Mercantilistes Physiocrates Classiques Et Néoclassiques

un prix fixé selon les conditions de l’offre et de la demande exprimées pour ce bien. Le prix d’un bien ou d’un service indique non seulement sa valeur, mais aussi est un signal de sa rareté relative. En adoptant la théorie de la valeur chez les classique et marxiste, on pourrait conclure que le prix exprime la quantité de travail effectif qui lui est incorporé. Cette valeur aux yeux du 5 consommateur s’analyse en termes d’utilité marginale, c'est-à-dire la capacité du produit à satisfaire le

est chargé de sens multiples parfois contradictoire et flou il apparaît pour la première fois chez les mercantilistes pour distinguer l’économie au sens grec d’économie domestique de l’économie au niveau national outil de gestion du prince. Le premier visage du terme économie politique est ainsi attribué a Montchrestien dans son ouvrage traité de l’économie politique en 1615 avec les physiocrates le terme garde son sens de gestion publique mais s’enrichie d’une référence à une science de l’organisation

la nation. L'État va encourager cet enrichissement car il a une volonté de monter en puissance contre l'universalisme de l'église (c'est le développement des États nations). C'est à cette période qu'apparaît le courant des mercantilistes (1500-1750), puis celui des physiocrate (1700-1770) qui vise à enrichir l'État nation par le commerce extérieur et des politiques protectionnistes (barrières douanières importantes). A ce stade, l'économie devient politique puisqu'elle traite des affaires de la cité

générale. On parle plutôt de cycles, et en particulier dans les degrés de protectionnisme. Il y a des périodes plus libre-échangistes et d'autres plus protectionnistes. *Les précurseurs du débat libre-échange/protectionnisme : les mercantilistes et les physiocrates Pour le mercantilisme, le commerce extérieur est une source essentielle de la richesse d'un pays. La puissance d'une nation dépend de sa richesse matérielle, elle même assimilée aux métaux précieux. Seul le commerce extérieur, en dégageant

haute couture. Après une longue phase de protectionnisme, le libre échange paraît devoir se généraliser à partir des années 1870. Avant les années 1840, le protectionnisme est la règle. Les états nation se forment et la pensée mercantiliste prédomine. Les pays en cours d'industrialisation protègent leurs industries naissantes. La Grande Bretagne Le développement industriel se fait dans un contexte protectionniste: ex: depuis le début du 17ème siècle: mise en place

courants de pensée, mais nous étudierons les plus représentatifs ; il s’agit : - de la pensée classique - de la pensée néoclassique - de la pensée keynésienne - de la pensée marxiste - et les développements contemporains de la pensée libérale néo-classique Au cœur de la révolution industrielle et principalement dans le pays qui en fut le creuset : le ROYAUME UNI, se constitue la pensée classique qui marque encore largement les théories économiques modernes. Pourtant avant cette fin du XVIIIe

dans les grands empires ce qui explique la nécessité de la conquête et des esclaves. à C’est le mode de pensée de toues les religions. « Croissez, multipliez vous… ». Le but du mariage est de faire des enfants. à C’est le mode de pensée des mercantilistes (Bodin, Colbert, Richelieu). « Il n’est de richesse que d’homme ». - Les premières réflexions théoriques du XIXième siècle sont plus intellectualisées. à 1775 : Smith = relation entre croissance démographique et économique. 1) Une

l‟impôt est né simultanément avec l‟Etat4. C‟est une prestation pécuniaire importante puisqu‟elle constitue l‟essentiel des ressources publiques qui peuvent contenir aussi les emprunts, les produits domaniaux, etc. Se limitant au départ à un rôle classique de pourvoyeur de fonds pour financer, de manière neutre, le budget public ; l‟impôt est devenu une composante importante de la politique macro-économique de financement des besoins sociaux, des biens et des services publics, ainsi que de redistribution

comportement générateur de progrès. Pour lui la liberté naturelle est juste et cette liberté naturelle conduit au plus grand développement que l’on puisse espérer. Ce lien entre éthique et pure économique, c’est sans doute ce que perdront les néoclassiques et même ses successeurs plus immédiats, tel Ricardo. Notons encore que Smith n’est pas pour autant le libéral naïf, ou angélique que l’on croit. Il ne se trompe pas sur la nature de l’homme et n’est pas d’un parti plutôt qu’un autre. Ni les propriétaires

son livre consacré à l’entrepreneur (traduit en français en 1991). Il y affirme, de manière catégorique, l’absence d’une théorie économique bien établie de l’entrepreneur. Cette absence tiendrait selon lui à deux facteurs. D’une part, la pensée néoclassique a, pendant longtemps, empêché l’émergence de tout intérêt pour l’étude de l’entrepreneur comme acteur de la prise de décision, en banalisant celle-ci, la réduisant à l’application mécanique de règles mathématiques d’optimisation. D’autre part,