Métaphore

verbes « le soleil [...] Luit » « un petit val qui mousse de rayons » « ou la lumière pleut » les verbes qui sont utilisé ici présent sont tous à la voix active pour insister sur la vivacité de cette environnement, De plus il y intègre même des métaphores avec le « haillons/argent » c’est une manière métaphorique de comparé l’eau laissée par la rivière sur les berges à des « haillons d’argent ». Rimbaud veut nous montré que cette endroit a toute les caractéristiques d’un lieu ou règne la joie, la

« lande » « pays » « Tempé »  « paysage » « horizon » « vaste largeur » puis hyperbole « une des plus.. » / description renforcée par des images qui sont en gradation : lande comparé a la Bretagne (l.6) ensuite au désert (l.13-14)/ métaphores + comparaison « oasis comme.. » métaphore de la mer (l.27) Pour souligner sa grandeur la lande sera opposé a des landes moins étendus : hypothèses et des connecteurs logiques « par exception » le connecteur adversatif (l.21) , l.18 « généralement ces horizons » /

début de l'œuvre, le chapitre II paru isolément en septembre 1835 dans La Revue des Deux Mondes, retrace un contexte historique qui s'apparente aux guerres de l'Empire avec la gloire et la chute de Napoléon Bonaparte. Dans ce chapitre qui regorge de métaphores , le lecteur en apprend beaucoup sur les évènements passés. Bien que cet extrait semble être purement informatif, il paraît judicieux de s'interroger sur l'identité et l'origine du mal qui rend ce chapitre si touchant et perturbant pour le lecteur

Commentaire littéraire I- L’hommage à la femme noire a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A

quatrains : partie relativement homogène qui raconte les événements ayant entraîné le naufrage du bateau. * V.1 : « je » : dans une poésie, désigne en général le poète. Mais là, il s’agit d’un bateau : « descendait des fleuves ». Le bateau est la métaphore du poète, mais Rimbaud n’utilise aucun adverbe de comparaison comme « tel » ou « comme » * « Fleuves » avec une majuscule : souligne la grandeur de ce qui est dit ? souligne le côté métaphorique du poème ? « impassibles » : désigne la monotonie

qui rit » (l.4) semble prouver que l’ennui reprend le dessus. Mais finalement, on retrouve le rire, répété 4 fois (l.3, 4 et 5), qui insiste sur la domination de la femme sur l’ennui. De plus, la femme est comparée à une combattante grâce à la métaphore « la téméraire » (l.4) qui souligne son courage face à son ennemi, l’ennui, que le rire déjoue. Ainsi, le Poète évoque la femme comme une combattante qui le défend, mais elle est aussi présentée comme une héroïne de la mythologie. On trouve

qu’est-ce qui la diffère de la métaphore ? connaissez-vous d’autres figures de style ? C’est quoi une personnification ? qui peut me donner un exemple ? Activité de découverte : Sujet : Rédige un petit texte (environ dix lignes), dans lequel tu décriras un objet de ton quotidien (exemples : la télévision, l’ordinateur, un ballon, un jeu…). Tu devras personnifier cet objet (le présenter comme un être humain). Pour cela, tu emploieras au moins une comparaison et une métaphore (revois, si nécessaire,

sixième syllabe qui scinde le vers en deux parties égales (de six syllabes) que l'on nomme hémistiches. Le thème principal de ce poème est la souffrance amoureuse. Ce texte comporte différentes figures de styles telles que des sens figurés, des métaphores et métonymies. Dans la ligne trois et quatre : « Et j’emportai, grâce au miroir, en m’en allant, La première raison de devenir parjure. », le verbe « emportai » doit être pris au sens figuré. L’analogie est le fait de « garder quelque chose ».

l’admiration vouée à Napoléon I. Ensuite, nous nous intéresserons au mépris que l’auteur porte à Napoléon III. Première partie : Victor Hugo réserve à Napoléon le registre épique. Il est très élogieux à son sujet. Il le compare grâce à plusieurs métaphores à des personnages illustres, historiques ou légendaires, et vante ses nombreuses batailles. Tout d’abord, dans le second hémistiche du vers 2 « accroupi sur ce nom », il introduit Napoléon I dans le poème en parlant de son nom. On comprend donc

prosaïque. Ainsi, cette évocation, assimilée à un souffle exotique, offre une connotation de globalisation, de généralisation. Cette hésitation entre une valeur lyrique et une valeur prosaïque s’explique par l’ambivalence du verbe « relever », véritable métaphore in absentia du verbe « révéler » dont la proximité phonétique est loin d’être négligeable. Ainsi, « Le Sud » relève et/ou révèle les « souvenirs » comme le vent soulève les feuilles. Cette ambivalence apporte une connotation de réveil stimulant au