Max Weber Le Désenchantement Du Politique

points de vue ou ses postures. Ses méthodes. 3. Points de vue : Phénomènes sociaux Les phénomènes sociaux recouvrent : L'action sociale (WEBER) Le fait social (DURKHEIM) 3.1 L'action sociale Par action sociale, on entend : Action humaine. Individuelle ou collective. Prouve que les êtres humaines vivent ensemble et tiennent compte d'autrui pour agir. Max WEBER dresse les fondements d'une sociologie compréhensive, une sociologie qui s'intéresse à la compréhension des comportements humains. Pour

principes moraux qui sont à la base du comportement de quelqu’un, l’éthique peut se définir comme la recherche personnelle d’une sagesse de l’action. M. Weber « Le savant et le politique » développe une distinction entre: L’éthique de conviction qui se fonde sur des principes intangibles en tant qu’homme ou femme, vous avez des convictions politiques, morales, etc. (Je suis pour la dépénalisation de la drogue). L’éthique de responsabilité qui tient compte des conséquences possibles de ses décisions

d’un individu sont le produit d’une influence sociale. La société impose sa marque aux individus, et chacun serait un reflet d’un déterminisme social. Le milieu social est un donné qui s’impose à tous. Sociologie comme science des déterminismes. M. WEBER (1864-1920. Fondateur de l’école allemande de Sociologie), insiste sur la relation sociale c'est-à-dire que le comportement d’un individu s’explique par le jeu des relations qui s’établissent avec autrui. Mon agir est conditionné par la perception

explique le monde, tel que nous le connaissons, le voyons. Le mythe est pour ainsi dire un moyen quasi-infaillible de balayer les zones d’ombres concernant les mystères du monde. D’une certaine manière le mythe est comme la politique : « Tout n’est pas politique, mais la politique s’intéresse à tout » Nicolas Machiavel. En effet, les mythes tendent à vouloir expliquer le monde dans son intégralité. C’est pour cela que les champs de réflexion en relation avec le mythe sont nombreux : ce peut-être

individualisme est donc dans nos sociétés à définir comme étant une indépendance croissante de l'individu face à la société dont il est partie intégrante. Les causes sont diverses, mais l'on peut notamment en retenir trois : -Le désenchantement du monde (Célèbre formule de Max Weber), Le temps des révolutions et La vague des droits de l'homme. Les sciences sociales invitent pourtant à ne pas réduire l’individualisme à un simple égoïsme. L’individualisme est une valeur caractéristique des sociétés qui reconnaissent

sociétés primitives : misère ou abondance ? A- Question de méthode : des sociétés préhistoriques aux « sociétés primitives » * Les « sociétés primitives » sont des sociétés sans Etat, sans institution politique distincte et séparée du reste de la société. * Cette institution politique apparaît tardivement (≈ 5000 ans) au Moyen-Orient, Asie du SE, Amérique centrale, et survient en même temps que la création d’autres institutions sociales entièrement nouvelles : l’écriture, la ville, l’architecture

Sociologie Économique 1. Objectifs Dans ce cours, nous aborderons la sociologie économique principalement sous trois angles : d’abord dans une perspective d’histoire de la pensée, nous étudierons les précurseurs (Comte, Tönnies) et les fondateurs (Weber, Durkheim, Simmel, Pareto, Veblen, Polanyi, etc). Nous verrons comment s’est constituée cette discipline à l’interface entre la sociologie, l’économie, l’anthropologie ; comment elle s’est progressivement détachée et a affirmé son autonomie, tout en

sont rejetés avec mépris. ». Généralement, c'est ainsi que réagissent les Hommes politiques. La politique est bien souvent synonyme d'intolérance et de dénigrement. Dans le but de se faire élire, chaque partie défend ses convictions mais surtout critique la manière de penser ou d'agir du parti opposé. Cette attitude renvoie à une profonde fermeture d'esprit et à un respect inexistant qui est présent aussi bien en politique, en société ou dans la religion. Un Homme naïf, qui ne s'étonne pas et ne réfléchit

Le mythe : Le mythe devient également une arme redoutable lorsqu’on l’utilise à des fins politiques (Remus & Romulus, ou plus récemment Jeanne d’Arc), ou à des fins historiques (fondation de Carthage). Il est d’ailleurs étrange que le mythe puisse être historique car par définition,  le récit historique est l’opposé du mythe : ainsi le mythe appartient au domaine de l’irrationnel, il ne se prouve pas, il est. C’est pour cette raison qu’il est nécessairement accolé à la religion ; elle lui donne

|que ce mal fait des progrès, il faut fuir, et attendre que l'air |par le despotisme à principes; car tous les maux de la vie viennent | |soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la |d'une "conception de la vie". Un homme politique accompli devrait | |peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment |approfondir les sophistes anciens et prendre des leçons de chant - et | |salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. [...] |de corruption.