Métaphore

considérés comme des produits de consommation). On est au début de la littérature policière. Ville où hommes et femmes travaillent, et qui est encore rythmée par la cloche, mais aussi par les horaires des travailleurs. Réseau lexical des bruits, métaphore (vers 15-16), surtout visuelle (clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville. Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent" Allitération en [k], mais aussi en

piliers… » ( Métaphore. V. -Constitué de 3 strophes, en tout, de 40 vers en alexandrins. v.5 « Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine… » ( Personnification. VI. Les phares -Constitué de 10 quatrains en alexandrins. v.37-38 « C’est un cri répété par mille sentinelles, un ordre renvoyé par mille porte-voix… » ( Hyperbole. VII. La muse malade -Constitué de 3 quatrains et 2 tercets en alexandrins. v.2 « Tes yeux creux sont peuplé de visions nocturnes… » ( Métaphore. VIII. La muse

en évidence le non lyrisme de ce poème. Ce poème est très ancré dans des résonances entre la nature et le pain. Au niveau du règne minéral on peut voir que le pain est sujet d’un aspect plutôt terrestre par rapport aux comparaisons et aux métaphores faites avec des montagnes, « comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. ». Ponge voit le monde entier dans un grand panorama. Ici le pain n’est représenté que par rapport à sa surface, c’est

ou qu’il s’est arrêté en chemin, et qu’il va repartir. La canne l’a sûrement aidé à gravir la montagne ou le rocher sur lequel il se trouve. Le verbe « contempler » nous indique que cet homme prend son temps et qu’il est absorbé par ce lieu. La métaphore « mer de nuages » s’explique par le fait que les nuages, s’étalant à l’infini et formant des vagues, nous donne l’impression de ne pas être en altitude, mais face à la mer. Comme la mer peut se confondre avec le ciel, les nuages ici créent un effet

l’architecture est capable de signifier une volonté et qu’elle symbolise inévitablement l’esprit de son réalisateur. Les idées de l’architecte peuvent être comprises du public grâce a des messages de natures variables : signes, symboles et métaphores. Une métaphore est un moyen artistique visant évoquer certains sentiments en créant une analogie entre deux entité similaires. Le but d’une architecture symbolique est de composer une association (d’idées) visuelle à partir de la fonction ou du contexte

se tourne vers l’avenir. Cette idée est mise en valeur dans le poème par plusieurs procédées. La métaphore « Marche, courbé dans vos ruines » (v23) montre le poète comme un homme qui marche dans les ruines. Le terme « ruines » évoque quelque chose qui n’a plus aucune utilité et sur quoi il faut reconstruire ; ici, les ruines sont en réalité les règles de la poésie classique. De plus, cette métaphore est directement suivie d’une anadiplose qui confirme cette idée «  Ramassant la tradition/De la tradition

« N’écris pas » Au début et fin de chaque strophes , 3 syllabes. (Anaphore) - Défense d’écrire. « N’écris pas ! » Fin des strophes (Modalités exclamatives) - Supplication - Ton plaintif. Vers 2 ; 8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - «  - » tiret

l'amour, l’amour qui disparait. 4ème strophe : la fuite du temps l’amour est partit. La Seine rappelle au poète son amour perdu. Immobilité, monotonie du poème et poète figé par la douleur « le demeure » répétitif. A) La métaphore de l’eau : - 1er vers « Sous le pont Mirabeau coule la Seine »: grande banalité, simplicité - Il y a un rapport eau/amour/temps, l’amour s’écoulant comme de l’eau : utilisation des verbes de mouvements : « passe », « coule », « s’en va »)

temps) : cadran (‘’Horloge’’, ‘’cible’’), son (‘’Mon gosier de métal parle toutes les langues’’, ‘’ sonnera l'heure’’,’’ Chuchote’’), le temps (‘’Trois mille six cents fois par heure’’, ‘’Les minutes’’,’’ l'heure’’). Par ailleurs, il utilise la métaphore « Chaque instant te dévore un morceau de délice » il montre que le temps passe et a un effet sur nous, on vieillit. Le temps ne peu dévoré, le temps est vu encore comme une bête. Puis nous expliquerons le temps est un ennemi pour Baudelaire

donne du personnage est liée aux métaphores qu’il utilise sur le thème de la sculpture, thème utilisé également par Proust. Le portrait qu’il nous dresse ici élève son personnage, une impression de puissance et de bonté s’en dégage. Enfin Proust, d’une façon différente de celle d’Hugo, ne nous donne pas non plus d’indications sur son personnage, mis à part des adjectifs qualifiant son âge avancé. Son portrait, à l’image de celui de Balzac, est composé de métaphores autour de la peinture. Le vocabulaire