Méritocratie

qu’en est t’il vraiment du cadre marocain ? serait-t-il conscient du rôle qu’il joue ? lui donne t’on assez de pouvoir afin qu’il puisse donner libre expression a son talent ? le récompense t’on comme il faut dans un monde supposé être fondé sur la méritocratie et la culture du résultat ? eh bien, il semblerait que la réponse soit clairement NON ! même si cela peut me donner de la peine à l’écrire et vous peut être à le lire il faudrait voir les choses en face dans un monde de l’entreprise marocain calqué

culturel, paradoxe d’Anderson Notions complémentaires : Position sociale / origine sociale, mobilité verticale / horizontale, mobilité ascendante / descendante, mobilité structurelle / mobilité nette, destinée / recrutement, égalité des chances, méritocratie, reproduction sociale, réussites paradoxales Sauf indication contraire, les documents utilisés sont tirés du manuel Magnard Plan : I/ Qu'est-ce que la mobilité sociale et comment la mesurer ? A/ Définitions B/ La mesure de la mobilité sociale

en partie la politique économique de l’Etat Français. La planification étatique ne serait cependant pas autoritaire car elle se veut faite « après consultation des représentants » (l.46). La démocratisation de l’économie passe également par la méritocratie, il est question dans le texte de donner accès aux fonctions à responsabilités à des « ouvriers possédant les qualifications nécessaires » (l.52). La volonté du CNR, c’est l’instauration d’un nouveau système politique qui va de pair avec un

donc il est distant de tout plaisir, il peut même être dégradant, avilissant, asservissant. En outre, la place qu'il occupe est centrale dans notre société moderne et son rôle se renforce constamment. De plus, la notion de travail se réfère à la méritocratie « petit bourgeois » qui est emprunt de l'idéologie judéo-chrétienne comme quoi en travaillant bien on aura une vie meilleure. Comment attacher autant d'importance à une activité connotée négativement et qui pour cause semble aller à l'encontre

personnage important : François Guizot, l'instruction secondaire tout comme l'instruction en général lui tient particulièrement à cœur. Ce dernier souhaite qu'en matière d'instruction soit mise en place d'une hiérarchie sociale mais sur la base d'une méritocratie, ceci n'est que le reflet des idées du personnage en lui-même, il reste donc fidèle à ses idées de libéral conservateur. B. Guizot : les doctrinaires et le libéral conservateur « C'était en présence de tous ces faits et de tous ces adversaires

sociétés à castes : l'individu naît, travaille, se marie et meurt dans la même caste) ; à l'autre pôle, des sociétés au sein desquelles l'origine des individus ne prédéterminerait en rien le statut social (et que peut désigner le terme ambigu de « méritocratie »). D'un côté, on trouve une immobilité sociale maximum (pas de changement de position sociale possible) ou une totale « inégalité des chances » (d'accès aux différentes positions sociales) ; de l'autre une « égalité des chances » complète qui

Aujourd’hui, l’Ecole fait l’objet de nombreuses critiques et interrogations : pas assez performante, pas assez soutenue, trop laxiste… S’agit-il d’encourager l’Ecole du plus grand nombre ? Ou bien l’Ecole des élites ? Système de méritocratie ou d’égalité des chances ? Voici des débats que la société d’il y a un demi-siècle ne connaissait pas. Et pour cause, la mondialisation, l’essor des nouvelles technologies ou encore la période de crise que nous traversons aujourd’hui marquent pour

cure dans le diocèse est requise (art.7 Titre II). Ainsi, non seulement la Constituante oblige les évêques à être élu dans leur diocèse d’origine, mais elle abolit en même temps les privilèges aristocratiques du clergé en établissant une véritable méritocratie. Le même système est instauré pour les curés : pour être élu à la cure, les curés doivent avoir rempli la fonction de vicaire pendant au moins 5 ans dans le diocèse dans lequel ils sont nommés (art. 32 Titre II). Les ordres monastiques

car elles étaient politiques, sociales en raison du maintien du cens qui signifiait qu’il fallait avoir un certain revenu pour être électeur. Avec l’arrivée de Guizot, les électeurs sont déterminés en fonction du cens mais aussi en fonction de la méritocratie, c’est-à-dire que les professions libérales pouvaient accéder au droit de vote. Mais les cartes changent avec en 1848 le suffrage universel sous la Seconde République. Les élites diversifiées jouent néanmoins toujours un rôle dans la vie politique

isolés. Ce qui est mis en évidence dans cette nouvelle hiérarchie est la compétence individuelle de l’individu. La place sociale de chaque individu doit être le résultat des efforts que l’individu a donné pendant toute sa vie. C’est la thèse de la méritocratie, apparue en 1789. Il y a également l’apparition, après 1945, du Statut Général de la Fonction Publique. INSEE met en place la nomenclature CSP en 1954 en essayant de tenir compte de plusieurs facteurs à la fois. « Appartiennent à une même PCS