Maxime La Rochefoucauld

Racine nous révèle ainsi une vision janséniste de la passion amoureuse qui ne peut mener qu’à la souffrance et à la mort. Ouverture possible : La peinture de la passion décrite par Racine dans cette scène 3 de l’acte I de Phèdre illustre une maxime de La Rochefoucauld(contemporain de Racine) : « Si on juge de l’amour par la plupart de ses effets, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié ». Recherches ayant permis de trouver ce commentaire de l’acte 1 scène 3 de phèdre : phèdre acte 1 scène 3, commentaire

avec une fonction antique de la fable le tableau des mœurs : la satire s’élargit, tant dans les cibles que dans les thèmes – ce qui prouve que cet ouvrage est bien destiné aux adultes. Livre X : Rochefoucauld - (1679) : 14 fables et un très long Discours à Monsieur le Duc de la (auteur des Maximes (1665), à qui était déjà dédiée la II du livre 1 « l’Homme et son image »). 6 fables consacrées au monde animal (2, 3, 6, 7,8 et 12) 4 sont exclusivement consacrées aux humains (4,9, 13 et 15) 4 autres

proverbes, sentences, maximes de Maurice Maloux, Les allusions littéraires, Dictionnaire commenté des expressions d’origine littéraire de Jean Claude Bologne …) alors que d’autres ne se trouvent recueillies nulle part. Ces énoncés, à structure propositionnelle ou phrastique, constituent un fond lexical dans lequel le locuteur prend des séquences grammaticalement achevées et (le plus souvent) sémantiquement autonomes. Celles-ci regroupent toutes les formes parémiques (proverbes, maximes, devises, sentences

l'ouvrage connut un vif succès et valut à son auteur, protégé de Bossuet et précepteur de la famille Condé, un siège à l'Académie. La Bruyère occupe une place importante dans la lignée des moralistes français, à la suite de Montaigne et de La Rochefoucauld. Grâce à un esprit droit et un jugement d'une entière indépendance, il a su dégager de ses observations sur la société, la cour et les grands de son époque, une part de ce qu'il y a d'invariant dans la nature humaine. Au-dessus de ces portraits

fantaisies de l’imagination en prenant pour modèle la réalité. Ce réalisme par l’analyse psychologique, où la romancière décrit abondamment la vie intérieure de ses personnages en les faisant évoluer d’après les lois subtiles définies par La Rochefoucauld dans ses Maximes. Au terme de cette analyse, nous pouvons dire que la citation d’André Gide s’applique d’un certain coté à La Princesse de Clèves, dans la transparence plus que probable des personnages et de la narration. Mais, pourtant, on ne

effet, la place prépondérante accordée à l’évocation des sentiments des persos et les nombreux momens d’introspection sont les fondements du roman d’analyse.Ds ce siècle, où l’étude des caractères humains est en vogue comme l’attestent les Maximes de La Rochefoucauld (1665) / Les Caractères de La Bruyère (1688), le roman d’analyse trouve un public de choix. Les perso de Mme de Lafayette prennent le temps de revenir sur leurrs faits et gestes, parfois incontrolés (rougissement de Mme de Clèves) et de

beaucoup de rubans et de plumes sur leurs costumes.Le style précieux se caractérise par: des exagerations avec l'emploi de superlatifs. Des métaphores et des périphrases parfois incompréhensibles. Des genres brefs comme le portrait, le maxime, le blason des romans fleuves multifpliant les intrigues amoureuses: héroine enlevée, lettres interceptées, chevalier déguisé. Le classicisme ou le règne de la raison L'âge classique est en fait la première partie du règne de Louis XIV

« déraison guerrière » ( l.26-37). |   INTRODUCTION : Jean de La Bruyère est connu comme un « moraliste ». Par ce terme, on a coutume de désigner des écrivains – notamment du XVII° siècle, comme Pascal, La Rochefoucauld – qui traitent de sujets moraux dans une forme brève : maximes, pensées. Le genre de prédilection de La Bruyère est le portrait. Son principal ouvrage, Les Caractères (1688), se donne pour but de corriger les hommes de son temps en leur tendant le miroir grossissant de la caricature

cependant pas antithétiques, puisque Lui parvient à les lier puis à soutenir une forme d’immoralité. Avant de démontrer que le ressort des actions de l’homme s’apparente à la vanité. Le texte utilise en fait le même type de réponses que La Rochefoucauld qui, avec ses Maximes, rétablissait pour toute action humaine l’influence de la mauvaise foi.

les « privilèges du roi » peuvent cesser à tout moment. Il faut remarquer que pour la plupart encore, la condition sociale d’écrivain n’est pas reconnue comme une condition noble. Ainsi, des gens de cour comme Mme de La Fayette ou le duc de la Rochefoucauld publient leurs ouvrages anonymement, pour ne pas appartenir à la communauté de ceux que certains nomment avec un certain dédain les « Jean de lettres ». Les manuscrits et les brouillons de cette époque sont souvent détruits par leurs auteurs afin