Marx La Plus Value

Introduction: Nous avons choisi ce sujet pour une raison très simple, en savoir plus sur ce mouvement qu’est l’anarchisme, et son père fondateur, Pierre-Joseph Proudhon, en effet, nous avons remarqué que ce mouvement prenait de plus en plus d’ampleur dans notre société. Les thèmes principaux de ce sujet sont «Pouvoirs et sociétés», ainsi que «contraintes et libertés». En effet, tout au long de sa vie, Pierre-Joseph Proudhon s’est consacré a critiqué la société, les différents types de politique

nombreux systèmes économiques qui sont nées du souci d’enrichir les différents Etats. Vu leur objectif, ces différents systèmes économiques ont eu des impacts tant positifs que négatifs sur le développement des pays. Notre étude s’accentuera sur les deux plus grands systèmes économiques connus à savoir le capitalisme et le socialisme et leurs impacts sur le développement des pays en particulier sur leur développement économique. I / QUELQUES SYSTEMES ECONOMIQUES 1. Le capitalisme Le capitalisme est

l'anarchie: lorsque les libertés des individus n'ont plus aucune limite, cela peut engendrer l'anarchie, d'où l'intérêt d'établir des règles sociales et juridiques. - le despotisme démocratique: le peuple est représenté par des élus qui exercent le pouvoir politique, ce qui rend les citoyens passifs. - le despotisme de la majorité: la majorité peut brimer les minorités et restreindre la liberté individuelle. 3) karl marx (1818-1883) _ karl marx est a la fois économiste, philosophe, historien, sociologue

de minimiser les importations à bas prix, afin de protéger les entreprises nationales. La théorie des avantages comparatifs c’est la spécialisation des pays dans la production dans laquelle ils sont le moins désavantagé ou dans celle où ils sont le plus avantagé. Les préoccupations d’aujourd’hui sont les externalités négatives et la rareté des ressources. Les PID cherchent à créer un avantage comparatif. * « un polémiste né ». Robert Malthus Il y a 2 lois permanente de la nature : le désir sexuel

l'économie et l'organisation, est imprégné de la problématique des liens entre l'économie et le management et des conséquences de cette relation en termes de réalités sociales et matérielles. L’auteur cerne à travers sa formule méthodologique « Aristote —Marx — physique du quantum » les structures voilées de l'économisme dominant avec ses dangereux glissements vers une financiarisation outrancière, ses arguments d'autorité ou de non-sens, et son bras armé, le management maximaliste de courte vue. La compréhension

libéralisme afin d'améliorer le fonctionnement du capitalisme. Les principales théories économiquesLe libéralismeDe nombreux auteurs ont participé au développement des idées libérale. Tous partagent l'idée selon laquelle l'initiative individuelle est la plus à même de permettre la réalisation de l'intérêt général. C'est la première théorie à voir le jour au XVIIe siècle avec Adam SMITH, puis Jean-Baptiste SAY, MALTHUS et RICARDO. Dans cette théorie, les fondements de l'activité économique sont : L'individualisme

va se déconnecter sensiblement des décisions morales pour satisfaire les besoins de l’homme. La renaissance oriente l’esprit de l’humain vers les intérêts matériels et terrestres. Un fort courant individualiste se développe. Le sociologue allemand Marx WEBER montre à cet effet le moteur de l’éthique protestante, qui légitime l’acquisition des richesses par la prédestination. Toutes ces mutations sont interprétées et analysées par les écoles de l’époque : les mercantilistes et les physiocrates.

Seulement la production agricole créée de la richesse. Ils montrent qu’avec l’agriculture on obtient une valeur supérieure par rapport à ce qu’on a semé au départ. On a un mécanisme de création de valeurs. 2) Les physiocrates affirment la nécessité d’une plus grande liberté dans le monde des affaires. (Contre le protectionnisme de Colbert). Ils participent par cela à un mouvement : les philosophes des lumières. . Ils participent à certains travaux (encyclopédie de Diderot et d’Alembert. La liberté ce décline

phénomènes sociaux (comme l'histoire, l'économie, la linguistique). Sociologues et historiens peuvent étudier les crises industriels par ex, et alors les barrières tenu entre la sociologie et l'histoire. De même la littérature nous en dit parfois plus long sur la réalité sociale que sur les théories sociologiques, il est parfois préférable de lire Balzac ou Hugo qu’ Auguste Comte D'autre part la notion de phénomène social que l'on peut considérer comme l'objet de la sociologie, s'applique

P 54 : les crises économiques comme synthèse réelle et aplanissement violent des contradictions de l'accumulation capitaliste. Une vision marxienne des crises (et non des cycles, analysé plus loin). Un : le but immédiat et le mobile de la production capitaliste réside dans la production de la plus-value et de sa reconversion en capital. Le but premier du capital n'est donc pas de satisfaire des besoins, mais de générer du profit ce qui suppose un réglage du niveau de production en fonction