Mary Shelley

mêlent de façon étrange le rêve et la réalité, le surnaturel et le naturel, datent du XVIIIe siècle, en France avec Cazotte mais surtout en Grande-Bretagne avec le roman noir, le roman gothique et enfin, à la toute fin du XVIIIe, Frankenstein de Mary Shelley. Nous n'aborderons qu'ensuite l'Allemagne et les Contes d'Hoffmann. Le fantastique en europe: Gautier Dans le sillage de Nodier, d'abord, puis d'Hoffmann, le fantastique s'est donc développé partout, aussi bien en littérature, puisque outre les

les gens d’une telle arrogance. On retrouve ce concept dans le roman Frankenstein de Mary Shelley, qui porte d’ailleurs le nom complet de Frankenstein ou le Prométhée moderne, en référence au Titan de la mythologie qui vola le savoir divin en créant des hommes à partir d’argile et d’eau. Celui ci fut sévèrement puni par Zeus qui le condamna à l’enchainement et la torture sur le Mont Caucase. Le livre de Mary Shelley présente un docteur voulant braver la mort, donc Dieu, en créant la vie. Cet acte

Ces deux personnages sont totalement soumis à l’amoralité et au vice et n’hésitent pas à contaminer leur entourage, en particulier s’il est vertueux. Par ailleurs, l’identification est quasi absente parfois comme c’est le cas dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre (qui du reste s’humanise au fil du roman) ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné

la tête d'un cheval aux yeux argentés. Pour les spectateurs contemporains, le tableau évoque le rapport entre, d'une part l'incube et le cheval (une jument) et, d'autre part, les cauchemars. Cette œuvre a probablement inspiré le cauchemar de Mary Shelley qui donna naissance à son roman, Frankenstein ou le Prométhée moderne. Füssli et ses contemporains voyait dans cette expérience un rapport avec les croyances folkloriques, comme les contes germaniques au sujet des démons et des sorcières qui possèdent

Herbest West, décrit des corps morts qui deviennent des créatures violentes, taciturnes et incontrôlables à cause de procédés scientifiques. L'auteur avouera dans ses lettres avoir souhaité faire d'un de ses récits une parodie de Frankenstein de Mary Shelley et décrit des scènes violentes et sinistres à souhait. La nouvelle de 1959 Vous les zombies de Robert A. Heinlein peut être considérée comme une des premières allusions aux zombies. L'auteur J.K. Rowling a utilisé le concept des zombies dans le

la tête d'un cheval aux yeux argentés. Pour les spectateurs contemporains, le tableau évoque le rapport entre, d'une part l'incube et le cheval (une jument) et, d'autre part, les cauchemars. Cette œuvre a probablement inspiré le cauchemar de Mary Shelley qui donna naissance à son roman, Frankenstein ou le Prométhée moderne. Füssli et ses contemporains voyaient dans cette expérience un rapport avec les croyances folkloriques, comme les contes germaniques au sujet des démons et des sorcières qui

chercheurs, aspirant à devenir Dieu, qui voient s’effondrer leurs illusions de toute-puissance devant leurs fuyantes créations (monstres, robots, androïdes… et aujourd’hui, clones!). L’histoire du roman Frankenstein ou le Prométhée moderne (1816) de Mary Shelley est sans doute un des exemples les plus connus de ce type de rêve devenu cauchemar. Par contre, la seconde, soit l’intrigue du combat de l’homme contre le Mal, représente l’affrontement de tout être avec une force écrasante qu’elle soit le diable

changer, on restera inerte. On aurait plus envie de vivre la vie et les expériences d’un héros. Celui-ci nous fait donc un modèle de vie pour tous les jours 2) On peut aussi trouver des romans d’héros qui ne sont pas modèles. - Frankenstein de Mary Shelley, le docteur Frankenstein n’est pas un modèle car celui-ci est dépourvu d’âme et donne naissance a un monstre - Ce cher Dexter de Jeff Lindsay, le héros de l’histoire Dexter n’est pas un modèle car c’est un tueur en série A l’inverse car le héros

Chapitre 11 – Frankestein (Mary Shelley) Dans ce chapitre, le monstre commence à raconter son histoire. Il parle de ses "sensations" et de ses sens ("vu", "senti", "entendu", "goûté"), mais pour le moment, il ne savait pas ce qu’il ressentait : il était pratiquement perdu dans un monde "confus" et "indistinct". Il raconte sa "naissance", due à l’électricité (" la forte lumière"). Juste après cet évènement, il quitta l’appartement de Victor. Ce départ provoque un changement d’émotions chez lui :

caricaturale. « Sa peau jaune tendu à l’excès couvrait a peine le tissu des muscles et des artères… Ses yeux noyés d’eau semblaient presque de la même couleur que le blanc terne de ces orbites. Son visage était ridé et ses lèvres droites et minces. » (Mary Shelley, Frankenstein) En conclusion nous dirons que, dans les romans, les personnages repoussants apportent à la lecture, en diversifiant le panel de protagonistes. Ils donnent du relief et inspirent des émotions au lecteur. Mais ils peuvent aussi