Meher Baba

Ali Baba et les quarante voleurs Il était une fois, dans une ville de Perse, un pauvre bûcheron qui se donnait beaucoup de mal pour nourrir sa famille. Il s’appelait Ali Baba. Un jour, alors qu’il était dans la forêt, il vit une troupe de 40 cavaliers qui venait dans sa direction. Voyant qu’il s’agissait de voleurs, Ali Baba se cacha aussitôt. De son refuge, il vit leur chef se diriger vers un énorme rocher et l’entendit dire : «Sésame ouvre-toi!». Ali Baba n’en crut pas ses yeux. Aux

roman et rendent le jeune homme attachant. Ali Baba et les quarante voleurs est une histoire d'origine perse (territoire du Proche-Orient qui correspond à l'Iran actuel). Ce récit est souvent présenté comme faisant partie des Mille et Une Nuits malgré qu'il n'ait jamais été présent dans les manuscrits initiaux mais à leurs cotés. Résumé d'Alibaba et les quarante voleurs Ali Baba est un pauvre bûcheron. Un jour, alors qu'il coupe du bois, Ali Baba entend le chef des quarante voleurs prononcer une

comme des incarnations de Vishnou. De nos jours, une sainte femme comme Ammachi est vénérée comme un Avatar de la Mère Divine, tout comme l’étaient Anandamayee Ma, ou la « Mère de Pondichéry ». Dans le sud de l’Inde, Saï Baba se présente comme un nouvel avatar de Vishnou et Meher Baba déclarait : « Je suis l’avatar ». La sainteté est une fusion avec le divin, et celui qui réalise l’unité de sa conscience avec sa Source se révèle par là-même une incarnation de Dieu sur Terre. Ainsi en est-il de l’étrange

divisions principales sont le Vaishnavismele Shivaïsme, le Shaktisme et le Smartisme. L’hindouisme s’est principalement exporté par le biais de personnalités commeSwami Prabhupada (fondateur de ISKCON), Sri Aurobindo, Meher Baba, Jiddu Krishnamurti, Osho, Maharishi Mahesh Yogi ,Sathya Sai Baba, Mère Meera. L’Hindutva est un mouvement hindouiste nationaliste né dans les années 1920 qui reste une force politique importante en Inde. Les caractéristique clef de la religion hindou * * Avec près

prescrite dans la méditation quotidienne pour la remémoration (zikr, plus rarement samaran), qui doit être accomplie à l'aube. L'unique rétribution est l'illumination (persan dîdâr) obtenue à travers la grâce de l'imâm ou du pîr (sanscrit pirasâ et persan meher), qui est le dépôt d'une parcelle de Lumière Divine (sanscrit jot, arabe nûr). La pratique de la dévotion remplace progressivement les cinq passions par les cinq vertus que sont la vérité (sanscrit sat), la satisfaction (sanscrit santokh), la tolérance