Méritocratie

mais elle débouchera sur des inégalités de traitement (salaire). Les sociétés démocratiques sont des sociétés égalitaires qui devront composer avec des inégalités résultant pour certaine du système méritocratique qu'elles revendiquent. Le degré de méritocratie de notre société pourra être calculé au travers de la mobilité sociale. Pourtant, ces études de la mobilité feront apparaître une faible mobilité sociale. On peut donc s'interroger sur les rapports que la société française entretient avec l'idéal

les dépasser. II) L’égalisation des conditions a des effets pervers A) Le risque de l’égalitarisme L'égalitarisme est la négation des différences légitimes qu'il peut y avoir entre les personnes. Il est donc en opposition avec la méritocratie. Les individus ressentent donc de la frustration relative en considérant qu'ils ne peuvent jamais atteindre la situation à laquelle ils pensent avoir légitimement le droit puisqu'il y aura toujours un autre qui aura une situation sociale plus avantageuse

République » (nom donné aux instituteurs publics formés dans les écoles normales font reculer l’illettrisme et développent les valeurs de la République. Mais cette école est loin d’être égalitaire. Même si des passerelles existent, récompensant la méritocratie(=est un système de gouvernance ou d'organisation qui tend à promouvoir les individus dans la société en fonction de leur mérite démontré par leur investissement dans le travail, effort, intelligence, qualité ou aptitude) ,la fracture sociale passe

affiché était une uniformisation de l'enseignement, passant par le regroupement de tous les élèves de la 6° à la 3 dans un même type d'établissement et de leur offrir un enseignement identique afin de « démocratiser » l'accès à l'éducation Méritocratie : Système dans lequel le mérite détermine la hi¿rarchie. Pensée binaire: Idées avec deux interprétations. Autodidaxie: Est l'acquisition de connaissances par un individu en dehors des dispositifs éducatifs officiels (établissements scolaires

accomplissement sociaux pour casser les classes : état providence. On aide les gens par exemple dans les achats scolaires car on s’est rendu compte que c a la base de tout  Le système éducatif est le truc qui est censé entraver le système de caste/classes : méritocratie: pas de classe mais taff qui paie ! 90 % des enfants de cadres observés en sixième en 1995 ont obtenu le bac environ sept années plus tard, contre 40,7 % des enfants d’ouvriers non-qualifiés et 27,6 % des enfants d’inactifs, selon le ministère

rapport entre eux. Il y a de fortes divisions parmi les jeunes aussi bien sur le plan économique. Générationelle. Le Grands frere au tieks seront eux eme dépassées par les ptits du tieks qui deviendrant grand a leur tout pour bicrav du teuch. La méritocratie. Permettre aux individus les plus méritants d’accéder aux meilleurs places. C) La pauvreté entraine-t-elle toujours de l’exclusion 1) De la précarité a la pauvreté. Pauvreté absolu ou pauvreté relative Pauvreté : Situation dans laquelle des

une entreprise moderne, de par leur nombre limité. D’autre part auparavant il était courant qu’un fils, quelle que soient ses compétences, accède à un poste important de l’entreprise de part son lien de parenté. Désormais s’installe une certaine méritocratie. II – Un nouveau cadre de gestion 1 – le règne des managers Dans l’entreprise moderne, le manager apparait comme la clef de voute de l’organisation. Selon Chandler, ce dernier assure plus efficacement la coordination des activités économique

républicaine accueillent-t-elle de façon égale tous les adolescents qu’elle forme et permet-elle leur insertion sociale ?
L’école socialise. Elle inculque les valeurs et les normes fondamentales des sociétés démocratiques (égalité, laïcité,méritocratie…). Elle apprend aux enfants et aux adolescents les éléments constitutifs de la culture nationale (langue,histoire…) qui permettent aux individus d’avoir le sentiment d’appartenir à une même communauté, d’avoir la volonté de vivre ensemble et de

en imposant : son type de consommation (la voiture individuelle, les premiers équipements électroménagers, etc.), ses loisirs (vacances, tourisme de masse), ses habitats (pavillons, appartements) et ses valeurs (individualisme, confiance en la méritocratie scolaire). II- Une société sans classes et donc sans classe moyenne a) La « moyennisation »  et passage à une « société salariale » * Substitution de la société de la « société salariale » à la société de classes => position

permettre la mobilité sociale – on parle d'ascension sociale – en délivrant des diplômes, gage d'insertion professionnelle. Ceux qui occupent les positions sociales les plus élevées doivent être ceux qui le méritent et non ceux qui héritent : c'est la méritocratie. Depuis les années 1950, l'école connaît une démocratisation quantitative : un pourcentage de plus en plus grand d'enfants obtient le niveau du baccalauréat, puis accède à l'enseignement supérieur, cela grâce à la loi Haby, puis à la loi