Métaphore

interpréter les figures de style : métaphore, comparaison, métaphore filée. Activités : - Faire la liste des différents secrets dont il est question dans l’œuvre. Indiquer à chaque fois qui révèle le secret et à qui. - Trouver les métaphores qui, dans les pages 15 à 17, évoquent l’idée même de secret. =>image du mur, rempart, barbelés, enclos… reprise dans l’ensemble du texte et qui fait apparaître en filigrane l’image des camps de concentration. =>métaphore de la maladie, de la faiblesse

"L'amour la poésie" contient les plus beaux poèmes d'Eluard. 1-L'image d'une terre céleste  Si déroutante à la première lecture, l'image éluardienne a toujours sa raison d'être, sa logique interne. "La terre est bleue comme une orange" est une métaphore qui dans une première lecture peut apparaître absurde mais qui finit par imposer sa légitimité et ne cesse plus à qui la médite de livrer ses richesses. La terre et l'orange ont toutes deux cette plénitude sphérique sans laquelle il n'y a pas de bonheur

avant cette étape (obligée) de la vie. L'on remarque qu'il oppose en les plaçant côte à côte « seniora » / « juvertae » vers 81 pour mettre en relief la rapidité avec laquelle les 2 états se succèdent. Il use d'une métaphore: « le champ qui subit des moissons répétées », métaphore peu engageante ni élogieuse pour la femme (même franchement désobligeante). Le corps de la femme est assimilé à quelque chose de productif, à un champ (« ager », « messe »). Le mot « continua » fait allusion aux nombreux

dans l’extrait suivant : «Son regard est pareil à celui des statues». Par cette métaphore, il nous donne l’impression que la femme possède un regard parfait en rapprochant le thème de l’apparence physique à celui de l’art, mais si nous analysons plus en profondeur, on pourrait aussi déduire que les yeux en particulier sont souvent décris comme étant les fenêtres de l’âme. L’auteur aurait donc essayé, par cette métaphore avec les yeux, de sous-entendre l’idée selon laquelle la femme en question possèderait

langues et de Traduction Université Roi Saoud Synergies Monde arabe n° 6 - 2009 pp. 307-322 Résumé : Cet article aborde l’évolution du discours explicite dans Zaïre de Voltaire à partir de deux procédés : l’un est stylistique (la métonymie et la métaphore), l’autre est le quiproquo, utilisé dans le théâtre. Dans cette pièce, Voltaire choisit l’Orient comme espace privilégié dans lequel il fera passer ses idées de tolérance attaquant fanatisme et chauvinisme. On y retrouve les Lettres Persanes de Montesquieu

concentre tout l’univers féminin. Elle regroupe toutes les caractéristiques de la femme ce qui lui donne une force incroyable. Plus tard dans le poème plusieurs métaphores l’associent aux forces de la vie.. En effet, « pour l’odeur du grand large » connote l’idée d’ouverture vers le monde, une soif de découverte et d’aventure. La métaphore« pour la neige qui fond pour les premières fleures », évoque le printemps saison qui redonne un souffle nouveau à la nature. Pareil au printemps, cette femme redonne

nos dépens. III. Les images III.1. Métaphore filée des trois premières strophes La métaphore est celle de l’orage (v.1-2) - inversion du v.1 : ne…que > durée = orage / ça et là > exceptionnel. Autre contraste : l’obscur permanent / la lumière exception L’agresseur : l’eau, l’orage, la pluie. L’agressé : mon jardin, les terres, le sol. Le poète est le jardinier qui utilise quelques outils pour survivre. Le rêve de victoire : fruits, fleurs. Cette métaphore est sympbolique. La seule survie possible

"Melancholia" I-L'évocation de la fragilité de l'enfance A)Pureté rousseauiste -Très jeune âge: "huit ans" v.3 (contraste avec "quinze heures" v.4) -beauté: "la jeunesse en fleur" (métaphore in praesentia), "anges" v.9 -Innnocence: "l'âge tendre" v.23 B)Fragilité physique -maladie: CL "fièvre" v.2, "pâleur" v.12 + métaphore in absentia "la cendre est sur leur joue" v.11 -maigreur: "rachitisme" v.18 (tête de vers==> sugg. du carnage) C)Petitesse par rapport au monde qui les entoure -CL de l'abaissement

d’images et de métaphores récurrentes en poésie. L’association de l’amour au feu qui embrase le cœur et le corps est un de ces topos. Le champ lexical du feu parcourt tout le texte et construit une métaphore filée progressive : si au départ le feu est associé à l’amour : « qu’il ne se laisse pas à l’amour enflammer » l7, « le feu sort de l’amour », il devient ensuite l’amour : « ce feu » v11, « un brasier »v11, « ton amour qui e brûle »v12, « son feu » v 13. Une autre métaphore filée, celle de

métaphorique qui est au cœur de toute fonction de symbolisation ». Langage et mythe sont de vastes métaphores de la réalité. L’essence du langage est symbolique parce qu’il consiste à représenter un élément de la réalité par un autre, comme il arrive dans les métaphores. La science vérifie une croyance commune à tous les poètes : le langage est poésie à l’état naturel. Chaque mot ou groupe de mots est une métaphore. Et de même il est un instrument magique, c’est-à-dire quelque chose de susceptible de se changer