Meditation Seconde Descartes

propriétés sensibles. Locke les nomme, dans son Essai philosophique concernant l’entendement humain (livre II chapitre 8), les qualités premières des choses, qualités qui sont à l’origine des qualités secondes, et qui sont réellement dans les corps, qu’on les aperçoive ou non. Les qualités secondes sont seulement dans l’esprit, et n’ont aucune existence réelle, quand on ne les sent pas : c’est l’effet que produisent sur moi ces qualités réelles, « originales », des corps. On voit donc avec cette

fonctionnel : La première méditation de Descartes Prouver l’indubitabilité de mon existence et répondre à la question « Que suis-je? » 1. Introduire la Seconde Méditation 1.1 Faire quelques commentaires personnels sur la méditation précédente 1.2 Illustrer par un exemple historique puis énoncer les conditions de succès de l’entreprise 2. Développer la Seconde Méditation 2.1 Déduire l’indubitabilité de mon existence 2.1.1 Rappeler la méthode formulée à la méditation précédente 2.1.2

Auteur - date |René DESCARTES (1596-1650) | | |Titre du texte |La méthode cartésienne | |Publication |Œuvre : Discours de la méthode- Seconde partie | | 1637 | | |QUI ?

dans lequel nous vivons tous les jours et s’ils nous font exécuter les bonnes actions, s’ils nous font bien agir. Une première approche nous sera définie comme étant théorique et une seconde comme étant pratique. Notre approche théorique sera en relation avec le doute cartésien. En effet Descartes, dans les Méditations Métaphysiques, a un doute sur tout ce qu’il a appris depuis son enfance, doute qui porte sur les sens. Selon lui les sens sont trompeurs et décevants. Si les sens sont capables de nous

pouvons-nous vraiment faire confiance à nos sens, ou y-a-t-il une faille possible ? En effet dans la première des Méditations Métaphysiques, Descartes écrit : «  Tout ce que j'ai reçu jusqu'à présent pour le plus vrai et assuré, je l'ai appris des sens, ou par les sens, or j'ai quelques fois éprouvé que ces sens étaient trompeurs. » Il donne alors un exemple dans la sixième méditation, de ces tromperies et illusions des sens ; «  J'ai observé plusieurs fois que des tours qui de loin m'avaient semblé

être posé à partir de la réflexion cartésienne, du cogito tel qu’elle est développée dans la Méditation seconde. Ainsi dans son texte Descartes parvient à la conclusion que l’existence du moi est essentiellement liée à la conscience que celui-ci peut avoir de lui-même, que le moi ne peut être conçu que par le « je» susceptible de se penser lui-même dans la certitude de son existence. De là Descartes en déduit que « Je ne suis donc précisément parlant qu’une chose qui pense. » pouvant être conçue

tandis que les (autres) animaux suivent leur instinct. Pour mieux comprendre cette thèse nous nous sommes tourné vers la pensée de Descartes. Pour lui, en effet, c’est parce qu’il est doué du libre-arbitre que l’homme peut-être dit « à l’image et à la ressemblance de Dieu » - et en cela différent des animaux. Descartes face aux critiques Mais la thèse défendue par Descartes ne rencontre-t-elle pas des obstacles ? Indépendamment de la question de Dieu, dont on peut ici faire abstraction, peut-on, ainsi

Quel est le mode d'union du corps avec l'âme ? VI) Sixième partie Conclusion (Discours de la méthode, Descartes) DISCOURS DE LA MÉTHODE   Pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences   I / Support Auteur: Descartes, René Date de publication: 1637   II/ Présentation   Thème : Cet ouvrage se présente sous forme de discours dans lequel Descartes entend, non pas imposer une méthode ni même en faire une démonstration, mais rédiger de manière assez biographique

connaître lui-même et comment ? Dans un premier temps nous verrons la naissance de la subjectivité avec Descartes. Ensuite nous reprendrons la contextualisation socio-historique et enfin, nous verrons la subjectivité et la psychologie. La naissance de la subjectivité, elle devient comme un objet théorique à partir de Descartes. Tout se passe comme si avant Descartes la subjectivité n’existait pas. L’apparition de la subjectivité signifie un changement dans le rapport

rien savoir ni connaître, toute science et toute certitude deviennent infondées. Le premier problème qui apparaît à l’examen du courant sceptique est donc un problème gnoséologique (il concerne la connaissance que l’on peut avoir de la réalité). Le second problème concerne le statut du doute et la suspension du jugement. Montaigne explique dans le texte cité que « l’ignorance qui se connaît, qui se juge et qui se condamne n’est pas une entière ignorance : pour l’être, il faut qu’elle s’ignore elle-même »