Marty Friedman

provoquée par l’inflation entraîne une baisse de la consommation et une augmentation de l’épargne.Les libéraux adhèrent à la théorie quantitative de la monnaie, tandis que les keynésiens ne l’adoptent pas, sauf en situation de plein emploi. Selon Milton FRIEDMAN, si l’on compare les situations avant et après une politique de relance, rien n’a changé à part le niveau des prix (inflation). Cela a pour conséquence, d’entraîner une spirale inflationniste. Après la perception des augmentations de prix, les salariés

Le monétarisme est une théorie économique qui se concentre sur macro-économique effets de l'approvisionnement en argent et opérations bancaires centrales. Formulé près Milton Friedman, il argue du fait que l'expansion excessive de la masse monétaire est en soi inflationniste, et ce les autorités monétaires devraient se concentrer seulement sur la stabilité de maintien des prix. Cette théorie tire ses racines de deux idées presque diamétralement opposées : les politiques dures d'argent qui ont

Kenneth Arrow, Gérard Debreu • École des choix publics : James Buchanan, Gordon Tullock • Nouvelle macroéconomie classique : Robert E. Lucas, Paul Romer • École de Chicago : Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker ♦ Monétarisme : Milton Friedman Les idées néoclassiques Les mathématiques comme nouvelle approche de l'économie Les économistes de l?école néoclassique développent une formalisation mathématique de l?économie. Leurs analyses mathématiques (la microéconomie) reprises par la

Say et L.Walras. Au début du XXe, I. Fisher donna une formulation mathématique à la théorie quantitative de la monnaie. Considérée comme un prolongement de ces travaux, l’approche monétaire de la balance des paiements a été développée par Milton Friedman dans Essai d’économie positive (1953) et Inflation et systèmes monétaires (1968) puis par Dornbusch (1973, 1980), Frenkel et Johnson (1976) et Khan et Knight (1981). Dans le cadre d’une petite économie ouverte, le modèle de Polak51 pose comme principales

L’Europe, est détruite et ruinée par la 2°guerre mondiale,elle peut difficilement relancer son économie en ruine par elle-même, favorisant la progression des partis communistes. Pour les américains, il n’est pas question que ces pays basculent avec la menace sovietique. Un programme d'assistance et lancé par les états unis, le plan Marshall. Alors un organisme l'OECE est crée pour se partager les fonds au pays qui accepte les dons. Puis une alliance des pays occidentaux européens, des EU et

1975 s’inspire de cette logique keynésienne. Section 3 : Les grands courants de pensée contemporains Les écoles libérales Ecole monétariste ou école de Chicago Née dans les années 60 à l’Université de Chicago autour de Milton Friedman. Prix Nobel d’économie en 1976 pour la critique de Keynes. Cette école appuie ses thèses sur la monnaie. Les thèses sur la monnaie s’expliquent de trois façons : – L’inflation est un phénomène exclusivement monétaire, et donc toute augmentation

Fisher). Plus généralement, les prévisions jouent un rôle central en économie puisqu’un très grand nombre de décisions sont fondées sur des anticipations : • l’épargne dépend des anticipations de revenu (théorie du revenu permanent de Milton Friedman) ; • la production industrielle dépend des anticipations de demande (principe de demande effective de J.-M. Keynes) ; • le budget de l’État est construit sur une prévision de croissance du PIB. 2. Qu’est-ce qu’une prévision ? Le dictionnaire

demande globale, soit poussée par les coûts qui déterminent les prix de l’offre. Inspiration monétariste, l’inflation par la monnaie suggère que la hausse du niveau général des prix résulterait d’une émission de monnaie trop importante. Pour Milton Friedman, chef de file de l’Ecole monétariste et Prix Nobel d’Economie en 1972, « la cause de l’inflation est partout est toujours la même : un accroissement anormalement rapide de la quantité de monnaie par rapport au volume de production ». La justification

TD économie Générale n° 2 Exercice 1 : C = ©Y + Co : c est compris entre 0 et 1. Avec © = ∆C / ∆Y Une fonction de consommation est une représentation de la relation entre la consommation globale et les variables qui la déterminent (c'est-à-dire le revenu de Y). Lorsque la pente varie cela signifie que la propension varie également. Une relation croissante entre deux variables signifie que les deux fonctions varient dans le même sens. Si les deux fonctions varie positivement la consommation

de nature « globale », c'est-à-dire une moyenne de l’ensemble des prix, le niveau général des prix. Ne pas confondre avec la hausse « certaine », augmentation ou baisse, jeux des prix relatifs, le niveau moyen des prix restera identique. Milton Friedman, 1960 : « l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire ». C’est une vision moniste (cause unique). Cela affirme que si l’on contrôle le stock de monnaie en circulation, la flambée des prix ne peut avoir lieu  de façon durable. La déflation