Merveilleux

« dattes (L22), « gazon vert » (L25) et « soleil brûlant » (L17). Cependant, ce décor merveilleux peut faire penser aux paradis de la culture occidentale. En effet, le « ruisseau limpide » de la ligne 19 et le fait « d’étendre la main pour cueillir » les fruits rappellent le jardin d’Eden de la Bible ou encore les Champs Elysées de la mythologie grecque. Ensuite, Le récit possède aussi un caractère merveilleux, notamment en donnant la parole aux animaux. Par exemple, à la ligne 42 « Ô Allah ! que

L’univers présenté dans le chapitre I de Candide offre l’image d’un microcosme protégé où tout est pour le mieux, dans une sorte de merveilleux que rendent le ton élogieux, les superlatifs, les hyperboles et les images valorisées.   a) Les formules traditionnelles : l’ouverture du conte par la formule « Il y avait » est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune

l'incipit, c'est-à-dire le début du conte. Nous pourrons nous demander à quel genre s'apparente ce conte. Dans un premier temps, nous verrons que nous passons d'un conte traditionnel (=merveilleux) à un conte philosophique puis, dans un deuxième temps, les cibles de la dénonciation. I Du conte traditionnel (=merveilleux) au conte philosophique : A. Le début d'un conte traditionnel _ formule traditionnel l. 1 : « il y avait » _ indice spatial : le château _ les temps verbaux : passé simple, imparfait

Nous verrons les caractéristiques de l'apologue avant de dégager la morale de cette histoire. I-Un conte de fée, ses caractéristiques : I1-Le registre merveilleux : Onomastique, noms symbolique. Présence de la magie (miroir magique...), du surnaturel (une bête qui parle) sans que cela étonne les personnages. Donc registre merveilleux + opposition entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en opposition : Un seigneur bestial (« le monstre » proposé comme un synonyme

a) Un conte merveilleux Voltaire est un spécialiste des contes et son œuvre Candide commence presque comme dans les contes de fée, où l'on a "Il était une fois". Ici on peut lire "Il y avait en Vestphalie". Dès les premiers mots, on a l'impression d'entrer dans une historie imaginaire. Tout au long des chapitres, Voltaire utilise des adjectifs positifs, "beau", "bon", "douce", "honnête". Il emploie des comparatifs, des superlatifs et des hyperboles qui accentuent le coté merveilleux du récit "les

brillante décorait mon dos. Je ne lassais personne indifférente à mon passage. Mais j’étais sous le charme d’une robe de mariée. Ma copine était exceptionnelle pour ce jour si important. Un décolleté formait de cœur, une jupe fourchue faisait un effet merveilleux. Une traîne terminait la robe. Une buste plissée était digne d’une princesse. Le marié était aussi très élégant en un smoking, une chemise blanche et des chaussures classiques. Après la cérémonie les époux dansaient leur première danse sur une musique

vie ou encore sur ce que mon avenir pourrait devenir. Sur les problèmes familiaux, les problèmes qu’on a avec sa meilleure amie, sur les diverses erreurs qu’on a faites et qu’on aimerait réparer ou encore sur nos regrets. Ensuite, j’ai de merveilleux souvenirs comme la magnifique complicité que j’avais avec mon frère. On se chamaillait énormément mais nous étions inséparables. Toujours coller comme des siamois. Avant, je rêvais de devenir princesse et de vivre dans un grand château. De devenir

films d’animation en fixant essentiellement mon intérêt sur les contes de fées ; mais en gardant toujours l’idée de rechercher l’image de la Mort qui est implicite, voire occultée dans les films de Walt Disney. À travers différents récits, contes merveilleux, histoires ou encore séquences de films animés ou non, nous pourrons observer une représentation tantôt implicite, tantôt explicite de l’image de la Mort. D’abord je définirai la représentation de la Mort. Puis je chercherai l’origine des contes

la première fois l’amour. Ce magnifique décor de conte de fées est ensuite vite supplanté par la boucherie héroïque où Voltaire nous décrit le comble de l’horreur véhiculée lors d’une guerre abominable. B – LE CONTE MERVEILLEUX Le conte de fées, ou conte merveilleux, a un tout autre but. La postérité l’a relégué au rang d’amusement des enfants mais il comporte une portée symbolique non négligeable. Au-delà de l’amusement, ils servent à protéger l’enfant du monde extérieur. Le dénouement

du personnage, celui de « Cunégonde » ou celui de « Vanderdendur » qui a une consonance très amusante. Enfin l’ironie est présente grâce aux reprises des expressions de Leibniz comme « raison suffisante » ; « les effets des causes ». Le monde merveilleux du conte a contribué également à ma distraction. Voltaire commence en utilisant la formule traditionnelle du conte « Il y avait en Westphalie... » et localise l’histoire dans un château. Les personnages semblent également sortis d’un conte de fée