Ménades

il chante sa douleur et sa perte cruelle. III/ Une mort atroce Première version )Certains mythes prétendent qu’une fois revenu parmi les mortels, Orphée repoussa toutes les femmes et prêcha l’amour homosexuel. Pour le punir, un groupe de ménades, disciples de Dionysos, le tuèrent, déchirèrent son corps en lambeaux et jetèrent dans l’Ebre sa tête et sa lyre. Elles flottèrent sur les eaux du fleuve sans cesser de chanter jusqu’à l’île de Lesbos, qui devint ainsi la terre de la poésie lyrique

Dyonisies urbaines. Ces dernières se déroulent durant 5 jours de suite, du lever au coucher du soleil et dans un ordre precis : - Le premier jour est oragnisée une procession dionysiaque pendant laquelle des satyres dont le le vieux Silène , des ménades, des panthères, des boucs et des ânes traversent la ville. - Le deuxième jour commencent les festivités; des concours lyriques de dithyrambes ont lieu - Le troisième jour se tiennent des comédies ( au départ 3 poètes puis 5) - Les 4ème, 5ème voire

va mourir en marchant sur un serpent qui lui mordu la cheville. Orphée ne devait pas se retourner jusqu'à ce qu'Eurydice soit revenue sous la lumière du soleil. Non car avant d’entrer sur terre il ne l’entendit plus et se retourna. 7. Ce sont les Ménades qui tuèrent Orphée. Elle font partit des Thyiades. Elle jetèrent sa tête dans le lac hébre 8. La lyre d'Orphée avait également été portée par les eaux jusqu'à Lesbos et déposée dans le temple d'Apollon.  la lyre figura comme constellation dans le

Pris de désespoir, il tente une seconde fois de passer le fleuve infernal, mais les Dieux sont inflexibles. Il reste plusieurs jours sur les bords du fleuve sans manger ni boire. Puis, il se retire dans les montagnes de Thrace. En ce lieu, les ménades (les femmes qui accompagnent Dionysos), dépitées de son chagrin le massacrent et dispersent ses membres. Sa tête et sa lyre arrivent sur le rivage de Lesbos, patrie de la poésie lyrique, et son âme y retrouve celle d’Eurydice. [pic]

avait un homme, un Mage, du nom de Gaumâta." »4 En perse, mag signifie « science, sagesse ». Héraclite (vers 500 av. J.-C.) est le premier à utiliser le mot, en énumérant « les somnambules, les mages (μάγοι), les bacchants [initiés à Dionysos], les ménades [initiées à Dionysos], et les initiés »5. Hérodote, vers 420 av. J.-C., précise le sens : « Les tribus mèdes sont : les Bouses, les Parétacènes, les Strouchates, les Arizantes, les Boudiens, les Mages (μάγοι) »6. En fait, les Mages forment la caste

avait un homme, un Mage, du nom de Gaumâta." »[4] En perse, mag signifie « science, sagesse ». Héraclite (vers 500 av. J.-C.) est le premier à utiliser le mot, en énumérant « les somnambules, les mages (μάγοι), les bacchants [initiés à Dionysos], les ménades [initiées à Dionysos], et les initiés »[5]. Hérodote, vers 420 av. J.-C., précise le sens : « Les tribus mèdes sont : les Bouses, les Parétacènes, les Strouchates, les Arizantes, les Boudiens, les Mages (μάγοι) »[6]. En fait, les Mages forment la

les potamides les limnades les crénées et pégées _les ouranies (nymphes célestes) les pléiades les hyades les héliades les alcyonides _les lampades (nymphes infernales) _les muses _les thyades : Hésiode nomme aussi les Ménades ou Bacchantes en tant que nymphes bien qu'elles soient pour la plupart, de simples humaines. Les nymphes grecques ont plus tard été assimilées avec les différentes divinités romaines des fontaines, sources et rivières. Parmi les nymphes célèbres

concerne Mezghenna, Tassadit Yacine rapporte l'hypothèse d'une forme arabisée d'Imazighen, ou « Berbères », donnant au pays le nom originel Tiziri n At Imezghan, « Ziri des Berbères »13.Une autre étymologie situe son origine dans le nom de Ziri ibn Menad : Djezaïr alors de Dziri, du berbère Tiziri qui signifie « clair de lune »13. Les Algérois se désignent eux-mêmes sous le vocable de Dziri, et le langage populaire a conservé par ailleurs la formule Dzayer pour désigner Alger et l'Algérie. Le terme

liberté. Hugo ne reprend pas la grammaire du mythe classique d'Orphée, mais il en fait quand même une figure archétypale du poète. Dérision de Hugo : Calliope montrant ses seins. Périphrase classique des neufs sœurs pour désigner les 9 muses. Ménades, ce sont elles qui ont déchiqueté le corps d'Oprhée. Danse inconvenante. Mettre les lecteurs de son coté, en les faisant rire. De ce fait il se livre a une désacralisation des regles classiques et ces choix d'écriture marqué par la discordance

Binswanger il cherche à détruire la nymphe (1), une pièce maîtresse de sa science sans nom [1]. La "Nymphe porteuse de fruits, la Fortune, [...] les femmes qui étaignent le feu dans l’incendie de Borgo...", ce sont métamorphosées en "Judith, Salomé, la ménade" : la donna cacciatrice di testa [13]. Et pourtant, après plus de six ans de tumulte subjectif ayant attiré autour de lui L. Binswanger, Sigmund Freud, Emil Kraepelin, Hans Prinzhorn, Ernst Cassirer et Walter Benjamin, il reprend ses esprits et conçoit