Mathilde de Flandre

LE CATEAU-CAMBRESIS Source : Panorama 2009-CRCI NPDC - Réalisation : CRCI NPDC Poids du discount dans le commerce alimentaire par zones d’emploi Plus de 10% 8 à 10% 6 à 8% 5 à 6% Moins de 5% DUNKERQUE CALAISIS 5,9% 6,2% BOULONNAIS FLANDRE-LY S 4,9% SAINT-OMER 8,8% 8,7% ROUBAIX-TOURCOING 6,7% LILLE BETHUNE-BRUAY MONTREUIL 6,7% 11,3% LENS-HENIN DOUAISIS VALENCIENNOIS 8,4% 12,6 % ARTOIS-TERNOIS 9% 8,1% 7,5% SAMBRE-AVESNOIS CAMBRESIS 11,9%

Stendhal I/ Mise en scène de la rencontre L’auteur procède à une véritable mise en scène de la rencontre entre les deux personnages Lieu : existence d’un lien entre le lieu d’une rencontre et sa signification (cf. notamment rencontre entre Julien et Mathilde dans Le R&N) Ici la joaillerie indique de suite un certain rang social. Cette indication est d’ailleurs renforcée par le pluriel « des pierreries » (idée d’abondance) et la richesse du marchand («tellement enrichi », « sa maison paraissait plutôt

cristallisation chez Stendhal I/ Mise en scne de la rencontre Lauteur procde une vritable mise en scne de la rencontre entre les deux personnages Lieu existence dun lien entre le lieu dune rencontre et sa signification (cf. notamment rencontre entre Julien et Mathilde dans Le RN) Ici la joaillerie indique de suite un certain rang social. Cette indication est dailleurs renforce par le pluriel des pierreries (ide dabondance) et la richesse du marchand (tellement enrichi, sa maison paraissait plutt celle dun grand

I/ Mise en scène de la rencontre L’auteur procède à une véritable mise en scène de la rencontre entre les deux personnages Lieu : existence d’un lien entre le lieu d’une rencontre et sa signification (cf. notamment rencontre entre Julien et Mathilde dans Le R&N) Ici la joaillerie indique de suite un certain rang social. Cette indication est d’ailleurs renforcée par le pluriel « des pierreries » (idée d’abondance) et la richesse du marchand («tellement enrichi », « sa maison paraissait plutôt

révolutionnaire allant jusqu'à imposer l’insurrection. En effet, dans un contexte où la disette régnait à Paris (suite au manque d’approvisionnement en farine et d’autres denrées), la nouvelle d’un banquet organisé par les gardes en l’honneur du régiment de Flandres attise la colère des Parisiennes. Or ce sentiment est un aliment dont le peuple affamé ne se rassasie pas. Le 5 octobre, un rassemblement devant l’hôtel de ville de Paris est mis en place. Plus de 6 000 femmes venant des Halles et du faubourg Saint-Antoine

Handfest a plus de 250 ans, et on se pose la question de savoir si elle est encore en vigueur. En effet à cette époque, Fribourg est une grande ville commerçante, elle entretient des relations avec la Lombardie, Marseille et encore la Flandre. Or avec les marchandises, circulent également les idées. De plus à cette époque, à Bologne on étudie la Glose, dans celle-ci, on retrouve des parties de la vie des Glossateurs. On a Bulgarus et Martinus toujours en controverse.

originale de l’œuvre ni ce qu’elle représentait. La partie manquante pourrait faire 5 à 6 mètres… ◊ Chronologie : 1077 : 14 juillet. Dédicace solennelle de la cathédrale de Bayeux qui vient d’être rebâtie, en présence du roi Guillaume, de la reine Mathilde, d’Odon, évêque de Bayeux, et de l’archevêque de Canterbury, Lanfranc. La Tapisserie est, peut-être, exposée dans la nef. 1476 : Un inventaire du trésor de la cathédrale mentionne la Tapisserie, “une tente (tenture) très longue et estroicte de

sociale et politique d’une époque grâce à l’écriture. Stendhal dépeint avec un grand souci de réalisme psychologique, les sentiments des personnages principaux, notamment la naissance des sentiments amoureux (cf. M de Rênal et Julien - Julien et Mathilde de La Mole - Lucien Leuwen et M de Chasteller - Fabrice et Clélia). Néanmoins, la peinture des mœurs chez Stendhal n’est jamais impartiale: sa motivation n’est pas sociologique : son but est de faire tomber les faux-semblants et de montrer « la

37/649 — Assieds-toi… Tu boiras bien une coupe de vin ? — Non, je vous remercie. Ma clairvoyance n’y résisterait pas et nos retrouvailles en souffriraient. Je suis épuisé. — Je présume que tu arrives de Baerle ? La route est longue, il est vrai. En Flandre, quelle que soit la distance, les voyages m’ont toujours paru n’avoir jamais de fin. Entre la boue en hiver et la poussière en été, entre les brumes, les rafales de pluie et les colères du vent, tout semble se liguer pour ralentir le temps. Petrus

mobilités des salariés Rompre avec la logique d’une flexibilité inégalitaire ; permettre à chacun de construire ses parcours professionnels en toute sécurité et en toute liberté ............................................................. 9 Mathilde Lemoine et Étienne Wasmer 1. Introduction ........................................................................................... 9 1.1. La flexibilité a augmenté mais de façon inégalitaire ..................... 10 1.2. Le bon fonctionnement