. Sartre profite de sa captivité pour étudier le grand ouvrage du philosophe allemand Martin Heidegger, Être et temps. Puis, en mars 1941, jouant de ruse avec les autorités du Stalag où il est prisonnier, il soutire la permission de quitter le camp. Il reprend alors ses activités d'enseignement puis s'associe à un réseau de la résistance, aux

d’existentialismes. La première est de forme chrétienne et regroupe entre autres les philosophes Karl Jaspers et Gabriel Marcel. La deuxième forme d’existentialisme est celle qui est considérée comme athée. Celle-ci regroupe le philosophe allemand, Martin Heidegger, et les existentialistes français, dont Jean-Paul Sartre. C’est deux écoles d’existentialismes estiment que l’existence va précéder l’essence. Premièrement, l’existentialisme chrétien va être une école de pensée qui considère que l’on existe

d’une chose débute par le fait de reconnaitre de ne pas savoir. Croire savoir c’est ignorer qu’on ignore. Reconnaitre qu’on ignore c’est le désire d’en savoir plus. ¨L’essence de l’Homme réside dans son temps.¨ Heidegger ¨être et temps¨ Socrate est le père de la philosophie (470/399 av. J-C) Socrate accepte de mourir il veut assumer ce qu’il a fait jusqu’au bout jusqu’à la mort. (Il a ¨perverti¨ les jeunes de sa cité en les faisant penser/réfléchir par eux-mêmes)

successeurs modernes, tels Celan, Rilke, ou Hölderlin, une véritable expérience de l'altérité : l'épreuve de cette étrangeté que le sujet est à lui-même. Dès lors, ce qui est senti comme radicalement étrange n'est autre que l'humain. Ainsi que l'écrit Martin Heidegger, "la poésie ouvre l'existence à son être-en-question(s) sans réponses." Elle est le lieu où l'homme demande à toutes les choses du monde qui il est, le lieu aussi où, dans la langue, les choses demandent à l'homme qui elles sont. "Au bois il

1924 à l’université de Marbourg, à l’âge de dix-huit ans, déjà pourvue d’une solide culture classique et armée d’un sentiment aussi intrépide que vulnérable de sa judéité. A l’université de Marbourg, elle reçoit avec passion l’enseignement de Martin Heidegger, durant la genèse de Sein und Zeit (publié en 1927). Après un semestre chez Husserl à Fribourg, elle s’inscrit à l’université de Heidelberg, encore vibrante de l’enseignement de Max Weber, pour rédiger sa thèse, Le concept d’amour chez Augustin

« rien ») (a) Dans sa conférence « Qu'est-ce que la métaphysique ? » (1929), Martin Heidegger s'interroge sur la notion de « rien ». La science est l'étude de ce qui est (de l'étant), et affirme qu'il n'est rien d'autre que ce réel. Or, se faisant, elle intègre le concept de « rien » à sa réflexion : le réel, c'est ce qui n'est pas rien. On peut donc poser la question de savoir : qu'est-ce que rien ? Pour Heidegger, le rapport du réel au rien est la question métaphysique par excellence : « Pourquoi

la philosophie de Martin Heidegger et de son maître ouvrage Être et Temps. Au sein de cette problématique qu'il ne fit que cerner mais qui resta pour lui un mystère, il distingua l'être de l'étant. Les étants sont les êtres qui existent alors qu'être est le verbe, soit la propriété des étants. De plus, pour lui la technique et le monde matériel en occupant l'esprit de l'homme de façon secondaire, le détournaient de la question fondamentale de l'être. Enfin, étant athée, Heidegger constatait que la

Hannah ARENDT, La crise de l’éducation Philosophe américaine d’origine allemande, Hannah ARENDT est née à Hanovre en 1906. Fille unique, elle fait ses études en Allemagne aux universités de Marbourg et Fribourg. Ancienne élève de Martin HEIDEGGER, elle noue une courte relation avec lui et une correspondance qui durera jusqu’à la mort de celui-ci. En 1929, elle obtient un doctorat en philosophie de l’université de Heidelberg sous la direction de Karl JASPERS et épouse un jeune philosophe

l’existence. L’existentialisme français a connu un rayonnement particulier dans le monde. Mais ses représentants sont tributaires de penseurs allemands comme Edmund Husserl, Martin Heidegger, Karl Jaspers… A preuve, l’existentialisme de Gabriel Marcel s’apparente à celle de Karl Jaspers, tandis que celui de Sartre est proche de Heidegger. La phénoménologie a constitué une source d’inspiration énorme pour l’existentialisme. Emmanuel Mounier définit l’existentialisme « comme une réaction de la philosophie

Qu’est-ce que la métaphysique ? « Qu’est-ce que la métaphysique ? » Martin Heidegger Conférence de 1929 « Qu’est-ce que la métaphysique ? » — La question donne à penser qu’on va parler sur la métaphysique. Nous y renoncerons. À la place, nous discuterons une question métaphysique déterminée. Par-là, nous nous transporterons immédiatement, semble-t-il, dans la métaphysique. Ainsi seulement nous lui offrirons la juste possibilité de se présenter elle-même. Notre propos débutera par le déploiement