Mes Filles Mes Filles Anastasie

père Goriot. Le père Goriot sacrifie tout son argent pour les mariages de ces deux filles : Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Eugène de Rastignac vient à Paris pour se faire une place dans la bonne société (c’est un jeune provincial). Il intègre peu à peu l’aristocratie et devient l’amant de Delphine de Nucingen. Un jour le père Goriot meure brutalement. C’est Rastignac qui paye l’enterrement. Ses deux filles ne se déplacent même pas pour l’occasion. La Chartreuse de Parme, Stendhal (1839) :

jadis La Femme abandonnée, réapparait ici, et Rastignac et Vautrin, nouveaux venus de l'univers balzacien, reviendront fréquemment dans les romans ultérieurs. cc Un brave homme, - pension bourgeoise, 600 fr. de rente, - s'étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50.000 fr. de rente, mourant comme un chien», tel est le sujet initial du roman conçu par Balzac. Mais la matière, sous sa plume s'est étoffée : à cette intrigue, il faudrait ajouter celle, non moins importante, du jeune Rastignac

the resolutions of its mysteries, provide opportunities to learn from moral reflection. Goriot, in poverty, is remarkable only for his fatherhood. His daughters,viewed as prostitutes, are a source of ridicule and abuse “Vous en avez donc trente-six filles ?”(p.46) He bears it with the “docilités de la misère” (p47). Reviled and rejected (p.66), even by his daughters who “avai[ent] honte de lui” (p86), the silent suffering of self-sacrifice becomes the Christ image of “sublime”(p.87) His eyes, which

solitude du vieillard. Rastignac, unique personnage à ressentir la réalité du deuil voit son recueillement atténué par un précision triviale : il faut « déclouer » le cercueil afin d’y placer le portrait de Delphine et Anastasie. Ce détail met d’autre part en avant l’absence des filles du défunt, lesquelles se contentent d’envoyer leurs domestiques. La présence de leurs « voitures armoriées » accuse paradoxalement leur absence. Le narrateur semble en outre avancer l’idée d’un lien presque métonymique

ses propres filles. Les suppositions les plus incroyables s’échangent le soir autour de la table où se réunissent les clients de la pension. Chargé par les pensionnaires de percer le mystère qui entoure le père Goriot, Rastignac, poussé par la curiosité d’abord, par la sympathie ensuite, ne sera pas long à découvrir le pauvre secret du père Goriot. Sa cousine, Mme de Beauséant, qui peut le faire entrer dans la haute société, lui livre le secret du père Goriot. Le bonhomme a pour filles deux des femmes

ascension sociale. Ce dévouement extrême de sa famille donne à Eugène encore plus envie de réussir, mais cela va aussi lui donner des remords car il se rend compte de la hauteur du sacrifice réalisé par sa famille. Ainsi, Eugène est comparable aux filles du père Goriot qui exploitent la richesse de leur père pour mener une vie opulente alors que ce dernier est obligé de vivre dans un « bouge ». En effet il oblige sa mère et sa tante à se séparer de souvenirs auxquels elles tenaient énormément, « Vous

renseignements qui lui permettent d'enrichir les Marelle grâce au délit d'initié. Walter, de son cote, s'est considérablement enrichi, et dote chacune de ses filles de 20 millions de francs. En surprenant sa femme en flagrant délit d'adultère avec un ministre, Duroy obtient le divorce. Devenu Georges du Roy de Cantel, il séduit la plus belle des deux filles de Walter, Suzanne et force son père a lui la laisser en mariage. A la fin du roman et après trois ans seulement, le baron Georges du Roy de Cantel épouse

presse française • les gouvernements, ministères, hommes politiques • les journaux et journalistes Biblio : La presse en France des origines à 1944 Histoire politique et matérielle- Gilles Feyel LA CENSURE + CONTROLE DE L’INFO (Anastasie Non discutée. Le 2 août 1914, état de siège, la loi donne aux autorités militaires le droit de suspendre ou interdire des journaux Comment ? A coup de crayon rouge à la dernière étape d’imprimerie. Il y a des ‘blancs’ plus ou moins longs et larges

fut jadis La Femme abandonnée, réapparaît ici, et Rastignac et Vautrin, nouveaux venus de l’univers balzacien, reviendront fréquemment dans les romans ultérieurs. « Un brave homme, – pension bourgeoise, 600 fr. de rente, – s’étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50.000 fr. de rente, mourant comme un chien », tel est le sujet initial du roman conçu par Balzac. Mais la matière, sous sa plume s’est étoffée : à cette intrigue, il faudrait ajouter celle, non moins importante, du jeune Rastignac

faire son choix entre Delphine qu’il aime et Victorine Taillefer qui est prête à se laisser conquérir. Il résistera à la proposition satanique de Vautrin, car il considère le travail comme le meilleur moyen de réussite. Il a du cœur contrairement aux filles du père Goriot, sur qui il va veiller jusqu’à sa mort. Mme Vauquer : Elle est âgée d’environ 50 ans. Elle est en harmonie avec la pension dont elle est la tenancière. Elle a un passé douteux. Pourquoi s’y connaît-elle en vigueur sexuelle et en stratégie