Mélisme

accompagnement improvisé des autres parties vocales ou instruimentales. BOURDON : -1- Son tenu et fixe -2- Pièce instrumentale du XVIIème siècle française, construite sur une basse obstinée. -3- Cloche à son grave BRODERIE : Note étrangère, décrivant un mélisme autour d'un son de l'accord réel. On distingue : broderie simple, broderie double et groupe broderie. CADENCE : -1- Formule harmonique ou mélodique qui sert de ponctuation. -2- Cadenza passage de virtuosité confié au soliste d'une œuvre concertante

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cellule (2 ou 3 notes max.) • Jeux sur les hauteurs mais sans présence de thème • Intervalles conjoints, disjoints • Ambitus (distance entre la note la plus grave et la plus aigüe) large ou restreint • Ornementation (appoggiatures, trilles, etc.), mélismes (plusieurs notes sur la même syllabe) V – Le temps (Impression de temporalités de l’œuvre) - Tempo (vitesse d’exécution d’une œuvre) • Tempo rapide (allegro), lent (adagio) ou modéré (andante) • Changements ou fluctuation avec accélération ou

vers le milieu du XIIe siècle ▪ Compositeur d’organa à deux voix ▪ Ecriture mélismatique La voix principalis est la voix grave, l’autre est l’organum, avec des mélismes aigues. Pérotin  ▪ Premier chantre fin du XII – début du XIIIe siècle ▪ Superposait jusqu’à 3 voix inventées au-dessous de la voix principalis ▪ Longs mélismes ▪ Intelligibilité du texte ? CHANSON POLYPHONIQUE  ▪ Emblème de la musique profane au Moyen-Age ▪ Liens avec la production religieuse : compositeurs communs

portees a deux voix ou chaque voix aura les hampes dans le meme sens pour eviter les confusions. Quand plusieurs croches se suivent, on peut voir les notes groupes par une ligature qui simplifie visuellement (sauf pour la musique vocale ou seuls les melismes en usent). Si la direction des hampes de ce groupe de notes est oppose, le groupe prend la direction de la note extreme. En cas d'egalite, c'est la direction ascendante qui prime. Il est possible de dessiner une ligature chevauchant deux portees

amants que brûle le désir. Un mélodie en crescendo et un diminuendo se combinent pour produire un effet des plus curieux, préparant la transition vers la partie médiane en ré bémol majeur. Dans ce passage, partition page 13 la mélodie rappelle le mélisme de Massenet, mais après quelques mesures, ce lyrisme se double d'effets d'orchestre javanais. Durant un rien de temps, des triolets « à la Hérodiade » risquent de faire tourner au pathétique l'acmé de la composition, mais la poussée diminue en temps

battement régulier (son contraire non pulsée ) L’origine de la notation musicale commence avec |’écriture de neumes au dessus du texte latin: PAA WS yee Puer ~ ‘atus est nobis : accents, points, traits qui indiquent les mélismes Un jour, un copiste efit l'idée de fixer une ligne directrice de couleur rouge: Elle indiquait la note FA w= oe a ates My A. Puer natus est nobis : point de départ de la portée. On rajouta une seconde ligne jaune pour la note DO, pour faciliter

propos liturgique, un peu comme une glose pour un texte écrit. Ce sont la prosule, le trope, la séquence et le conduit, auxquels on peut ajouter le drame litur-gique. La prosule Dans un premier temps, les chantres utiliseront les longs mélismes du chant à vocalises comme support musical des nouvelles paroles. On appellera ces petits textes, des " pro-sules " ou petites proses. Cette pratique est attestée dès le IXe siècle, alors que les incursions normandes dans le nord de l'Europe poussent

espagnole (“chocolat”) est un pastiche d'une mélodie andalouse. La danse arabe (“café”) est construite sur un chant géorgien, traité d'une façon orientale assez édulcorée, accompagné de cordes avec sourdine. La danse chinoise (“thé”), développe des mélismes (sortes de vocalises) à la flûte, sur un ostinato de bassons et des pizzicati (cordes pincées) de violons et violoncelles La danse russe traditionnelle (“Trepak”) sur un rythme frénétique, allusion aux origines du compositeur La danse des mirlitons

se terminant en arioso, -HIRSCH: «…Interprétation expressive du texte, notamment sur "Seelen Ruh", sur « Leid », quinte sur "Ach" ; quarte sur « "Feinde" ; figuration sur « "Bogen". De même, saut de 6e sur les mots "gespannt », « richten ihre ». Mélisme classique sur « sterben ». Evolution tonale accentuée. -WHITTAKER: «…Bien que commençant de façon presque heureuse, ce récitatif revient bien vite au désespoir. Descente à la tierce au continuo sur "Ach, aber meine plage vergrößert". Arioso sur «