Mémoires d'outre-tombe

séquence 7) a) La nature, un cadre privilégié Dans de nombreux poèmes, nombreux récits lus ou étudiés, le héros se trouve dans un cadre naturel et évoque ce cadre : Cf. Fingal de Macpherson, Les Rêveries d’un promeneur solitaire de Rousseau, Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, le Pèlerinage de Childe Harold de Byron, Adolphe de B. Constant, les deux poèmes extraits de Méditations poétiques de Lamartine... b) Un cadre en harmonie avec l’individu • Les Rêveries du promeneur solitaire : le promeneur

A. Selon Sarraute, dans le travail psychologique qui consiste à se souvenir: 1. la mémoire sensorielle définie par Proust: "«Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette

mensonge pour embellir et combler les pertes de mémoire Mais la vérité pure ne suffit pas lors de la rédaction de son autobiographie : en effet elle est parfois terne, triste, souvent décevante et ne cadrant pas avec la grandeur de l'écrivain. Parfois, les auteurs travaillent donc certes dans une démarche autobiographique, mais sans cacher le fait que la vérité ne sera pas complète. C'est ce que Marie d'Algout explique dans une préface de ses Mémoires (Mémoires, Souvenirs et journaux de la comtesse d'Algout)

assez bien le rôle thérapeutique que l’écriture peut nous procurer. Nous pouvons relier cela au besoin d’arrêter le temps et la mort. La plupart des autobiographies sont écrites alors que les auteurs sont âgés. Il y a une raison. Comme dans Mémoires d’outre-tombe, de Chateaubriand, les autobiographies, ici testamentaires, sont parfois un moyen de laisser une trace de soi même dans le monde des vivants. Le rôle thérapeutique, ici, est de rassurer les auteurs alors que dans un temps plutôt proche, ils

ont marqué sa mémoire, « je revis ces campagnes » et « les bois de combourg m'entretenait d'une félicité ». Nous pouvons supposer que l'auteur a fait un voyage, il veut retrouver ce souvenir heureux: « le parc de Montboissier me rappelait les jours perdus à la poursuite de cette félicité insaisissable ». Ensuite, cet extrait accorde une place important à la mort. Ainsi, nous pouvons citer comme exemple « Que sont devenus Henri et Gabrielle ? Ce que je serai devenu quand ces Mémoires seront publiées »

BILAN & MEMOIRE D LA 2nde GUERRE MONDIALE I- Bilan matériel et humain : un pays exsangue  A. Bilan démographique 600 000 morts : déportations Civiles sont les plus touchés ce qui entraine un déficit démographique/naissance. Surmortalité indirecte liée à la sous alimentation et aux maladies 40 000 déportés de mai à aout 1945 Retour de la STO & des survivants incompris B. Une économie en ruine Pillage des richesse durant l’occupation + destructions liées aux combats et

il écrit De Buonaparte et des bourbons, un pamphlet dans lequel il dénonce fortement l’usurpateur et va jusqu’à remettre en cause son talent militaire. Lors de son exil, il rédige une grande partie des Mémoires d’Outre-tombe, qui ne seront publiées qu’après sa mort, en 1848. Au fil de ces Mémoires, l’auteur dévoile son admiration qu’il avait malgré tout pour Napoléon, et lui consacre près d’un tiers de l’œuvre. Il porte un regard critique sur l’homme et ses actions, mais rectifie aussi certaines

LE PÈRE GORIOT ; EUGENIE GRANDET ; LE LYS DANS LA VALLÉE ; ILLUSIONS PERDUES. BARBEY D'AUREVILLY : LES DIABOLIQUES. BAUDELAIRE : LES FLEURS DU MAL ; PETITS POÈMES EN PROSE. BECKETT : EN ATTENDANT GODOT ; FIN DE PARTIE. S. DE BEAUVOIR : MÉMOIRES D'UNE JEUNE FILLE RANGÉE G. BERNANOS : JOURNAL D'UN CURÉ DE CAMPAGNE ; SOUS LE SOLEIL DE SATAN. H. BOSCO : MALICROIX ; LE MAS THÉOTIME. A. BRINK : UNE SAISON BLANCHE ET SÈCHE. C. BRONTE : JANE EYRE. E. BRONTE : LES HAUTS DE HURLEVENT M.

A l’image de Chateaubriand dont les Mémoires d’Outre-tombe montre trois carrières, celle du militaire, celle du diplomate et enfin celle de l’écrivain, on peut distinguer trois temps dans la vie de Charles de Gaulle : la période du militaire de carrière, celle du résistant, et enfin celle de l’homme d’Etat. * > Tout d’abord, on peut noter une profonde cohérence dans la vie de Charles de Gaulle, cohérence qui s’est toujours exprimée, quelque soit l’époque. Cette cohérence se retrouve

Peut on considérer les Mémoire de Guerre de De Gaulle comme étant l’œuvre d’un historien ? Charles De Gaulles publie en 1959 son troisième tome « Le Salut : 1944-1946 ». Ce tome fait partie d’une trilogie qui comprend « L’appel : 1940-1942 » et « L’unité : 1942-1944 ». Ses œuvres sont en parallèles car elles concernent les trois étapes de la guerre. Elles couvrent le même nombre d’années, d’archives et de chapitres. C’est un projet très ambitieux que l’auteur a voulut faire naître. Le dernier