Merveilleux

toutes les vertus des langues négro-africaines. » ce recueil se présente ainsi comme un classique de la littérature négro africaine d’expression française. Le conte de « la cuiller sale » appartient au type de conte que l’on pourrait appeler conte merveilleux. La thématique générale de ce conte se rencontre dans plusieurs aires géographiques et avec diverses variantes. Au Sénégal déjà, on l’a parfois sous le titre « Penda l’Orpheline » ou encore de « Coumba am Ndaye Coumba amoul ndaye ». Et même chez

locutions de connivence culturelle: "ces prodiges ne sont-ils pas écrits..."; les rappels: "la renommée a publié de ses cent bouches" rendent tout récit détaillé superflu et permettent l'empilement de faits qu'on laisse supposer encore plus nombreux et merveilleux. 3. Les onze chapitres du conte sont de longueurs trés inégales. Le plus long est le quatrième. Cette longueur se justifie : par un enchaînement rapide d'événements nombreux (comme dans le dernier chapitre) par le rôle des éléments déclencheurs

ne semble pas reconnaître en elles les Néréïdes. Pourtant une trace d'elles-même demeure sur lui: un long cheveu blond. QUESTIONS 1-Comment l'auteur harmonise-t-il les aspects réalistes et merveilleux du conte? (Qu'est-ce qui est décrit avec réalisme? Pour quels effets? Quand intervient le merveilleux? Pour quels effets?) 2-Montrez comment le conte s'oriente vers un dénouement tragique. Cela fait-il des personnages des êtres soumis à la fatalité ou au contraire cela en fait-il des héros ? 3-Quelle

situation initiale : 3. Un élément modificateur vient perturber la situation initiale. Il provoque un effet de surprise. III. Le merveilleux: 4. Le héros du conte subit des épreuves et rencontre des êtres qui s’opposent à lui ou lui viennent en aide. 5. Nous sommes dans un monde merveilleux où interviennent des éléments magiques. IV. Résolution du problème: 6. Le héros reçoit souvent une aide (objet, animal, personnage)

I LES CARACTERISTIQUES DU CONTE 1) le cadre spatio-temporel 2) 3) les personnages 4) 5) le merveilleux transition II L'ART DU RECIT 1) l'alternance du récit et du discours 2) 3) la progression de l'action 4) 5) les métamorphoses

oriental ou merveilleux : c’est l’étranger qui vient en Europe. L’histoire commence en juillet 1689, on y trouve des personnages historiques comme Monsieur Alexandre, Le père de La Chaise ou le père Quesnel. Les guerres et les allusions religieuses dont il est question dans le récit appartiennent aussi à l’histoire (exemple : l’édit de Nantes). Dans l’extrait que nous allons étudier, c’est d’abord la double entrée du récit qui doit retenir notre attention. I) Un conte merveilleux ou histoire

l’homme, de par son évolution et de sa connaissance se différencie ainsi des primates et sont inféodés par la sorcière. Ce texte révèle la question de la jeunesse éternelle, l’esprit vif, il traveerse les frontières de l’irrationnel et du merveilleux, conte merveilleux par les perrsonnages et les formulations Personnages Mephisto : daible qui fait un pacte avec dieu afin de récupérer l’âme de faust, fin stratège, il ne recule devant rien. Ses stratagèmes les plus vils font de lui un être dénué

lecteur à s’interroger sur la société, et pour finir nous étudierons l’évolution de ce genre littéraire. Les contes sont généralement destinés à distraire comme les contes de fées. Plusieurs éléments sont nécessaires à la confection d’un conte merveilleux capable de bercer le lecteur : un monde imaginaire, des éléments surnaturels ou féeriques, mais surtout des personnages humains ou animaux soient gentils ou méchants. Mais la fin « happy-end » du conte de fées est le plus important servant à faire

personnages truculents. a. Les codes propres à un genre -Comme tout conte, le lecteur pénètre cet univers fictionnel à travers le tour impersonnel « il y avait » à l’imparfait à la ligne 1. D’entrée, nous savons qu’il s’agit d’un univers merveilleux. -D’autre part, nous retrouvons une part d’oralité propre à ce genre avec l’intervention du conteur à la première personne « je crois » à la ligne 5. En effet, les contes ont une origine orale et se transmettaient de bouche à oreille ; et c’est

courant dans les contes de tradition orale. La première partie du récit a surtout des antécédents littéraires (le conte de la belle Zélandine). Ce conte est de tous les contes de Perrault celui dont la structure s'éloigne le moins de celle du conte merveilleux traditionnel telle que Bengt Holbek l'a mise en lumière. Les actants du récit sont le prince, jeune homme de haute naissance et la Belle, jeune-fille de naissance apparamment obscure, mais en fait de haute naissance elle aussi, deux couples, ceux