Méritocratie

Lebanese international university (LIU). Ses parents l’ont élevé en lui répétant que l’argent était «un moyen, une assurance», mais pas le plus important. Il blâme pourtant l’État et la société libanaise, pour ne pas encourager suffisamment la méritocratie. Un système qui limiterait le «snobisme» et le fossé entre classes sociales. «Ce ne serait plus l’argent qui définirait l’homme, mais ses diplômes, son expérience, ses capacités et son humanité». Source: http://www.lorientlejour.com/campus/article

réalisation d'un plan d'équipement rural » B) Vers de nouveau rapport sociaux - L’émancipation des colonies « Une extension des droits politiques, sociaux et économiques des populations indigènes et coloniales. » (l.81) - Instauration de la méritocratie « soit ainsi promue une élite véritable, non de naissance mais de mérite, et constamment renouvelée par les apports populaires » (l.86) En somme, si la domination allemande est encore presque totale sur l’hexagone, on constate que dès

ton est beaucoup tranchant et révolutionnaire : Figaro, fatigué de la suprématie de la noblesse, affirme « l’esprit seul peut tout changer » : l’Homme doit parvenir à ses fins par son esprit et non pas par sa naissance, c’est le principe de la méritocratie cher aux philosophes des Lumières.

accéder aux championnats, c’est pourquoi l’on retrouve toujours ces mêmes clubs. De plus, c’est une logique de sport spectacle avec un partage des recettes entre les médias et les travailleurs. Alors qu’en Europe, nous avons une logique basée sur la méritocratie, c’est-à-dire que si on gagne on monte d’un niveau et si l’on perd, c’est la relégation. Ce modèle économique occidental marche bien car la population a un point de vue plutôt positif sur le sport puisque ce dernier n’est pratiquement qu’amateur

l’instruction que tous les enfants de France permettront de solidifier la republique 4 principes fondateurs : Publique, Laïque Libre Égalitaire 4 objectifs : -Transmettre un savoir -Neutralité et impersonnalité -Esprit critique -Méritocratie (sélectionné les individus sans tenir compte par exemple de leurs csp etc.) que sur la base des réussites scolaire. Pour y répondre : deux modes de réponses contrastés. B) Récits historiens L’idole politique : la figure de Jean Zay Juriste

difficiles, ses aventures dont il ne peut rien. Figaro insiste sur le milieu d’où il vient, qui évoque la misère le poursuivant jusqu’à la fin de sa vie. Il a eu un parcours chaotique mais cherche à s’instruire pour s’élever dans la société, grâce à sa méritocratie. Le caractère autodidacte l15 : énumération exprimant l’effort et l’enthousiasme du personnage. -Dans le tableau que Figaro nous trace, il fait part des souffrances du peuple qu’il a lui-même enduré. En premier lieu, elle est visible physiquement

plans de recrutements « antiracistes » auxquels des entreprises telles que Renault, la Redoute et Schneider ont pu/dû adhérer (document 3). De plus, la discrimination positive ne répond pas à l’idéologie républicaine française. Le principe de méritocratie se fait balayé (document 3). C’est en privilégiant une partie de la population que l’on nie l’égalité des droits entre individus pour créer une homogénéité de groupe (document 3). L’embauche d’une grande partie du personnel de l’entreprise doit

notre société, notamment dans sa valeur méritocratique où seuls les plus « méritants » se voient accordé le privilège de gagner plus d'argent. La méritocratie véhicule l'idée que chacun peut connaître une évolution sociale de par ses talents et le travail qu'il fournit, étant ainsi mieux considéré de la société. A l'heure actuelle, la méritocratie est la philosophie des sociétés démocratiques cherchant à valoriser les individus de par leurs capacités et non leurs origines sociales et ethniques

Qu’est-ce que le mérite ?, 2009. Marie Duru-Bellat, Le Mérite contre la justice, 2009. Philippe Van Parijs, Qu’est-ce qu’une société juste ?, 1991. I. Si la prise en compte des mérites individuels est indissociable de notre modernité libérale, la méritocratie est fréquemment dénoncée comme un obstacle à une authentique justice sociale A. Le mérite s’est imposé comme le principe régulateur des sociétés démocratiques contemporaines 1. En France, la Révolution a fait de « l’égal accès des individus

est de fournir à chaque enfant une chance égale de réussir, à travers la démocratisation scolaire. Or, c’est un des premiers lieux où les enfants entrent en compétition les uns avec les autres. A l’intérieur de cette « compétition scolaire », la méritocratie n’a plus sa place : c’est la socialisation et encore plus l’habitus de l’enfant qui vont s’avérer décisif. En réalité, ce sont les parents qui, de part leur mode et leur niveau de vie, vont transmettre à l’enfant, dès son plus jeune âge, et même