Métèque

politique car un enfant n'est pas, en théorie, apte a prendre des décisions politiques car il ne peut pas en voir toutes les conséquences -Être athénien, ce qui stipule avoir un père et une mère ahténiens. Cela limite donc beaucoup a démocratie car les métèques (étrangers) ne peuvent pas participer à l'organisation de la cité, même si ils vivent à Athènes depuis des années et que eux et leur famille vivent depuis des générations dans la cité d'Athènes. Cela pose aussi un problème car on ne peut être athénien

citoyenneté :400000 habitants peuplent la cité d'Athènes. Ces habitants sont répartis de la façon suivante :- les citoyens,- les femmes,- les esclaves,- les métèques. Dans cet univers la femme n'a pas sa place, presque aucun droit ne lui est attribué, elle n'est là que pour se marier, entretenir la maison, s'occuper des enfants et tisser.Quant aux métèques, ce ne sont que des étrangers qui résident à Athènes, ils bénéficint seulement d'une protection juridique (surtout les commerçants) et peuvent joindre

limite l'arbitraire de ceux-ci. La Constitution de Solon, bien que généreuse, intelligente et équilibrée, mécontente beaucoup de monde. Il est vrai qu'elle laisse de côté l'immense majorité de la population athénienne : citoyens pauvres, étrangers (métèques) et esclaves, sans parler des femmes, interdites d'expression publique et soumises à leur père ou mari. Passage obligé par la tyrannie Comme dans les autres cités grecques, quand un législateur n'arrive pas à convaincre les citoyens de l'utilité

attentifs à l’accueil des étrangers, ils leur offrent une place reconnue dans la cité. 2) Les métèques Aujourd’hui le sens du mot métèque est étranger mais au sens très péjoratif. A l’époque ce n’est pas péjoratif, ce sont les étrangers domiciliés dans la cité à partir d’un mois de présence. S’ils restent plus d’un mois, ils doivent payer une taxe et ne peuvent jamais devenir citoyen mais sont accueillis. Un métèque et toutes les générations suivantes ne pourront jamais devenir citoyens. Ils ne sont pas

car on voit que la cité d’Athènes offre «  de grosses récompense aux dénonciateurs éventuels ». La cité impliquant toutes les personnes, on voit que cette affaire tient vraiment à cœur à la cité. Bien plus, un nouvel acte est dénoncé par «  des métèque et des domestiques », il s’agit d’une parodie des Mystères », auquel se serait livré « des jeunes gens pris de boisson ». Les Mystères sont un culte voués à Déméter dans ville d’Eleusis, et pratiqués en secret. Ainsi, l’implication d’Alcibiade, cible

mari. Elles ne sortent guère du Gynécée (partie de la maison féminine). Elles n’ont aucun droit politique. - Les métèques (28%) : Ils sont des étrangers qui résident à Athènes. Au cas de problèmes, ils se réfèrent à un garant citoyen. Ils doivent payer une taxe de séjour et ils peuvent être appelé au combat et, parfois, à la vie d’Athènes, mais ne possèdent aucun droit. * Métèques : étrangers domiciliés à Athènes, mais non admis dans la communauté des citoyens. - Les esclaves (32%) : Ils sont

effet, la cité est représentée dans un jour de fête, mais les hommes ne sont pas complètement distingués des dieux. C’est une frise purement humaine, l’image d’une cité unie, et de tous les habitants, y compris les femmes et les métèques. D ‘autant plus que les métèques se voient donner une marque de reconnaissance et d’intégration. C’est de toute évidence une oeuvre très politique, qui montre la cité dans son ensemble, telle que Périclès la souhaitait : unie et glorieuse. Conclusion La frise

certaines élites (distinction honestiores-humiliores). Doc : Pyramide de l’ordre social à Rome ou Sentences du juriste romain Paul. B-Des exclus de la citoyenneté - A Athènes, esclaves (extrait de Aristote, le Politique), femmes et métèques (extrait de Xénophon, les revenus). Doc : tableau ou graphique renseignant sur leur poids respectif. - A Rome, même après 212, certaines catégories de population restent exclues : les déditices, les femmes (elles ont la citoyenneté et la transmettent

d'une mare. Certaines sont très petites (100km carré), la plus grande est Corinthe, elle fait 900km carré, et compte environ 1500 citoyens hommes. Athènes est la cité la plus peuplée (? km carré), en -431, on y compte 35 000 citoyens hommes et 50 000 métèques. Cité la plus puissante d'un point de vue économique et commercial est Corinthe. Parfois crises démographiques à causes de maladies ou de guerres. Différents problèmes politiques et notamment agraire : propriétés divisées, propriétaires qui n'arrive

habitants la population se divisait en 4 groupes différents : les citoyens, les femmes, les métèques et les esclaves. Au Vème siècle il y’avait 52 000 citoyens sur les 400 000 habitants a Athènes (13 % de la population). La femme dans cette société n’avait presque aucun droit. Les femmes étaient que pour le mariage, l’éducation des enfants, les travaux domestiques et le tissage.  Pour ce qui était des métèques, c’était des grecs étrangers qui résidaient à Athènes. Ils étaient protéger juridiquement