Mercantilisme Anglais

 Le commerce international est devenu indispensable au fur et à mesure de l’histoire, afin de faire fonctionner l’économie. Le commerce mondial désigne l’ensemble des échanges internationaux de biens et de services. Quels sont les forces et les faiblesses de la France dans le commerce mondial ? Nous verrons tous d’abord quels sont ces forces et en second temps quels sont ces faiblesses. I. Les forces de la France dans le commerce mondial La France est le 6°exportateur mondial et le 5eme

profit, initiative individuelle, concurrence entre les entrep. - ≠ organisations éco traditionnelles - ≠ systèmes collectivistes contrôlés par l’EtatBut : réaliser des gains, le profit et pas de satisfaire des besoins. - Tire son origine dans le mercantilisme  Repose sur l’entreprise et le marché. Entreprise : unité éco autonome qui combine et rémunère les facteurs de P° : T et K, afin de produire des B et/ou des S dans le but de réaliser un profit en les vendant sur le marché. Elle s’appuie sur des

le pays, et éventuellement de conquérir d’autres marchés chez mes voisins. En France, c’est le colbertisme. C’est une forme de protectionnisme, dont on reparle actuellement. -Le système libéral, ou système de la liberté naturelle : Succède au mercantilisme, et Adam Smith en est la figure de proue, avec son livre de 1776 : Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. Il prend le contrepied des mercantilistes : il faut libérer la concurrence et les marchés. Contre les monopoles

l’institutionnalisation qu’il a connu récemment, arrivant ainsi à projeter l’image du commerce international dans sa forme actuelle. Premier Chapitre : Cadre théorique Section 1 : La théorie classique  C’est en réaction et comme alternative au mercantilisme que la pensée libérale a pris naissance au 18 siècle, du fait que les mercantilistes suppose qu’une nation ne gagne que ce que l’autre perd, d’autant plus, les classiques ont été amené à démontrer que le commerce international n’est pas un jeu

comment enrichir le prince (pouvoir politique central, Etat, roi). Auteurs de l’époque : Jean BODIN (juriste français) Thomas MUN (homme d’affaire anglais) Antoine de MONTCHRETIEN (français – fonction publique liée au Roi) William PETTY (médecin anglais, considéré comme le fondateur de l’économie classique par Marx) John LOCKE (philosophe anglais, justifie la propriété privée) Auteurs qui remplissent souvent des fonctions publiques, mais qui ne sont pas économistes (n’existe pas vraiment à

CAD la situation d’équilibre définie dans le modèle de Walras par l’égalité offre=demande sur tous les marchés est un optimum de Pareto. Autrement dit, l’économie de marché est efficace au sens de Pareto. * Alfred Marshall. L’économiste anglais Marshall est celui qui a unifié les théories développées par les premiers marginalistes. Il a distingué les analyses de courtes périodes de celle de longues périodes, a mis au point des outils d’exposition faciles à utiliser en particulier pour l’analyse

sont donc à l'origine du libéralisme. La physiocratie est l'un des plus importants courants d'idées du XVIIIème siècle. Et cela en dépit d'une période d'existence assez brève (moins de 20 ans) et du fait que, contrairement au cosmopolitisme des mercantilismes, il s’agit d’une école purement française, qui plus est centrée autour d’un seul maître à penser, François QUESNAY (1694-1774), dont la disparition entraîna rapidement le déclin de cette école 1. Le courant physiocrate apparaît en effet en 1758

COMMENT MAITRISER LE LIBRE ECHANGE ? Le récent discours du président Clinton, menaçant, dans le "conflit de la banane", d'utiliser des mesures unilatérales de rétorsion, s'il constatait qu'il était fait usage de pratiques de concurrence déloyale par ses partenaires, a pu révéler aux yeux de tous que la tentation protectionniste demeure une réalité. En effet, la libéralisation accrue des échanges suscite des critiques nombreuses et contribue à raviver le débat classique libre−échange contre protectionnisme

Du 16ème au 18ème siècle, une pensée va dominer. Le mercantilisme désigne le courant de pensée économique dominant du XVIe à la moitié du XVIIIe siècle. Selon ce courant, la puissance de l'Etat repose sur trois piliers : l'or et sa collecte par l'impôt, les marchands et leur favorisation dans le commerce intérieur, les exportations et l'excédent commercial qu'elles permettent d'obtenir en vue de l'accumulation de métaux précieux. Le mercantilisme n'est pas à proprement parler une école économique

Traité d'économie politique. A. L’objet de l’éco. Pol Eco polQ: trouver les conditions de l'accroissement des richesses (comment enrichir le prince). Recherche des moyens les + efficaces pour augmenter les richesses. XVIe- XVIIe: Mercantilisme = courant de la pensée écoQ, contemporain de la colonisation duNouveau monde & du triomphe de la monarchie absolue, qui considère que le prince (dt la richesse repose sur l'or & la ollecte de l'impôy) doit s'appuyer sur la classe des marchands