Merveilleux

L’univers présenté dans le chapitre I de Candide offre l’image d’un microcosme protégé où tout est pour le mieux, dans une sorte de merveilleux que rendent le ton élogieux, les superlatifs, les hyperboles et les images valorisées.   a) Les formules traditionnelles : l’ouverture du conte par la formule « Il y avait » est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune

nous verrons que Candide n’est pas seulement un conte qui amuse mais qu’il est aussi un conte qui instruit. Au XVIIIe siècle, le conte apparait souvent comme une forme de récit excessivement divertissant. En effet le conte merveilleux est composé de personnages merveilleux, souvent des animaux qui parle et qui amuse le lecteur, mais aussi des histoires courtes comme dans les fables de La Fontaine. Le but principal du conte est bien d’amuser, en effet le comique de caractère est excessivement utilisé

matin. Dès lors, ce texte propose sous la forme d’un univers merveilleux une sorte de vision hallucinée de la réalité. Les différents axes: I. Un univers merveilleux 1) La structure - Poème en prose composé de 5 paragraphes assez courts encadrés par deux phrases brèves. 2) La quête du héros - Narrateur ambigu. Première, et troisième personne « l’enfant ». 3) Les ingrédients du conte - Caractéristiques du conte merveilleux: « les palais », « la déesse » II. Rêve ou hallucination? La

le registre merveilleux suivi d’une moralité en vers 2) Il s’agit d’un conte très connu, en particulier des enfants qui raconte les mésaventures d’une petite fille trop naïve dévorée par un loup cruel. [LECTURE] 3) En quoi s’agit-il d’un apologue ? En quoi le récit sert-il d’argumentation ? Quelle est la double morale de l’histoire ? Quel sens caché révèle cette histoire ? + PLAN I) L’art du récit : un récit plaisant 1) un récit sobre et concis, dynamique et merveilleux a) un récit

Les contes , sont un support de plus en plus utilisé en psychothérapie , permettant de développer les richesses de notre imaginaire . Dans son ouvrage : « psychanalyse des contes de fées » , Bruno Bettelheim Démontre que le conte merveilleux a une place importante dans l’apprentissage de la maturité chez l’enfant ; celui-ci , puisant dans l’histoire une source qui « « travaille « et exacerbe les profondeurs de son être . Cette rencontre , va l’aider à construire , à avancer ,

oracle »; « admirablement » => présentation dans le discours de Pangloss. L'évocation de ce contexte s'apparente donc beaucoup à celle du conte. II. Les caractéristiques du conte La description du lieu en fait un microcosme, un endroit merveilleux et coupé du monde et de la réalité. On retrouve la formule traditionnelle: « il y'avait », les personnages sont mis en scène dans un lieu imprécis: « en Westphalie », qui est un pays peu connu et qui a la réputation d'être arriéré, le nom de château:

L’univers présenté dans le chapitre I de Candide offre l’image d’un microcosme protégé où tout est pour le mieux, dans une sorte de merveilleux que rendent le ton élogieux, les superlatifs, les hyperboles et les images valorisées. a) Les formules traditionnelles : l’ouverture du conte par la formule « Il y avait » est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune

méchantes avec elle. Cette situation est typique du conte car le héros connaît un problème qu'il va devoir résoudre. • élément perturbateur : la fée, la rencontre de la cadette avec la pauvre femme. On sait tout de suite qu'il s'agit d'un conte merveilleux. • péripéties : • 1ère : puisque la cadette lui a donné de l'eau avec gentillesse, la fée lui donne un don. • 2e : quand la mère s'aperçoit du don de sa fille cadette, elle décide d'envoyer l'aînée à la fontaine. • 3e : l'aînée, elle, reçoit

l’image du « meilleur des mondes possible » avec des préjugés sur l'innocence et plein d'illusions sur la réalité. PB ? I) Un incipit de conte merveilleux a) Incipit traditionnel Présentation des personnages principaux ; Présentation du lieu, du contexte, de l’histoire, du cadre, du décor mais surtout de l’intrigue. b) Incipit de conte merveilleux Déterminant « icelui », qui renvois à un temps lointain. Formule « il y avait » qui rappelle la formule « il était une fois ». La présence d’un

apparaissent en Italie à la Renaissance . Mais c’est avec Charles Perrault que naît un véritable genre littéraire . L’académicien publie : - les histoires ou contes du temps passés en 1697 2 : Dans quels pays trouve-t-on des contes merveilleux ? On trouve des contes merveilleux dans toute l’Europe (Perrault en France, Andersen au Danemark, Grimm en Allemagne…)mais aussi partout dans le monde : en Inde, en Arabie, en Chine, en Afrique... 3. Comment se sont-ils transmis ? Ils sont restés longtemps