Merrill Lynch

eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928, date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une recommandation de vente, le moment est opportun pour se libérer de ses crédits ». Ce ne sont en effet plus les dividendes

eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928, date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une recommandation de vente, le moment est opportun pour se libérer de ses crédits ». Ce ne sont en effet plus les dividendes

à clôturer leurs positions courtes ou même acheter des futures ce qui provoqua une chaîne d’achat pour éviter les pertes.  Les régulations de la LME : Différence de 25 GBP entre Se^(rT) et 0FT OPERATIONS RADR  Les opérations de Radr avec Merrill Lynch et Credit lyonnais Rouse 1) Achat de calls à 2400 $ pour 1 Million de tonnes de cuivre / l’inventaire de la LME était de 0.5 Millions de tonness. Prix d’exercice = 2480 $. DDV=2 ans Prime = 69 M$ 2) Pour couvrir la prime de 69 M$ : Short strangle

(BofA) et la Securities and Exchange Commission (SEC, le gendarme de la Bourse), à propos des primes de 3,6 milliards de dollars (2,46 milliards d'euros) versées par la banque d'affaires Merrill Lynch, en 2008, juste avant son rachat par BofA - sans que ses actionnaires en aient été informés. Cette année-là, Merrill avait enregistré des pertes de 27,6 milliards de dollars. Le juge Jed Rakoff a rejeté comme insuffisant l'accord à l'amiable intervenu entre la banque et la SEC, qui envisageait un dédommagement

subprime. Des PDG démissionnaient ou étaient remerciés. Mais plutôt que de se jeter par la fenêtre comme en 1929, ils sautaient en parachute doré : Charles Prince, PDG de Citigroup, partait avec 105 millions de dollars ; Stanley O'Neal, PDG de Merrill Lynch, faisait mieux : 161 millions de dollars. 2008 : En mars 2008, la faillite de la cinquième banque d'investissement américaine, Bear Stearns, est évitée de justesse par son rachat par JP Morgan, téléguidé par le Trésor américain. La crise change

l’immigration, activités du Ku Klux Klan) et le mouvement de prohibition se développent. La crise et son extension dans le monde A partir de 1928, Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant. Le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter pour acheter des actions. En effets les dividendes n’intéressent plus les investisseurs, c’est plutôt la possibilité d’une plus value beaucoup plus importante. L économie montre des signes de faiblesse

eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928, date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une recommandation de vente, le moment est opportun pour se libérer de ses crédits ». Ce ne sont en effet plus les dividendes

seule exception est le Glass-Steagall Act, qui empêchait les banques commerciales de fusionner avec des banques d’investissement, qui fut éliminé en 1999. Est-ce que cette loi aurait pu empêcher les fiascos de Bear Stearns, Lehman Brothers et Merrill-Lynch, qui sont au coeur du documentaire? Absolument pas! Premièrement, même avant l’abolition de cette loi, les banques d’investissement étaient déjà autorisées à commercer et à détenir les actifs financiers au centre de la crise financière tels que

les banques à prendre des mesures d'urgence. Pour bénéficier du soutien de la FED, plusieurs grandes banques d'investissement américaines se transforment en banque de dépôts. D'autres se font racheter afin de sauver leur activité : Bear Stearns, Merrill Lynch, Washington Mutual et Wachovia. Ces banques d'affaires étaient en première ligne dans la fabrication des CDS et des CDO, dont elles ont gardé une grande partie dans leurs comptes, toutes n'ayant pas eu comme Goldman Sachs, l'astuce de s'en

Merill Lynch par exemple, ou Citi, et ce grâce à la manière dont Fuld gère le risque et ses clients, qui ont confiance en lui. La culture d’entreprise mise en place par Richard Fuld, décrite par Les Echos en janvier 2006, fait primer la rigueur, la discipline et l’esprit d’équipe. Et on peut voir ce succès par son parcours boursier ; entre 2005 et 2006, son cours s’est apprécié à 55% contre 17 en moyenne pour les autres grosses banques d’affaire Morgan Stanley, Goldman Sachs et Merill Lynch. Lehman