Méritocratie

considérait comme méritant. Ex : un roi pouvait anoblir un homme qui avait montré ses compétences sur un champ de bataille. On comprend mieux la proximité de sens entre les deux mots aristocratie et méritocratie. L'aristocratie vient du grec ancien et signifie le pouvoir des meilleurs. La méritocratie signifie le pouvoir à ceux qui le méritent, c’est-à-dire un système dans lequel la hiérarchie sociale est fondée sur le mérite individuel. On comprend mieux également que les dénonciations de la société

indirectes. * Les personnalités sont différenciées. Chacun peut avoir son opinion. La conscience collective a fait place à la conscience individuelle. Il y a une montée de l’individualisme. * La division du travail est poussée. Par la méritocratie, chacun à un rôle dans la société, se sent utile à l’ensemble. Mais en étant différents et complémentaires des autres, il en est dépendant. Le lien social s’accroît mais la pression sociale s’affaiblit. * Le droit devient restitutif, la société

Etats-Unis de 1831 à 1832). Il y constate une société où tous les individus citoyens américains sont égaux en droits et en conditions. Tout le monde travaille, reçoit une instruction de base, il n'y a ni élite ni héritiers en tant que classe. La méritocratie est la base, de la société, la classe moyenne domine. Cette société assure l'égalité des chances. Tous les individus ont de quoi vivre (égalité) et aspirent à la paix sociale. Ils délèguent le pouvoir politique à l'état. 2) Question 2 : Les

dans lequel il est considéré comme un dieu à cause de son saut connu sous le nom de Air Jordan car on a l'impression qu'il vole. (« Quand les gens me demandent si je peux voler je leur réponds: « oui... mais pas longtemps »). La société de méritocratie encourage donc le dopage. Le sportif veut se forger une image d'idole auprès de son public et toujours être considéré comme une icône autant pour les jeunes que pour les vieux. Certains reflets de la vie de certains sportifs montre à quel point

issus des clas ses populaires ont ainsi pu échapper au travail précoce aux champs ou à l’usine. Elles ont favorisé la mobilité sociale en permettant à certains enfants d’échapper à leur condition. S’affirme auss i à cette époque la notion de « méritocratie » à la française. La réussite à l’école est possible pour tous, à mesure des efforts consentis. Elle est sanctionnée par un diplôme, censé ne récompenser qu e le mérite de chacun et ne pas dépendre de l’appartenance sociale ou culturelle de

inégalité illégitime, la différence de salaire entre les cadres et les ouvriers n'est pas illégitime car sur le mérite de chacun. Pour les libéraux, la légitimité de cette inégalités peut être justifié par la logique d'assistance qui mise sur la méritocratie et le développement de la flexibilité. Pour conclure, nous pouvons dire que les sociétés démocratique doivent réduire les inégalités car elles portent atteinte au fondement même de la démocratie qui est l'égalité ainsi que la notion d'équité

problème d’une jeunesse disqualifiée scolairement et professionnellement. Les solutions envisagées sont minimisées, cela réactive le modèle de l’élitisme républicain. L’ouverture scolaire : L’ouverture sociale est possible, on parle ici de « méritocratie », la récompense répond au travail fournit, quelques soit la classe sociale. La bourgeoisie n’est pas une seule classe sociale. Elle existe de différente sorte mais d’une bourgeoisie à l’autre les désirs de réussite des enfants, de différentiation

la possibilité offerte à tous d'accéder à n'importe quelle position sociale. L’un des instruments de cette égalité des chances est l'école. En France, l'école républicaine gratuite et l'instruction obligatoire se fondent sur les principes de la méritocratie et tentent de promouvoir cette égalité des chances. L’école est ainsi censée favoriser la mobilité sociale, c'est-à-dire le changement de statut social des individus, notamment par rapport au statut de leurs parents (mobilité intergénérationnelle)

dire accéder à la société de consommation, ce qui les met à l’écart et ce qui augmente l’individualisme. Plus on est pauvre, plus il existe des liens de proximité intenses. Et dans une société, de plus en plus marquée par l’individualisme et la méritocratie, les individus sont considérés comme les auteurs de leur propre vie et donc de leur réussite ou de leur échec. Les médias amplifient l’image négative des banlieues. Les « quartiers sensibles » sont largement médiatisés et apparaissent comme

réduction d’inégalités est une aspiration normale en démocratie, et qu’elle est aussi une nécessité économique et sociale. I) La lutte contre les inégalités n’est pas nécessaire. Accepter les inégalités si elles reposent sur le principe de méritocratie. Dans nos sociétés démocratiques, l’égalité des droits et des chances rendent légitime les inégalités. La situation de chacun est conçu comme découlant de choix individuels. L’égalité sociale est donc directement liée au mérite particulier de