Max Havelaar Commerce équitable

fondé sur trois principes : économique, social et environnemental. - L’économique ne prend pas le pas sur le social, c’est un commerce équitable. - Lorsque l'économie rejoint l'environnement, ce développement est viable. - Lorsque le social rejoint l’environnemental (tri des déchets...), on parle de commerce vivable. Le développement durable est donc de type équitable ou vivable, c'est-à-dire qu’il intègre le social, et donc qui ne baisse pas, voire améliore, le niveau de vie. Il n’empêche pas

notre vie quotidienne. Dans cet objet d’étude je parlerais de ce nouvel engouement pour les grandes surfaces telles que Carrefour, E.Leclerc. Que ce soit pour un coût marketing ou pour l’image de l’entreprise, le développement durable avec le commerce équitable est présent dans ces magasins. Je vous parlerai d’abord de l’exemple très concret de E.Leclerc ensuite de son concurrent Carrefour. 1ère partie : E.Leclerc Depuis 60 ans, E.Leclerc poursuit un objectif : démocratiser la consommation

manquent d’engagements concrets et facilement mesurables, comme on peut le retrouver dans une directive pour le commerce équitable avec Max Havelaar ou pour le label bio AB. De plus, le recours à un nouveau type de label et d’engagement vient créer une nouvelle information pour le consommateur, déjà confus face aux dizaines de labels déjà présents dans son quotidien (AB, Cosmébio, Max Havelaar, etc.). A voir aussi : La véritable éthique des entreprises les plus responsables | La marque de mode Etnies

presence sur le marche du commerce equitable. . Il s’agit dans ce cas d’élargir la clientèle de la marque Alter eco, qui revendique un commerce équitable. Il va donc falloir convaincre le mieux possible grâce à une nouvelle campagne de communication, le nouveau secteur qu’alter eco va vouloir ciblé. ------------------------------------------------- Analyse interne d’Alter Eco Forces | Faiblesses | Taille du groupe * Marque leader du commerce équitable en France. * Alter eco travaille

syndicats, des pouvoirs publics - développement de la filière bio, du commerce équitable avec des Label comme « max havelaar » Aujourd’hui, la population est de plus en plus sensibilisée à - développement du secteur des énergies renouvelable, ou l’écologie, le développement durable et le respect de l’être traitement des déchets humain. Les organisations doivent prendre en compte cette - avec les NTIC, développement du commerce électronique évolution Ex : Charte IKEA qui s’engage à faire fabriquer

acheter des «produits qui respectent l'environnement». 16% déclarent acheter des produits dont «une partie des bénéfices sera reversée à des associations à vocation humanitaire ou environnementale». Et 15% des sondés se tournent vers le commerce équitable (label Max Havelaar, etc.). Même si ces pratiques demeurent minoritaires, elles n'en reflètent pas moins l'émergence ou la diffusion d'une sensibilité «éthique». Un intérêt croissant pour les pratiques éthiques La consommation n'est toutefois qu'un

spontanée assez forte Image de marque : plaisir, authenticité, proximité, originalité Portefeuille produit : 400 références-produits avec labels bio/Max Havelaar/Producteurs Régionaux; 6 segments → repas et petit déjeuner contribuent à 56% du CA de Jardin Bio Position concurrentielle : Marque phare du groupeLeader des segments petit

alimentaire en 2003 : Les principaux producteurs de chocolat alimentaire sont Nestlé (27%), Janvier (17%), Cadburry (15%) et Kraft (13%) C – La distribution Le commerce de détail de chocolats est assuré par de nombreux circuits de distribution : artisans chocolatiers chaines organisées GMS automates commerces de proximité ventes en ligne Page 3 II – LA DEMANDE A – Analyse qualitative En France, 94% de la population est consommatrice de chocolat dont 44% tous les jours

bonne humeur. Je remercie tout particulièrement Mlle Marie Eve Caruyer pour ses conseils, son dynamisme, et son soutien. 3 Sommaire Introduction I. DE LA THEORIE… A. Définition des concepts 1. Le développement durable : késako ? 2. Le commerce équitable 3. Un « autre » tourisme 4. Et le bio : où en est-on ? B. Le développement durable : mythe ou réalité dans le domaine du marketing ? 1. Intérêts d’une telle alliance 2. Les difficultés à mettre en place une telle stratégie II. A LA PRATIQUE

aussi prendre en compte les acteurs de l’ombre qui ne sont pas directement impliqués dans la chaîne commerciale et qui pourtant en tirent de larges bénéfices : les Etats exportateurs et les spéculateurs. Il en résulte des effets dévastateurs pour un commerce géré uniquement en fonction des intérêts commerciaux des grandes entreprises multinationales du Nord. La logique économique appliquée est simple : les pays riches achètent des matières premières des pays du Sud à des prix très bas, pour les transformer